Etre publié... Pour quoi faire?
-
- Messages : 21
- Inscription : 29 Août 2007, 22:01
Tu ne le défends pas mais tu lui fais une sacrée pub et en te disant satisfaite, mine de rien, comme le souligne Sand, ça peut induire en erreur des personnes qui pourraient tomber dans le panneau... et ne pas y trouver le même sentiment de satisfaction que toi.
Tu donnes une information en faisant part de ton expérience, ceux qui détiennent d'autres éléments d'information viennent compléter l'info de base. Point barre.
En gros c'est un peu comme si tu débarquais sur un forum de rencontres amoureuses en expliquant que le SM c'est vachement bien, que tu prends un super pied avec, et puis y aurait des gens qui voudraient t'imiter sans comprendre pleinement que ça peut impliquer soumission et souffrance, et peut-être que ce n'est finalement pas ce qu'ils recherchaient à la base.
Tu donnes une information en faisant part de ton expérience, ceux qui détiennent d'autres éléments d'information viennent compléter l'info de base. Point barre.
En gros c'est un peu comme si tu débarquais sur un forum de rencontres amoureuses en expliquant que le SM c'est vachement bien, que tu prends un super pied avec, et puis y aurait des gens qui voudraient t'imiter sans comprendre pleinement que ça peut impliquer soumission et souffrance, et peut-être que ce n'est finalement pas ce qu'ils recherchaient à la base.
Dernière édition par Beltane le 30 Août 2007, 23:46, édité 1 fois.
- ereneril
- Calembourbeur
- Messages : 710
- Inscription : 24 Oct 2005, 15:04
- Livre préféré chez Mille Saisons : Les Perles d'Allaya
- Localisation : Ambassade lilloise du Dentikistan
- Contact :
Je vais me faire l'avocat du diable.
Le principal dans ce genre d'histoire, c'est surtout de savoir où on met les pieds.
Pour le manuscrit, il y a un certain nombre de clauses qui sont majoritairement considérées comme abusives. A l'exception de celles sur l'adapatation audio-visuelle, les autres sont légales il me semble. Elles ne sont pas à l'avantage de l'auteur mais légales.
A partir du moment où l'auteur les accepte après avoir mis dans la balance tous les éléments, je ne trouve rien à redire.
Mélina, si tu estimes que ces clauses ne sont pas trop contraignantes par rapport à ce que te rapporte le fait d'être édité (rapporte dans tous les sens du terme, pas uniquement financier), je ne vois pas de raisons de te jeter la pierre.
Ravi (sincèrement) pour toi si tu as trouvé ton bonheur par cette publication.
Le problème est que, pour une personne lucide comme toi qui sait ce qu'elle fait, il y a des dizaines de naïfs qui se font avoir, éblouis par le miroir aux alouettes.
sinon, en parlant de publication et pour rebondir sur les questions de vocabulaire soulevées par Sand, quelle est la différence entre éditer et publier ?
EDIT : post simultané avec celui de Beltane...
Le principal dans ce genre d'histoire, c'est surtout de savoir où on met les pieds.
Pour le manuscrit, il y a un certain nombre de clauses qui sont majoritairement considérées comme abusives. A l'exception de celles sur l'adapatation audio-visuelle, les autres sont légales il me semble. Elles ne sont pas à l'avantage de l'auteur mais légales.
A partir du moment où l'auteur les accepte après avoir mis dans la balance tous les éléments, je ne trouve rien à redire.
Mélina, si tu estimes que ces clauses ne sont pas trop contraignantes par rapport à ce que te rapporte le fait d'être édité (rapporte dans tous les sens du terme, pas uniquement financier), je ne vois pas de raisons de te jeter la pierre.
Ravi (sincèrement) pour toi si tu as trouvé ton bonheur par cette publication.
Le problème est que, pour une personne lucide comme toi qui sait ce qu'elle fait, il y a des dizaines de naïfs qui se font avoir, éblouis par le miroir aux alouettes.
sinon, en parlant de publication et pour rebondir sur les questions de vocabulaire soulevées par Sand, quelle est la différence entre éditer et publier ?
