Napalm Dave a écrit :Il y a une première partie du périple où ils n'ont pas le temps de parler et où tous les habitants de ce monde leur paraissent menaçants.
Après quoi, une puissante fée les aide en utilisant un pouvoir unique et propre à ceux de son espèce: il exalte leur part de "rêve" et fait de mon héroïne qui était sang mêlée (homme-fée) une fée à part entière, immortelle, et avec de nouveaux pouvoirs, dont celui de communiquer aux fées et aux hommes, son amie humaine développe ses capacités cognitives, développe un pouvoir mineur comme tous les humains de ce monde et donc apprend plus vite, le dialogue peut s'installer.
C'est effectivement bien pensé, la magie pallie au probleme. Toutefois elle reste tributaire de la mise en place dans le récit des conditions nécessaires á sa survenue. Lorsque ce dialogue s'installe enfin entre les protagonistes , oú en es-tu en terme de longueur dans l'histoire ? Au tiers ? A la moitié ?
Je demande, parce que toute précipitation dans cette installation (les conditions nécessaires, quoi) d'une communication sans obstacle linguistique pourrait affecter la cohérence de l'histoire. C'est en tout cas ce á quoi, comme lecteur, je serais sensible en lisant ton roman.