[BD] L'affaire Dada : BD policière homo (planche2 en p.3)
- kaméa
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[BD] L'affaire Dada : BD policière homo (planche2 en p.3)
Titre : "L'affaire Dada"
Genre : policier ou thriller
Public : tout public
Format : one-shot
Style recherché : filiforme, ambiance festive, jeux de couleurs
Pitch : Je vois une ambiance feutrée, très festive, dans les années folles des années 20, sur fond de charleston. Cette ambiance semble ne pas se soucier du meurtre du peintre qui vient d'avoir lieu. Cette ambiance est en plus très féminine : la meurtrière, l'enquêteuse, un couple homo hors du temps. Les personnages sont en décallage par rapport à cette ambiance, à cette époque, à ce qui vient de se passer. Et pourtant l'enquête avance...
Malheureusement, je ne suis pas douée pour les scénar. Si ça inspire quelqu'un, je me ferais bien une tite collab sympathoche...
http://dada-affair.blogspot.com
Genre : policier ou thriller
Public : tout public
Format : one-shot
Style recherché : filiforme, ambiance festive, jeux de couleurs
Pitch : Je vois une ambiance feutrée, très festive, dans les années folles des années 20, sur fond de charleston. Cette ambiance semble ne pas se soucier du meurtre du peintre qui vient d'avoir lieu. Cette ambiance est en plus très féminine : la meurtrière, l'enquêteuse, un couple homo hors du temps. Les personnages sont en décallage par rapport à cette ambiance, à cette époque, à ce qui vient de se passer. Et pourtant l'enquête avance...
Malheureusement, je ne suis pas douée pour les scénar. Si ça inspire quelqu'un, je me ferais bien une tite collab sympathoche...
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Dernière édition par kaméa le 26 Juin 2008, 18:27, édité 5 fois.
[color=#FF8000][b]Les rêves de Méa .... même pas en rêves!!!
- kaméa
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ALors j'ai trouvé ma scénariste! Trop bien!
Voilà en gros ce qu'elle a écrit :
Synopsis complet...
... et complet pour de vrai ! c'est-à-dire que si vous trouvez le courage d'avaler l'équivalent des 2 pages word, vous connaîtrez le nom du meurtrier. Promis-juré.
1e séquence : le meurtre
À travers les rues de Paris, on suit la voiture de Gabrielle, allias Gaby. Elle se rend à un vernissage chic chez un riche Américain : Albert Wilson. Dans ce cossu salon, on parle de tout et de rien… On félicite Eileen pour ses fiançailles avec Charles, le peintre qui présente ce soir ses toiles. Il est jeune, mais déjà renommé et un brillant avenir s’annonce devant eux. On parle aussi économie, politique et art. L’exposition des arts et métiers vient d’ouvrir ses portes.
Gaby s’installe près du buffet et suit tout cela d’un œil. Elle s’ennuie et griffonne des croquis sur un carnet.
Un hurlement retentit. On découvre le corps de Charles : il est en position fœtale avec un étrange signe sur le front. Un tableau a visiblement disparu, à sa place il y a une inscription sur le mur.
L’inspecteur arrive. C’est un type plutôt loufoque et très content de trouver un vrai meurtre bien tordu. Il dégage les principaux suspects, et tout particulièrement Eileen : le contrat de mariage était en réalité déjà signé, c’est elle qui hérite.
2e séquence : à Montmartre
Eileen retrouve Gaby à Montmartre dans son atelier qu’elle partage avec une bande de copains. Cette dernière lui reproche de prendre tout avec trop de désinvolture. Eileen est confiante, pour elle il n’y a aucun doute : c’est un suicide, la dernière « œuvre » de Charles. Il lui avait prédit un immense scandale. D’ailleurs le prochain numéro de La revue surréaliste qui va sortir s’intitule « Le suicide est-il la solution ? » Charles y a beaucoup participé. Il était très enthousiaste, au bord de la folie.
Gaby lui demande également des comptes concernant le contrat de mariage. Juste une signature selon Eileen. C’était un mariage d’apparat, Gaby le savait parfaitement, une simple couverture pour satisfaire les bourgeois, ses clients. Alors un jour avant ou après… Eileen abrège les explications : début de scène érotique.
Eileen et Gaby réconciliées redescendent du petit immeuble. L’inspecteur les cueille au pied de l’escalier : il veut leur parler.
Dans un troquet, l’inspecteur leur montre une lettre anonyme qu’il vient de recevoir. Il y a une photo des deux filles au pensionnat. Elles reconnaissent qu’elles sont amies depuis longtemps et ne voient pas où est le problème. L’inspecteur dit que la lettre mentionne bien plus que de l’amitié, ils emblerait même que le mariage prévu n’avait rien de très catholique… Il part.
