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- Roland Vartogue
- Phacochère sacré
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Cela dit, ne t'attends pas une action à 100 à l'heure et à des péripéties de tous les instants, hein. "L'assassin royal" c'est très orienté relations entre les personnages. Donc l'intéret vient de la psychologie ; et aussi de beaucoup d'idées que l'auteur développe sur la durée et qui ont une vraie portée allégorique. En tout cas, on s'en rappelle longtemps après l'avoir lu.
Louve, il ne faudra pas t'étonner si tu trouves que le ton de Bilbo le hobbit est nettement plus "léger" que celui du Seigneur des anneaux. C'est clairement pour un public plus jeune. Mais la magie de Tolkien est toujours là.
Louve, il ne faudra pas t'étonner si tu trouves que le ton de Bilbo le hobbit est nettement plus "léger" que celui du Seigneur des anneaux. C'est clairement pour un public plus jeune. Mais la magie de Tolkien est toujours là.
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
- GabrielleTrompeLaMort
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J'ai terminé Vendredi ou les limbes du Pacifique, de Tournier, j'ai bien entamé W ou le souvenir d'enfance de Perec et, ensuite, je lirai enfin Les mensonges de Locke Lamora, de Scott Lynch, qui me fait envie depuis si longtemps. 

"Sous ce masque, c'est une idée."
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Errances en Faërie
Recueil de contes murmurés à une chouette aveugle
Sept nouvelles de six auteurs, errant dans les diverses provinces de la Faërie, les différentes maisons de l'imaginaire, de la féérie la plus pure (Aux frontières, de Stéphanie Loubechine) à la noirceur la plus totale (Bad trip en Faërie, de Guillaume Dhalluin) en passant far la fantasy fantaisiste (Les Dits de la Saigne, de Didier Willis) ou le conte régional (La Guivre des Vaux de JR Turlin). Un petit livre noir à l'extérieur, empli d'un arc-en-ciel de couleurs.
Sept nouvelles de six auteurs, errant dans les diverses provinces de la Faërie, les différentes maisons de l'imaginaire, de la féérie la plus pure (Aux frontières, de Stéphanie Loubechine) à la noirceur la plus totale (Bad trip en Faërie, de Guillaume Dhalluin) en passant far la fantasy fantaisiste (Les Dits de la Saigne, de Didier Willis) ou le conte régional (La Guivre des Vaux de JR Turlin). Un petit livre noir à l'extérieur, empli d'un arc-en-ciel de couleurs.
Le Pays du Dauphin vert, Elizabeth Goudge.
Nous sommes au XVIIIe siècle dans une bourgade des îles Anglo-Normandes. La famille du jeune William emménage rue du Dauphin Vert. L'adolescent se lie à ses deux voisines, la jolie et souriante Marguerite, et la grave Marianne, plus ingrate. On rêve, on rit, on pleure ; et l'on se moque de ce benêt de William qui, malgré sa préférence marquée pour Marguerite, ne peut s'empêcher de mélanger les prénoms des deux sœurs. Un détail idiot qui va bouleverser le cours de trois existences... William s'établit comme colon en Nouvelle-Zélande, toujours épris de son amoureuse d'hier. Prenant un jour son courage à deux mains, il demande par lettre la main de Marguerite. Quelques mois plus tard, il a la surprise de sa vie : c'est Marianne qui débarque du bateau...
C'est une très jolie fresque familiale, entre les îles anglo-normandes et la Nouvelle-Zélande. Une interrogation sur la recherche du bonheur sur fond de triangle amoureux. Il y a de l'aventure, des sentiments exacerbés, de la poésie, du rêve. C'est vraiment un bonheur ! :)
Nous sommes au XVIIIe siècle dans une bourgade des îles Anglo-Normandes. La famille du jeune William emménage rue du Dauphin Vert. L'adolescent se lie à ses deux voisines, la jolie et souriante Marguerite, et la grave Marianne, plus ingrate. On rêve, on rit, on pleure ; et l'on se moque de ce benêt de William qui, malgré sa préférence marquée pour Marguerite, ne peut s'empêcher de mélanger les prénoms des deux sœurs. Un détail idiot qui va bouleverser le cours de trois existences... William s'établit comme colon en Nouvelle-Zélande, toujours épris de son amoureuse d'hier. Prenant un jour son courage à deux mains, il demande par lettre la main de Marguerite. Quelques mois plus tard, il a la surprise de sa vie : c'est Marianne qui débarque du bateau...
C'est une très jolie fresque familiale, entre les îles anglo-normandes et la Nouvelle-Zélande. Une interrogation sur la recherche du bonheur sur fond de triangle amoureux. Il y a de l'aventure, des sentiments exacerbés, de la poésie, du rêve. C'est vraiment un bonheur ! :)
Dernière édition par zen le 17 Juil 2007, 12:31, édité 1 fois.

- Oliv
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Je ne remets pas ta parole en doute, Zen, mais est-ce que tu peux nous en dire plus sur ce roman traitant de la colonisation de la Nouvelle-Zélande au 12ème siècle, soit six cents ans avant la naissance de James Cook?
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.
Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.
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- le_navire
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Céline F. a écrit :J'ai terminé De Beaux Lendemains, de Russell Banks
Banks est sans conteste l'un des plus grands auteurs américains actuels. L'un des plus grands auteurs actuels tout court, si je puis donner mon avis sans détour.
Mais je conseillerai plutôt Sous le règne de Bone pour en démarrer la lecture que, peut-être, De beaux lendemains, à moins d'avoir le coeur bien accroché...
- SA_Avenger
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Les Jardins de la Lune de Steven Erikson
j'accroche très bien, on m'avait dit que les 300 premières pages étaient difficile moi je les trouve excellentes.
Des personnages torturés, puissants et fragiles, manipulés par les dieux. Une action sanglante et sans compromis mais qui ne fait pas dans la surenchère. Un monde teinte de gris presque noir quand même et un petit relent de compagnie noire (en mieux heureusement). Bref vivement la suite :)
j'accroche très bien, on m'avait dit que les 300 premières pages étaient difficile moi je les trouve excellentes.
Des personnages torturés, puissants et fragiles, manipulés par les dieux. Une action sanglante et sans compromis mais qui ne fait pas dans la surenchère. Un monde teinte de gris presque noir quand même et un petit relent de compagnie noire (en mieux heureusement). Bref vivement la suite :)
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