Je veux dire, avant relecture, avant correction, quand vous savez que la phase de "saut dans l'inconnu permanent" est derrière vous ?
Fierté ?
Excitation ?
Fatigue ?
Stress des futurs retours ?
Besoin de chaleur humaine ?
Prêt(e) pour un nouveau projet ?
Envie de mars glacé ?
de cigarette (ou pire) ?
d'en parler à quelqu'un ?
Folie furieuse ?
Frénésie sexuelle ?
Moi, misère, après m'être senti comme un Dieu vivant pendant le temps de l'écriture, je me sens vide comme un pauvre vieux pneu percé.