Eileen en est sûre : c’est son père qui avait cette photo. Mais pourquoi avoir mis les flics sur leur piste ?
3e séquence : chez les Wilson
Retour à la maison. Les filles fouillent le bureau d’Albert Wilson. Elles trouvent un coffre secret et parviennent à l’ouvrir. Dedans il y a des documents, des chiffres, des photos d’objets. Les filles comprennent que le père trafique des objets d’art. La porte s’ouvre et l’on pointe un revolver sur les jeunes filles. Il y a une scène de lutte. Gaby attrape le revolver dans le coffre secret et parvient à maîtriser la situation. C’est le père. Les filles s’apprêtent à l’interroger.
Elles remarquent alors que dans le coffre, il y a aussi le tableau volé de Charles (reconnaissable car très semblable à toutes les autres. Il était dans sa période bleue, disons
Or ce tableau contient en collage des extraits des documents compromettants : c’était ça le scandale promis !
Le père nie violemment avoir tué Charles. C’est vrai, il a pris la toile, mais c’était pour éviter le scandale et le déshonneur, y compris pour Charles. C’est lui aussi qui a écrit sur le mur… Un clin d’œil, plus qu’une menace… Un appel à la raison en fait. L’Art, avec les nouveaux concepts surréalistes, lui avait tourné la tête, il devenait fou. Mais il aimait Charles comme un fils, jamais il ne l’aurait tué. Eileen le croit. Si c’était lui, il aurait brûlé le tableau.
Il ignore également qui a pu envoyer la photo des deux filles. Elle était dans une boîte pleine de vieilleries, au-dessus de sa commode, dans sa chambre. Ils y vont ensemble. Ils y trouvent une étrange poupée vaudoue entourée d’une peau de serpent.
L’inspecteur a été appelé pour juger de la découverte. Ils en parlent au salon, en buvant le thé. Dorothée, la vieille servante noire, déchiffre la signification du serpent : « l’obi » a été lâché. C’est une malédiction très puissante qui se nourrit de la haine.
4e acte : au jazz club
Gaby sent qu’un truc lui a échappé… Elle prend son carnet de croquis. Ensemble elles reconnaissent Jack sous les traits du groom. Mais pourquoi tient-il une sacoche de trompette ? Jack est pianiste. Il travaille au club de jazz qu’elles fréquentent. C’était aussi la dernière conquête sentimentale de Charles.
Ambiance 20’s au jazz club, avec les rythmes endiablés du Charleston. À la fin de la représentation, elles attendent Jack dans les loges. Mais quand il les voit, il prend la fuite.
Rapide course-poursuite dans le vieux quartier. Les filles se séparent. Gaby est arrêtée par une bande de clochards louches. C’est Jack qui la tire d’affaire. Mais Eileen arrive par derrière et pointe son revolver sur lui. Il crie son innocence. Ils ont eu une discussion houleuse avec Charles. Il y a eu des coups donnés, mais il n’était pas armé. Il ne sait pas qui l’a tué.
On voit le canon d’un revolver briller dans la nuit et une voix qui s’accuse. La lumière se fait, c’est Dorothée la vieille servante noire. La mère de Jack. (Mais si, cette dame qu’on voit depuis le début en arrière plan ! Vous ne l’aviez pas repérée ?)
Elle était au courant de tout, de la relation de Jack et de Charles, un déshonneur pour toute la famille, elle savait aussi que Charles utilisait son fils pour transporter de la poudre, d’où la sacoche de trompette. Mépris et colère contre les blancs, les « maîtres ».
Jack veut s’accuser à sa place, mais elle refuse et s’accuse de plus belle. Elle s’écroule, visiblement à bout, et se laisse arrêter.
5e séquence : épilogue
L’inspecteur félicite les deux filles. Il a eu des aveux complets. Ça faisait un bout de temps que la vieille mijotait son coup.
Les filles ne répondent pas. Elles ne sont pas très fières d’elles.
Dernière page, dernière scène : le père de Eileen rend visite à la vieille Dorothée en prison. Il lui dit qu’elle a parfaitement joué son rôle et qu’il saura respecter ses engagements de son côté. Il prendra soin de ses enfants comme des siens. Qu’elle ne s’inquiète plus de rien.
Alors, alors ? Elle vous plaît notre histoire ?
:-)
Voilà en gros ce qu'elle a écrit :
Synopsis complet...
... et complet pour de vrai ! c'est-à-dire que si vous trouvez le courage d'avaler l'équivalent des 2 pages word, vous connaîtrez le nom du meurtrier. Promis-juré.
