Faire un scénario : avoir une suite et terminer son roman !
- Bloody Rose
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Le syndrome de l'histoire sans fin
Bon j'ai voulu faire joli dans le titre mais en fait je devrais parler du syndrome de l'histoire qui n'a pas de scénario...
Voilà j'aimerais bien savoir s'il y a ici des gens qui vivent ou ont déjà vécu cette sensation troublante du début sans suite. Je ne parle pas de tous les brouillons et ébauches de commencements qui pourrissent au fond de beaucoup de tiroirs d'écrivains
, je parle de cette espèce de malédiction qui pousse à n'écrire que des débuts, mais alors tout un tas de débuts. Et jamais rien n'est fini. Parfois, un scénario pointe le bout de son nez, mais non on ne sait pas de toute façon comment continuer ce début et du coup on préfère s'arrêter là.
Pour essayer de s'encourager, on donne le début en question à lire à quelqu'un, qui le trouve vraiment vraiment prometteur. Ben oui mais l'encouragement ne marche pas. Et à quoi ça sert d'écrire de beaux débuts si on ne termine jamais rien?
C'est ce que je vis depuis un sacré bout de temps, et pourtant j'ai énormément écrit dans mon enfance et dans mon adolescence, et j'ai déjà fini des choses. Alors pourquoi d'un seul coup, plus rien?
Pensez-vous qu'il peut y avoir un changement radical de perception chez l'écrivain et qu'au lieu d'inventer des histoires il se met tout à coup à n'inventer que des scènes sans lien entre elles et qui pourraient toutes être le début d'une nouvelle différente? Pensez-vous que c'est de la paresse? Ou carrément une perte totale d'imagination? Ou tout simplement une incapacité à inventer des péripéties?
Voilà j'aimerais beaucoup avoir des avis, alors s'il vous plait ne laissez pas mon post sans réponse
Voilà j'aimerais bien savoir s'il y a ici des gens qui vivent ou ont déjà vécu cette sensation troublante du début sans suite. Je ne parle pas de tous les brouillons et ébauches de commencements qui pourrissent au fond de beaucoup de tiroirs d'écrivains

Pour essayer de s'encourager, on donne le début en question à lire à quelqu'un, qui le trouve vraiment vraiment prometteur. Ben oui mais l'encouragement ne marche pas. Et à quoi ça sert d'écrire de beaux débuts si on ne termine jamais rien?
C'est ce que je vis depuis un sacré bout de temps, et pourtant j'ai énormément écrit dans mon enfance et dans mon adolescence, et j'ai déjà fini des choses. Alors pourquoi d'un seul coup, plus rien?
Pensez-vous qu'il peut y avoir un changement radical de perception chez l'écrivain et qu'au lieu d'inventer des histoires il se met tout à coup à n'inventer que des scènes sans lien entre elles et qui pourraient toutes être le début d'une nouvelle différente? Pensez-vous que c'est de la paresse? Ou carrément une perte totale d'imagination? Ou tout simplement une incapacité à inventer des péripéties?
Voilà j'aimerais beaucoup avoir des avis, alors s'il vous plait ne laissez pas mon post sans réponse

Mais tu sais je suis pauvre et je n'ai que mes rêves
J'ai déroulé mes rêves sous tes pieds,
Marche doucement, car tu marches sur mes rêves
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- Oliv
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La solution dans le cas que tu nous présentes, Hénée, ne serait-elle pas d'arrêter de croire que le roman - voire la trilogie, ou plus si affinités - est le seul format valable, mais qu'existe également un truc formidable nommé "nouvelle"? Parce que là, j'ai l'impression que tu nous décris le cheminement du jeune auteur tout fou qui a une idée prétendument géniale et qui pense pouvoir tenir 500 000 signes avec cette idée... Jusqu'à s'apercevoir, au bout de 30 000 signes, qu'il fait fausse route. Et de tenter un nouveau roman, avec une nouvelle idée, jusqu'à ce que mort s'ensuive.
En bref, la meilleure façon d'aller au bout d'un projet d'écriture, c'est peut-être d'employer la forme courte, non?
En bref, la meilleure façon d'aller au bout d'un projet d'écriture, c'est peut-être d'employer la forme courte, non?
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.
Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.
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Mais là est tout le problème, Oliv, c'est que cela fait longtemps que j'ai abandonné le roman pour privilégier la nouvelle. Et j'en ai écrite plusieurs, avant de sombrer dans ce trou sans fond.