EDIT : post simultané avec celui de Beltane...
Les dés ont fini de rouler...
-
- Messages : 21
- Inscription : 29 Août 2007, 22:01
Beltane a écrit :Tu ne le défends pas mais tu lui fais une sacrée pub et en te disant satisfaite, mine de rien, comme le souligne Sand, ça peut induire en erreur des personnes qui pourraient tomber dans le panneau... et ne pas y trouver le même sentiment de satisfaction que toi.
Tu donnes une information en faisant part de ton expérience, ceux qui détiennent d'autres éléments d'information viennent compléter l'info de base. Point barre.
En gros c'est un peu comme si tu débarquais sur un forum de rencontres amoureuses en expliquant que le SM c'est vachement bien, que tu prends un super pied avec, et puis y aurait des gens qui voudraient t'imiter sans comprendre pleinement que ça peut impliquer soumission et souffrance, et peut-être que ce n'est finalement pas ce qu'ils recherchaient à la base.
Attends, attends, mais je réponds aux questions qu'on se pose, je donne mon point de vue, et je commence à ressentir une irritation ovarienne qu'on continue de mal interprêter mes propos.
Je n'ai jamais dit que le M...(t'es content(e) là?) était super et je ne suis pas venue lui faire de la pub ni diffuser une propagande pas vraie.
Je dis moi, en tant qu'auteur/écrivain/ce que vous voulez /je m'en tape, que le contrat que j'ai signé me convient, que je suis satisfaite du chemin que prend mon livre, et de la promotion que j'en fais.
Les autres sont libres de s'adresser à l'éditeur/imprimeur/arnaqueur qu'ils veulent, je suis juste venue discuter de l'expérience que je vis de l'édition/publication/parution/impression de mon livre.
Là je dis point barre.
-
- Ensorceleuse
- Messages : 191
- Inscription : 14 Mars 2005, 15:18
- Localisation : Entre.
- Contact :
Je suis assez perplexe. Le point de Mélina se défend et elle a l'atout de ne pas présenter son propos comme le seul valable. Donc arrêtez de lui tomber dessus à bras raccourcis...
On a déjà suffisamment de messages d'alerte concernant les points négatifs de l'édition à compte d'auteur et consorts comme ça, non ? =)
On a déjà suffisamment de messages d'alerte concernant les points négatifs de l'édition à compte d'auteur et consorts comme ça, non ? =)
" Je n'ai pas besoin de trembler pour penser, je pense pour trembler."
Will Self - Dorian
- Neeva
- Lapin-garou
- Messages : 143
- Inscription : 11 Mai 2006, 23:10
- Localisation : Liège - Belgique
- Contact :
Sheratan a écrit :Et je comprend la réaction de Mélina, le marché actuel ne permet plus à tous les auteurs d'être publiés, les lignes commerciales -oups pardon!- éditoriales, sont devenus très strictes, c'est ainsi! Et je ne parle pas des bouses à la tonne qu'ils reçoivent, même de bons romans sont passés au piloris faute de temps et de rentabilité.
Moi je dirais justement que le marché actuel permet à tous les auteurs d'être publiés (grâce aux éditeurs à compte d'auteur évidemment). Mais si on ne tient pas compte des éditions à compte d'auteur, là oui, le marché actuel ne permet pas à tous les auteurs d'être publiés et c'est normal ! Si un auteur est bon, qu'il bosse, qu'il fait des efforts, oui la publication est au bout. Dans le cas contraire, non.
C'est vrai que les gros éditeurs, faute de temps et de rentabilité, laissent passer de bonnes choses voire de très bonnes choses. Mais si un roman est vraiment très bon, il finira par être édité. Par un vrai éditeur.
Site perso : http://www.azaram.be
-
- Messages : 21
- Inscription : 29 Août 2007, 22:01
-
- ordre de l'été
- Messages : 454
- Inscription : 17 Juin 2007, 11:07
- Contact :
Parce que, à ma connaissance, un roman simplement publié sur internet n'a pas encore pu prétendre entrer dans la culture populaire et marquer son temps (et oui, je crois qu'on espère souvent un peu ça en écrivant).