1e séquence : le meurtre
À travers les rues de Paris, on suit la voiture de Gabrielle, allias Gaby. Elle se rend à un vernissage chic chez un riche Américain : Albert Wilson. Dans ce cossu salon, on parle de tout et de rien… On félicite Eileen pour ses fiançailles avec Charles, le peintre qui présente ce soir ses toiles. Il est jeune, mais déjà renommé et un brillant avenir s’annonce devant eux. On parle aussi économie, politique et art. L’exposition des arts et métiers vient d’ouvrir ses portes.
Gaby s’installe près du buffet et suit tout cela d’un œil. Elle s’ennuie et griffonne des croquis sur un carnet.
Un hurlement retentit. On découvre le corps de Charles : il est en position fœtale avec un étrange signe sur le front. Un tableau a visiblement disparu, à sa place il y a une inscription sur le mur.
L’inspecteur arrive. C’est un type plutôt loufoque et très content de trouver un vrai meurtre bien tordu. Il dégage les principaux suspects, et tout particulièrement Eileen : le contrat de mariage était en réalité déjà signé, c’est elle qui hérite.
2e séquence : à Montmartre
Eileen retrouve Gaby à Montmartre dans son atelier qu’elle partage avec une bande de copains. Cette dernière lui reproche de prendre tout avec trop de désinvolture. Eileen est confiante, pour elle il n’y a aucun doute : c’est un suicide, la dernière « œuvre » de Charles. Il lui avait prédit un immense scandale. D’ailleurs le prochain numéro de La revue surréaliste qui va sortir s’intitule « Le suicide est-il la solution ? » Charles y a beaucoup participé. Il était très enthousiaste, au bord de la folie.
Gaby lui demande également des comptes concernant le contrat de mariage. Juste une signature selon Eileen. C’était un mariage d’apparat, Gaby le savait parfaitement, une simple couverture pour satisfaire les bourgeois, ses clients. Alors un jour avant ou après… Eileen abrège les explications : début de scène érotique.
Eileen et Gaby réconciliées redescendent du petit immeuble. L’inspecteur les cueille au pied de l’escalier : il veut leur parler.
Dans un troquet, l’inspecteur leur montre une lettre anonyme qu’il vient de recevoir. Il y a une photo des deux filles au pensionnat. Elles reconnaissent qu’elles sont amies depuis longtemps et ne voient pas où est le problème. L’inspecteur dit que la lettre mentionne bien plus que de l’amitié, ils emblerait même que le mariage prévu n’avait rien de très catholique… Il part.
Eileen en est sûre : c’est son père qui avait cette photo. Mais pourquoi avoir mis les flics sur leur piste ?
3e séquence : chez les Wilson
Retour à la maison. Les filles fouillent le bureau d’Albert Wilson. Elles trouvent un coffre secret et parviennent à l’ouvrir. Dedans il y a des documents, des chiffres, des photos d’objets. Les filles comprennent que le père trafique des objets d’art. La porte s’ouvre et l’on pointe un revolver sur les jeunes filles. Il y a une scène de lutte. Gaby attrape le revolver dans le coffre secret et parvient à maîtriser la situation. C’est le père. Les filles s’apprêtent à l’interroger.
Elles remarquent alors que dans le coffre, il y a aussi le tableau volé de Charles (reconnaissable car très semblable à toutes les autres. Il était dans sa période bleue, disons
Or ce tableau contient en collage des extraits des documents compromettants : c’était ça le scandale promis !
Le père nie violemment avoir tué Charles. C’est vrai, il a pris la toile, mais c’était pour éviter le scandale et le déshonneur, y compris pour Charles. C’est lui aussi qui a écrit sur le mur… Un clin d’œil, plus qu’une menace… Un appel à la raison en fait. L’Art, avec les nouveaux concepts surréalistes, lui avait tourné la tête, il devenait fou. Mais il aimait Charles comme un fils, jamais il ne l’aurait tué. Eileen le croit. Si c’était lui, il aurait brûlé le tableau.
Il ignore également qui a pu envoyer la photo des deux filles. Elle était dans une boîte pleine de vieilleries, au-dessus de sa commode, dans sa chambre. Ils y vont ensemble. Ils y trouvent une étrange poupée vaudoue entourée d’une peau de serpent.
L’inspecteur a été appelé pour juger de la découverte. Ils en parlent au salon, en buvant le thé. Dorothée, la vieille servante noire, déchiffre la signification du serpent : « l’obi » a été lâché. C’est une malédiction très puissante qui se nourrit de la haine.
4e acte : au jazz club
Gaby sent qu’un truc lui a échappé… Elle prend son carnet de croquis. Ensemble elles reconnaissent Jack sous les traits du groom. Mais pourquoi tient-il une sacoche de trompette ? Jack est pianiste. Il travaille au club de jazz qu’elles fréquentent. C’était aussi la dernière conquête sentimentale de Charles.
