A bas l'Empire ! A mort le temps

L'auteur :
Guillaume Bieron

Le Libre-court de la nouvelle :

 

Biographie de l'auteur :

Webdesigner en région parisienne au sein d’un grand groupe médias, Guillaume Biéron s’est pris très tôt d’affection pour les histoires étranges et surtout inclassables. En 2009, il s’est enfin décidé à prendre la plume pour donner vie à tous ces mondes qui gravitent dans son crâne. À travers les différents genres de l’imaginaire, il s’interroge sur des thématiques telles que l’identité sexuelle, la filiation ou bien l’aliénation. Ses influences le mènent de H.P. Lovecraft à Philip K. Dick, en passant par China Miéville, Alain Damasio ou encore Jérôme Noirez. Il a essaimé quelques nouvelles au sein d’anthologies aussi diverses que Sur les traces de Lovecraft, Éditions Nestiveqnen, Entre rêves et irréalité, Éditions Arkuiris, Otherlands Soundtracks, Éditions Otherlands et Nutty Women, Éditions Nutty Sheep.

Guillaume Bieron

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L'illustrateur :
Cédrick Towa

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Biographie de l'illustrateur :

Cédrick TOWA « Wato » est diplômé de l’école supérieure des Beaux-Arts d’Angers, et titulaire d’un DNSEP depuis 2009. Il a ensuite travaillé en tant que graphiste print avec l’Association Compagnie Soulshine, et avec des agences et collectifs d’artistes tels que Whip, Akoufen, Blackbox production ou encore Sleeping eight studio. Actuellement enseignant à l’EEGP (École européenne de graphisme et publicité) à Angers et concept artiste freelance, il décide après ses années d’expériences dans le graphisme de se consacrer entièrement à sa première passion : l’illustration. Autant à l’aise avec l’outil traditionnel que digital, et à la recherche constante de visuels impactants et créatifs, son style gravite autour d’un univers d’heroic fantasy, de science-fiction, et reste ouvert par moment au manga et d’autres styles. Passionné par ce métier et avide de connaissances, il est avant tout un créateur d’images.

Cédrick Towa

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Le compositeur :
Marion Boulay

Composé sur le texte de Guillaume Bieron :
A bas l'Empire ! A mort le temps

 

Biographie du compositeur :

J’ai d’abord fait une licence de musicologie à l’université d’Évry-Val-d’Essonne, spécialisée dans la pédagogie, puis un master en recherche et ingénierie musicale. J’ai rejoint l’EICAR en 2017 pour une année en sound designer afin d’élargir mes compétences. Depuis septembre 2018, je continue ma formation en réalisation sonore spécialisée dans la composition (principalement orchestrale). En parallèle, je participe à des concerts symphoniques et des ciné-concerts à Paris en tant que choriste soprano, ce qui me permet de chanter dans de grandes salles parisiennes, de rencontrer des chefs d’orchestre réputés ainsi que de collaborer avec certains des plus grands compositeurs de musiques de films actuels, tels que Danny Elfman ou Joe Hisaishi. J’ai également rejoint en tant que choriste le collectif du Free Spirit, qui est une association caritative bénévole qui regroupe environ deux cents professionnels, afin de donner des concerts et faire des spectacles dont une grande partie des bénéfices est reversée à des associations diverses (orphelinats, programmes de reforestations etc.).

Marion Boulay

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Le realisateur :
Allan Merlier

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Biographie du realisateur :

À vingt-quatre ans, je suis étudiant en réalisation audiovisuelle à Bordeaux. Le cinéma, je l’ai découvert lorsque je n’étais qu’un enfant vivant au dernier étage d’un immeuble de banlieue parisienne, qui regardait des films avec son père. C’est vers l’âge de treize ans qu’avec une bande de copains nous décidâmes d’occuper nos week-ends à réaliser de petites vidéos avec les moyens du bord dans nos jardins résidentiels. Cela n’était pas glorieux mais la passion y était. Par la suite mon adolescence a été rythmée par les films, les séries et les mangas. Le lycée occupant plus de temps, et les mentalités grandissant, les week-ends de tournages devinrent plus rares, puis disparurent. Après un bac scientifique je me lançai dans l’assouvissement de ma curiosité en choisissant des études de physique à Orléans, l’idée de faire du cinéma était toujours bien présente, et je ne me voyais pas scientifique, juste curieux, je fis alors du théâtre en parallèle de mes études. Ce qui me plaît le plus dans le cinéma, c’est d’être plongé dans un univers fictif. La science-fiction et le fantastique, ces univers inventés m’ont toujours fait rêver, j’aime moi-même en inventer et la science est source d’inspiration. Le tracé de ma vie n’est pas un hasard, ce choix était déjà fait depuis bien longtemps. Avoir un jour la chance de faire un long-métrage serait pour moi l’une de mes plus grandes réussites.

Allan Merlier

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