Si je peux faire un résumé, je dirais que pour tout le monde, l’italique peut et doit servir à certains petits trucs institutionnels, genre titres ou mots en langues étrangères.
Pour une grande majorité, ça vous sert à différencier des pensées ou des dialogues un peu complexes.
Pour certains, au moins pour Neryelle, ça vous sert à accentuer certains mots pour leur donner un sens particulier.
Il y a quelques irréductibles Gaulois là-bas dans le fond

, mais dans l’ensemble, ça m’a l’air assez bien accepté. Je n’aurais vraiment pas cru (même Oliv n’a pas voté pour la marque du démon…).
J’ai bien noté aussi la remarque d’utika sur les lecteurs bigleux.
Moi, je serais assez de l’avis de Neryelle, à penser que c’est un outil comme un autre. Pour moi, interdire l’italique juste parce qu’on peut faire sans, ce serait un peu comme, mettons, refuser de bricoler avec un marteau et des clous, parce qu’on peut très bien utiliser des vis et un tournevis à la place. Oui, c’est vrai. Mais ce n’est pas pareil.
Je trouve que notamment dans le registre familier et proche du langage parlé, les intonations sont importantes et l’italique peut être drôlement utile au cas par cas, même s’il faut éviter de tomber dans l’excès.
A vrai dire, je trouve que rien ne permet d’exprimer exactement la pensée. Les mots n’y suffisent pas évidemment, alors tout ce qui peut les aider un peu à s’en approcher, j’aime bien.
Un grand merci à tous ceux qui ont donné leur avis !