Et combien de romans-papier sont "entrés dans la culture populaire" ces dix dernières années ? Euh... Harry Potter, Le Da Vinci Code et.... ? Eragon...? Tenez, pour un truc plus ou moins auto-édité, belle carrière !
Entrer dans la culture populaire, ça prend des décennies, voire des siècles. Et ce ne sont pas nécessairement les "bons auteurs" qui le font (euh... entre nous, E.R. Bourroughs et Margaret Mitchell, hein... c'est agréable à lire, mais c'est quand même du niveau roman de gare... Mais ça parle au public. Et n'est-ce pas ce qu'il y a de pus important pour un écrivain, de parler au public?)
Je ne denombre plus le nombre de personnes que je connais qui font attention a leurs livres, pour ne surtout pas les abimer, que les coins ne soient pas cornes, etc..
Oh pitié ! Si je quitte le Net pour être publiée sur papier, j'espère bien que les bouquins contenant mon histoire seront trainés partout, pliés, cornés, tombés dans le bain ou abîmés par le sable. Eh, zut ! Un livre, ce n'est qu'un support. Si quelqu'un achète un jour "mon" livre pour faire plus attention à sa tranche qu'à mon histoire... qu'il s'achète une sculpture, et puis m****.
Mais si un roman est vraiment très bon, il finira par être édité. Par un vrai éditeur.
Non. Faut pas donner ce genre d'illusions. Publication et qualité n'ont dans 80% des cas rien à voir l'une avec l'autre. Reste les 20% restnts...
Dernière édition par lambertine le 31 Août 2007, 10:25, édité 1 fois.
- Roland Vartogue
- Phacochère sacré
- Messages : 581
- Inscription : 02 Mars 2005, 23:25
- Localisation : Longpont-sur-Orge, la cité éternelle
- Contact :
Ah, je n'ai pas dit que beaucoup de romans entraient dans la culture populaire, lambertine. Je dis juste que c'est ce qui fait rêver la plupart des gens qui écrivent quand même, même si on ne l'avouerait pas forcément.
Je suis le premier à mépriser le Da Vinci code et Eragon (que j'ai lu tout les deux, le second plus difficilement que le premier), mais je reconnais que j'envie beaucoup le pouvoir d'attraction qu'ils ont sur le grand public. Quand je vois des gamins parler avec enthousiasme d'Eragon, les deux pensées qui me viennent sont en général :
- "Dommage qu'ils se soit entichés de "ce" livre-là".
- "Bon sang, j'aimerais bien toucher autant de monde avec mes bouquins".
Je suis le premier à mépriser le Da Vinci code et Eragon (que j'ai lu tout les deux, le second plus difficilement que le premier), mais je reconnais que j'envie beaucoup le pouvoir d'attraction qu'ils ont sur le grand public. Quand je vois des gamins parler avec enthousiasme d'Eragon, les deux pensées qui me viennent sont en général :
- "Dommage qu'ils se soit entichés de "ce" livre-là".
- "Bon sang, j'aimerais bien toucher autant de monde avec mes bouquins".
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
-
- ordre de l'été
- Messages : 454
- Inscription : 17 Juin 2007, 11:07
- Contact :
-
- ordre de l'été
- Messages : 454
- Inscription : 17 Juin 2007, 11:07
- Contact :
Roland Vartogue a écrit :Ah, je n'ai pas dit que beaucoup de romans entraient dans la culture populaire, lambertine. Je dis juste que c'est ce qui fait rêver la plupart des gens qui écrivent quand même, même si on ne l'avouerait pas forcément.
Je suis le premier à mépriser le Da Vinci code et Eragon (que j'ai lu tout les deux, le second plus difficilement que le premier), mais je reconnais que j'envie beaucoup le pouvoir d'attraction qu'ils ont sur le grand public. Quand je vois des gamins parler avec enthousiasme d'Eragon, les deux pensées qui me viennent sont en général :
- "Dommage qu'ils se soit entichés de "ce" livre-là".