Ambiance 20’s au jazz club, avec les rythmes endiablés du Charleston. À la fin de la représentation, elles attendent Jack dans les loges. Mais quand il les voit, il prend la fuite.
Rapide course-poursuite dans le vieux quartier. Les filles se séparent. Gaby est arrêtée par une bande de clochards louches. C’est Jack qui la tire d’affaire. Mais Eileen arrive par derrière et pointe son revolver sur lui. Il crie son innocence. Ils ont eu une discussion houleuse avec Charles. Il y a eu des coups donnés, mais il n’était pas armé. Il ne sait pas qui l’a tué.
On voit le canon d’un revolver briller dans la nuit et une voix qui s’accuse. La lumière se fait, c’est Dorothée la vieille servante noire. La mère de Jack. (Mais si, cette dame qu’on voit depuis le début en arrière plan ! Vous ne l’aviez pas repérée ?)
Elle était au courant de tout, de la relation de Jack et de Charles, un déshonneur pour toute la famille, elle savait aussi que Charles utilisait son fils pour transporter de la poudre, d’où la sacoche de trompette. Mépris et colère contre les blancs, les « maîtres ».
Jack veut s’accuser à sa place, mais elle refuse et s’accuse de plus belle. Elle s’écroule, visiblement à bout, et se laisse arrêter.
5e séquence : épilogue
L’inspecteur félicite les deux filles. Il a eu des aveux complets. Ça faisait un bout de temps que la vieille mijotait son coup.
Les filles ne répondent pas. Elles ne sont pas très fières d’elles.
Dernière page, dernière scène : le père de Eileen rend visite à la vieille Dorothée en prison. Il lui dit qu’elle a parfaitement joué son rôle et qu’il saura respecter ses engagements de son côté. Il prendra soin de ses enfants comme des siens. Qu’elle ne s’inquiète plus de rien.
Alors, alors ? Elle vous plaît notre histoire ?
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[color=#FF8000][b]Les rêves de Méa .... même pas en rêves!!!
- kaméa
- ordre de l'hiver
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Sur toute une planche, je sais que t'as du mal à avoir une vue graphique Enger, mais je peux moi t'assurer que ça va donner un super ensemble!
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- enger
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Je te connais bien et je suis sûr que si tu le dis c'est que c'est vrai.
Je suis impatient de voir la première planche et d'en prendre plein la vue graphique.
Il y a une section illustration pour vos dessins et planches. Je vous dis ça juste pour que vous ne vous fassiez pas taper sur les doigts.
Longue vie à DADA AFFAIR.
Je suis impatient de voir la première planche et d'en prendre plein la vue graphique.
Il y a une section illustration pour vos dessins et planches. Je vous dis ça juste pour que vous ne vous fassiez pas taper sur les doigts.
Longue vie à DADA AFFAIR.
De la folie jaillit la lumière et le rêve.
- kaméa
- ordre de l'hiver
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Mais je ne sais pas comment déplacer ce topic, et surtout si on peut aller direct en BD sans passer par la case "répétition de scénar" pour que tout le monde comprenne. Un admin pour nous répondre?
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- kaméa
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Et voilà la première moitié de la première planche. La seconde moitié est à l'encrage, je vous la poste dès ce soir je pense.
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- kaméa
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Comment faire pour l'agrandir quand on clique dessus?[/img]
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- kaméa
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On va le laisser placer en dessous parce qu'on va certainement continuer la page de journal SOUS les cases.
En tout cas merci beaucoup de suivre le projet.
En tout cas merci beaucoup de suivre le projet.
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- kaméa
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En fait t'as vu Alex? Tout ce qu'on me reproche sur cette planche est ce que j'ai fait par ordi.... Ca me rassure sur ma line dans un sens...
Faut qu'on trouve une façon de faire pour nos bulles. Tu vas peut-être devoir les faire sous toshop finalement, pour le rendu "propre" que veut Alice, mais je tiens à tout écrire à la main. Je prévoirai la place des bulles, et tu feras le reste?
Mais bon, je pensais qu'on allait critiquer ma perspective ou mes persos, ben même pas...
Et pour les détails, c'est un truc de ouf hein? lol
Faut qu'on trouve une façon de faire pour nos bulles. Tu vas peut-être devoir les faire sous toshop finalement, pour le rendu "propre" que veut Alice, mais je tiens à tout écrire à la main. Je prévoirai la place des bulles, et tu feras le reste?
Mais bon, je pensais qu'on allait critiquer ma perspective ou mes persos, ben même pas...
Et pour les détails, c'est un truc de ouf hein? lol
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