Editer des auteurs, pourquoi faire ?

[Sand]

Put*** mais laissez-lui le dernier mot !

[Nicky]

Le problème, c'est qi'il ne s'agit pas de "prendre leur défense" parce que personne n'attaque personne. Et que ce que tu viens de dire, c'est ce que je dis depuis le début : si X croit détenir une perle rare ( je ne parle pas de qualité littéraire, mais commerciale, les deux n'étant pas incompatibles) qu'il risquetout dessus... ou qu'il s'en aille.

Exactement ce que je dis, selon ce fonctionnement, 100% des perdants auraient tenté leur chance. Et on aurait plus aucune maison d'édition de SFFF, tous morts.
(D'ailleurs, combien ont fini comme ça ?)

[Ookdelph]

J'ai été la première à parler de commerce. le "cliché industriel"", c'est dire l'usine, c'est d'Ookdelph. En négatif. je ne vois pas de mal, moi,à âtre assimilée à une usine. C'est mêmeplutôt le contraire.

*bordée de jurons*

*zen et méthode Coué*

Lambertine chou quand je parlais d'usine, je te rappelle que ce n'était pas pour mettre sur le tapis un lieu immonde où les gens sont lobotomisés par le travail répétitif (c'est bien ça, le cliché de l'usine, non ?) MAIS pour oposer une petite maison d'édition, qui a au contraire peu de moyens et de personnel.


Tu as compris, ou je reviens m'énerver ? Parce que là, OUI, c'est VRAIMENT LOURD, et comme je suis déjà de TRES mauvaise humeur à propos d'autre chose, je risque de ne pas être aussi stoïque que ces derniers, jours, de te répondre et, malheureusement, de ne pas réussir à rester polie...

Je maintiens le diagnostic de mauvaise foi aggravée.

[Ookdelph]

Sand : on pourrait, certes.

Allez, une dernière chance : Lambertine, as-tu un exemple de maison d'édition ayant tout misé dans un seul roman dès sa publication, avant même de savoir si le grand public avait les mêmes goûts que l'éditeur ? Et qui aie réussi, tant qu'à faire...

Si oui, ça peut valoir le coup de s'y intéresser pour commencer à discuter (parce que pour l'instant c'est un dialogue de sourd)

Si non, je crois qu'on pourra définitivement t'envoyer balader, parce que tu admets toi-même ne rien connaître à l'édition, ou en tout cas être incapable d'évaluer la qualité d'un texte, et à côté de ça tu refuses d'écouter ce que des gens travaillant dans ce milieu ont à dire de leur epérience. C'est quand même très fort.

[Marcel&Co]

Lambertine, as-tu un exemple de maison d'édition ayant tout misé dans un seul roman dès sa publication, avant même de savoir si le grand public avait les mêmes goûts que l'éditeur ? Et qui aie réussi, tant qu'à faire...

Eden Corp. avec The Ten Commandments ?

[Sand]

(chez les francophones, merci, l'inconnu )

Moi j'ai un exemple : La Volte, créée juste pour éditer "la horde du contrevent". Pas lu, je sais pas ce que ça vaut, les avis sont contradictoires.
Le concept était cependant original, le livre étant vendu avec un CD. Je pense que ça a généré beaucoup d'achats de curiosité.

Mais je ne sais pas si la sécurité financière est atteinte. Et puis c'était du "tout miser" à la mesure de l'édition SFFF : petit, avec un seul livre (donc pas les frais d'un catalogue), sans que personne ne se paye.

[lambertine]

Je jette l'éponge.

Je parle d'alliance, on me répond "on n'est pas tous pareils et..." (ben forcément... et si on n'est pas pareils, on ne peut pas s'allier ?), d'usine, on me balance le cliché du travail à la chaîne, ou de grosse structure (parce que des petites usines, y en a pas ?), de "livre grand public", on me répond coup de coeur (??? quel rapport ?) et chef d'oeuvre (??? re-quel rapport ?).

Alors tant pis. Continuez à vous plaindre et à mariner dans votre jus de pov' zéditeurs incompris face au reste du monde, aux auteurs "qui se la pètent", aux AMP, aux libraires, aux internautes bouchés et au public borné. Sans compter les "salauds" qui publient à compte d'auteur. C'est sûr que ça fera avancer le schmilblick.

PS : Et La Horde du Contrevent, si je ne l'ai pas encore acheté, je le ferai certainement. SFF et petit ou pas, ce bouquin-là, j'en ai entendu parler, en bien et pas un peu.

[Sand]

Et bon vent à toi aussi !

[Ookdelph]

Je jette l'éponge.

Je parle d'alliance, on me répond "on n'est pas tous pareils et..." (ben forcément... et si on n'est pas pareils, on ne peut pas s'allier ?), d'usine, on me balance le cliché du travail à la chaîne, ou de grosse structure (parce que des petites usines, y en a pas ?), de "livre grand public", on me répond coup de coeur (??? quel rapport ?) et chef d'oeuvre (??? re-quel rapport ?).

Alors tant pis. Continuez à vous plaindre et à mariner dans votre jus de pov' zéditeurs incompris face au reste du monde, aux auteurs "qui se la pètent", aux AMP, aux libraires, aux internautes bouchés et au public borné. Sans compter les "salauds" qui publient à compte d'auteur. C'est sûr que ça fera avancer le schmilblick.

NON justement. Et après tu nous reproches de dire à tort que tu ne lis pas tout

Voilà, j'en ai marre : tu fais chier. Bon débarras.

[Nicky]

Je jette l'éponge.

Je parle d'alliance, on me répond "on n'est pas tous pareils et..." (ben forcément... et si on n'est pas pareils, on ne peut pas s'allier ?),

Bin explique moi COMMENT on peut s'allier si on n'a pas envie de publier les mêmes choses ?
Partager la pub ? Bah y a partage, justement, et au final je vois mal ce qui est gagné niveau visibilité...
A part dire "yaka" et "fokon", ta vision de la transformation du monde de l'édition manque un poil de crédibilité et d'arguments.

Tout comme tes "livres grand public", qui ne semblent ni des coups de coeur, ni des trucs de qualité, ni... C'est quoi en fait ? Un truc "moyen", qui peut plaire à n'importe qui comme à personne ?
(Non pask'au début on parlait de livre "auxquels on croit", ce qui correspond pas exactement à ce vers quoi tu tends à présent)
Non paske quitte à hypothéquer ses organes pour faire une promotion du feu nucléaire de dieu atome, si c'est pour un livre "grand public" qui a autant de chance de se vendre qu'un autre, et autant de chance de même pas être aperçu, je vois un rapport risque/retour un poil disproportionné.

Alors tant pis. Continuez à vous plaindre et à mariner dans votre jus de pov' zéditeurs incompris face au reste du monde, aux auteurs "qui se la pètent", aux AMP, aux libraires, aux internautes bouchés et au public borné. Sans compter les "salauds" qui publient à compte d'auteur. C'est sûr que ça fera avancer le schmilblick.

Y a que toi qui te plains, dans l'histoire.

[lambertine]

Merci quand même.

C'est drôle,on défend ce à quoi l'on croit, et on se fait traîter de troll. Avec des idées comme les vôtres (on ne peut travailler ensemble que si on a envie de publier les mêmes choses) le syndicalisme serait encore à inventer, et les corporations n'auraient jamais vu le jour.

C'est d'autant plus drôle quand sur un forum littéraire on se fait enfoncer par quelqu'un qui écrit "paske". Même si je reconnais faire des fautes de frappe.
Excusez-moi, mais je n'ai pu m'empêcher... à cause du "paske", justement.