Les débuts dont je parle ne sont que des débuts de nouvelles... Ils font en général une page, et c'est tout... Je sais ça peut paraître ridicule. La solution dans ce cas est surement d'abandonner l'écriture.
Les débuts dont je parle ne sont que des débuts de nouvelles... Ils font en général une page, et c'est tout... Je sais ça peut paraître ridicule. La solution dans ce cas est surement d'abandonner l'écriture.
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Le truc, c'est que ton histoire possède AVANT TOUT un MacGuffin (une expression inventée par Alfred Hitchcock). Que désigne ce nom étrange ? Eh bien, il désigne le but de l'histoire, ce qui fait agir les personnages. Puisque cette expression est dûe à Hitchcock, autant tirer des exemples de ses films (au cas où tu ne les aurais pas vus, je te les recommande) :
Avant d'écrire un début, avant d'imaginer des péripéties, trouve le MacGuffin de ton histoire. Quand tu tiens un MacGuffin, les péripéties coulent de source. Mais si tu n'as pas de MacGuffin, tu n'écriras qu'un début !
Il peut arriver qu'on trouve un MacGuffin après avoir écrit un début qui trottait dans la tête : ça m'est arrivé dernièrement. Mais si je n'avais pas trouvé de MacGuffin, cette histoire en serait restée au stade de début !
C'est bien compris ? Une histoire = un MacGuffin ! Tant que tu ne l'as pas, tu ne peux même pas rêver d'ébaucher l'ombre de l'amorçage du commencement de la première lettre d'une suite à ton début !
- La main au collet : le MacGuffin est la traque du cambrioleur
La mort aux trousses : Roger Thornill a pour MacGuffin la vérité sur George Kaplan.
Sueurs froides : le MacGuffin est l'amour de Scottie Fergusson pour le sosie de cette femme qu'il a aimée et qui s'est suicidée presque sous ses yeux...
Avant d'écrire un début, avant d'imaginer des péripéties, trouve le MacGuffin de ton histoire. Quand tu tiens un MacGuffin, les péripéties coulent de source. Mais si tu n'as pas de MacGuffin, tu n'écriras qu'un début !
Il peut arriver qu'on trouve un MacGuffin après avoir écrit un début qui trottait dans la tête : ça m'est arrivé dernièrement. Mais si je n'avais pas trouvé de MacGuffin, cette histoire en serait restée au stade de début !
C'est bien compris ? Une histoire = un MacGuffin ! Tant que tu ne l'as pas, tu ne peux même pas rêver d'ébaucher l'ombre de l'amorçage du commencement de la première lettre d'une suite à ton début !
Hum j'aime beaucoup la vision du MacGuffin! Je trouve ça très vrai... Je marche trop par images je crois, j'invente un ptit bout d'univers avec un ptit bout de personnage, mais je ne leur trouve jamais de but.. C'est peut-être en effet de là que vient le problème!
Merci pour vos encouragements en tout cas

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- Oliv
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Je ne connaissais pas ce concept de MacGuffin décrit par Raphaël, mais effectivement c'est très intéressant, au point que je me suis dit en le lisant "Hey, mais c'est le cheminement de mon roman actuel qu'il est en train de décrire, le bougre!"
En effet, deux mois après le début de sa rédaction, j'avais mes persos, ma situation de départ, trois chapitres d'écrits... Mais toujours pas de but à tout cela. Il me fallait trouver ce que je ne savais pas encore être un MacGuffin, sans quoi mon projet mourrait avant même d'avoir été vraiment lancé.
Quand j'ai trouvé mon MacGuffin - en gros, une histoire d'épidémie contre laquelle devraient lutter les héros - ça a été l'illumination. A partir de là, les péripéties pouvaient s'enchaîner, et même s'il m'est arrivé de sécher sur tel ou tel point de scénar, depuis ce temps là j'ai toujours ce point d'ancrage.
Voilà, ce témoignage pour confirmer la démonstration de Raphaël: sans MacGuffin, point de salut.
En effet, deux mois après le début de sa rédaction, j'avais mes persos, ma situation de départ, trois chapitres d'écrits... Mais toujours pas de but à tout cela. Il me fallait trouver ce que je ne savais pas encore être un MacGuffin, sans quoi mon projet mourrait avant même d'avoir été vraiment lancé.