- "Bon sang, j'aimerais bien toucher autant de monde avec mes bouquins".
Entre faire rire, pleurer, et rêver des gens, et entrer dans la "culture populaire", il y a de la marge, quand même...
Autant j'ambitionne de faire rire (euh... pas tellement...) rêver et pleurer, autant me prendre pour Victor Hugo ou Dumas (même Zola et Balzac n'ont pas écrit de livre qui ont marqué la "culture populaire") me semble irréaliste, voire stupide. Tout comme, d'ailleurs "marquer la littérature et la faire évoluer". C'est pas mon truc. Mon truc, c'est créer des personnages et inventer des histoires. Rien de plus, mais rien de moins. Et je ne me la "pète" même pas en le disant, puisque c'est vrai.
Et si Paolini a réussi à vendre des millions d'exemplaires en partant d'une situation proche de l'auto-édition, c'est que malgré ses faiblesses, il a réussi à toucher le public. Ca fait râler, parfois, mais... Je reconnais que mes chroniques médiévo-campagnardes ont moins de chances de rapporter des sous un jour.
- Ookdelph
- membre d'honneur
- Messages : 743
- Inscription : 21 Fév 2006, 11:14
- Localisation : Roâr ?
- Contact :
Pour répondre à la question d'Ereneril sur la différence entre "publier" et "éditer"...
Publier :
Editer :
Un éditeur (ou maison d'édition) à compte d'éditeur édite dans les deux sens du terme, une entre prise comme lemanuscrit n'édite que dans le premier sens.
En anglais la confusion n'est pas possible, puisqu'un éditeur (A) se dit "publisher", et l'autre "editor".
/D.
Publier :
Atilf a écrit :B. Rendre public une œuvre dont on est l'auteur en la faisant éditer.
Editer :
Atilf a écrit :A. Domaine du comm.
1. Assurer la reproduction, la publication et la diffusion d'une œuvre.
B. PHILOL. Établir le texte d'une œuvre, éventuellement accompagné de notes critiques et de commentaires, en vue de sa publication.
Un éditeur (ou maison d'édition) à compte d'éditeur édite dans les deux sens du terme, une entre prise comme lemanuscrit n'édite que dans le premier sens.
En anglais la confusion n'est pas possible, puisqu'un éditeur (A) se dit "publisher", et l'autre "editor".
/D.
-
- ordre de l'été
- Messages : 454
- Inscription : 17 Juin 2007, 11:07
- Contact :
1. Assurer la reproduction, la publication et la diffusion d'une œuvre.
La diffusion. A la lecture du fuseau d'à côté, c'est bel et bien là que le bât blesse. Assurer la diffusion, ce n'est pas s'adresser à un diffuseur. C'est un travail à part entière, même pour une petite structure. C'est même "le" travail à mon sens. De faire que le livre soit connu, donc potentiellement vendu, donc potentiellement lu. Personne ne lit un livre dont il n'a jamais entendu parler, sauf s'il tombe sur lui par hasard. Et comme la plupart des artistes ne sont pas des commerciaux, c'est à la structure "intermédiaire" de faire cette part du travail. A l'éditeur.
Le public et la clientéle ne sont pas la même chose.
Je cultive ma clientéle en mettant un petit peau de terreau ou de bouse sur les pieds de chaque lecteur histoire qu'il grandisse bien et ait un beau poil luisant à l'âge adulte.
Le public ce sont les trucs lambda qui constituent l'humanité et qui ne servent qu'à vous embêter genre le voisin qui gueule et qui pue la vinasse (expérience vécue), la fille du dessous qui beugle comme une vache quand elle jouit (expérience vécue), la vieille qui vous parle de la poubelle de son voisin (expérience vécue), etc etc.
J'aime pas les gens, ils sont chi*** et ils sentent mauvais.
Je cultive ma clientéle en mettant un petit peau de terreau ou de bouse sur les pieds de chaque lecteur histoire qu'il grandisse bien et ait un beau poil luisant à l'âge adulte.
Le public ce sont les trucs lambda qui constituent l'humanité et qui ne servent qu'à vous embêter genre le voisin qui gueule et qui pue la vinasse (expérience vécue), la fille du dessous qui beugle comme une vache quand elle jouit (expérience vécue), la vieille qui vous parle de la poubelle de son voisin (expérience vécue), etc etc.
J'aime pas les gens, ils sont chi*** et ils sentent mauvais.
- Sand
- membre d'honneur
- Messages : 983
- Inscription : 06 Déc 2005, 16:26
- Localisation : Paris
- Contact :
lambertine a écrit :1. Assurer la reproduction, la publication et la diffusion d'une œuvre.
La diffusion. A la lecture du fuseau d'à côté, c'est bel et bien là que le bât blesse. Assurer la diffusion, ce n'est pas s'adresser à un diffuseur. C'est un travail à part entière, même pour une petite structure. C'est même "le" travail à mon sens. De faire que le livre soit connu, donc potentiellement vendu, donc potentiellement lu. Personne ne lit un livre dont il n'a jamais entendu parler, sauf s'il tombe sur lui par hasard. Et comme la plupart des artistes ne sont pas des commerciaux, c'est à la structure "intermédiaire" de faire cette part du travail. A l'éditeur.
Tu n'as pas la bonne définition de la diffusion. Elle se résume à "rendre disponible".
Ce dont tu parles, c'est la promotion, c'est différent.
adu a écrit :Je cultive ma clientéle en mettant un petit peau de terreau ou de bouse sur les pieds de chaque lecteur histoire qu'il grandisse bien et ait un beau poil luisant à l'âge adulte.
J'adore

J'avais fait la faute inverse quand j'étais au collège. Une dictée, ça parlait d'Africains couchés sur des lits de peaux... et moi, j'avais écrit "pots", même pas par étourderie, mais en fronçant les sourcils et en plaignant les pauvres gens obligés de se coucher sur des rangées de pots. Je me disais que ça ne devait pas être très confortable

Désolée pour le hors sujet

Dernière édition par Beltane le 31 Août 2007, 15:04, édité 3 fois.
- le_navire
- Corsaire perverse
- Messages : 611
- Inscription : 11 Août 2006, 16:00
- Localisation : Cévennes
- Contact :
Lambertine a écrit :Non. Faut pas donner ce genre d'illusions. Publication et qualité n'ont dans 80% des cas rien à voir l'une avec l'autre. Reste les 20% restnts...
On publie beaucoup de bouses. Mais un excellent bouquin trouvera toujours un éditeur. Preténdre le contraire, c'est faire croire au type qui écrit bouse sur bouse que tout le monde peut être Marc Levy. Si c'était le cas, on chercherait tous à publier des bouses...Penser qu'il existe quelque part l'auteur incompris qui a pondu une merveille dont personne ne veut....Mwahahahahahahahaha... tenez, prpoposez vous comme lecteurs dans des maisons d'édition, vous m'en recauserez...
Oh pitié ! Si je quitte le Net pour être publiée sur papier, j'espère bien que les bouquins contenant mon histoire seront trainés partout, pliés, cornés, tombés dans le bain ou abîmés par le sable. Eh, zut ! Un livre, ce n'est qu'un support. Si quelqu'un achète un jour "mon" livre pour faire plus attention à sa tranche qu'à mon histoire... qu'il s'achète une sculpture, et puis m****.
Là, tu vois qu'on peut être absolument d'accord, Lambertine...

Et pitié, Eragon est un bon bouquin pour sa tranche d'âge(et c'est pas de l'auto édition, ou la moitié des éditeurs dans le monde la pratiquent plus ou moins...C'est un coup marketing, oui !)
Mais arrêtez juste de le faire lire aux gosses de plus de 12 ans !!!!!
Revenir vers « Avis de tempête »
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 8 invités