Quand j'ai trouvé mon MacGuffin - en gros, une histoire d'épidémie contre laquelle devraient lutter les héros - ça a été l'illumination. A partir de là, les péripéties pouvaient s'enchaîner, et même s'il m'est arrivé de sécher sur tel ou tel point de scénar, depuis ce temps là j'ai toujours ce point d'ancrage.
Voilà, ce témoignage pour confirmer la démonstration de Raphaël: sans MacGuffin, point de salut.
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.
Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.
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Bon eh bien je me lance à la recherche d'un MacGuffin!
J'espère seulement qu'il est assee gros pour pouvoir l'attraper facilement...
(je fais référence à une de mes citations préférées d'Oscar Wilde : "La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit") 
J'espère seulement qu'il est assee gros pour pouvoir l'attraper facilement...


Mais tu sais je suis pauvre et je n'ai que mes rêves
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Je marche trop par images je crois,
Et bien, et bien... Ce n'est peut-être pas une si mauvaise chose que ça. La prochaine fois que tu as une de ces images, demande toi comment "on" a pu arriver à une telle image et où une telle chose pourrait "le" mener. Tu trouveras peut-être ce fameux MacGuffin...
Sinon, comme le proposait Chwip, un boite fendue (franchement meilleure comme appellation que "boite à merde", merci Chwip), quelques jours, semaines, mois... Et ces images te resserviront peut-être par la suite, pour d'autres histoires, qui sait.
Ma seule arme dans ce monde: les mots, aussi tranchants et sanglants que la meilleure des lames...
~Phylia~
~Phylia~
Ca n'ennuie personne si je précise mon témoignage ?
L'histoire à laquelle je pense est sur un autre forum. J'ai créé un univers : notre bonne vieille Terre colonisée par des extra-terrestres depuis des années. Imaginez la campagne changée en désert, les grandes villes reconstruites avec une architecture hideuses, les humains qui croupissent dans des ruines, la mer changée en acide et vous aurez une idée de mon univers. Dans cet univers, j'avais imaginé une jeune fille abandonnée par sa mère (toutes deux étaient sur le point d'être tuées par une patrouille extra-terrestre) dans son enfance et qui poursuivait sa vengeance. Je me rendais bien compte que l'histoire n'allait pas tenir la route barrée comme elle était.
C'est alors que m'est venu un MacGuffin : des plans volés par la Résistance afin d'attaquer la résidence terrienne de l'empereur extra-terrestre. En partant de là, j'ai pu imaginer des personnages, relier de façon cohérente des personnages déjà trouvés... et faire évoluer le personnage de ma jeune héroïne. Tel qu'elle a évolué, je tiens même un MacGuffin pour une saga !
Et crois-moi, Hénée : l'histoire coule pratiquement de source, maintenant ! Bon, là, je suis obligé de la ralentir pour participer à un concours sur le thème des zombies... mais je ne l'abandonne pas !
L'histoire à laquelle je pense est sur un autre forum. J'ai créé un univers : notre bonne vieille Terre colonisée par des extra-terrestres depuis des années. Imaginez la campagne changée en désert, les grandes villes reconstruites avec une architecture hideuses, les humains qui croupissent dans des ruines, la mer changée en acide et vous aurez une idée de mon univers. Dans cet univers, j'avais imaginé une jeune fille abandonnée par sa mère (toutes deux étaient sur le point d'être tuées par une patrouille extra-terrestre) dans son enfance et qui poursuivait sa vengeance. Je me rendais bien compte que l'histoire n'allait pas tenir la route barrée comme elle était.
C'est alors que m'est venu un MacGuffin : des plans volés par la Résistance afin d'attaquer la résidence terrienne de l'empereur extra-terrestre. En partant de là, j'ai pu imaginer des personnages, relier de façon cohérente des personnages déjà trouvés... et faire évoluer le personnage de ma jeune héroïne. Tel qu'elle a évolué, je tiens même un MacGuffin pour une saga !
Et crois-moi, Hénée : l'histoire coule pratiquement de source, maintenant ! Bon, là, je suis obligé de la ralentir pour participer à un concours sur le thème des zombies... mais je ne l'abandonne pas !
- Syven
- Biquette
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- Inscription : 24 Jan 2005, 13:40
- Localisation : En pleine errance...
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Je finis par reprendre mes textes un jour ou l'autre. J'ai 2-3 débuts de nouvelles que j'ai mis de côté, mais ça viendra.
Et pour les romans, j'ai plus de recherches de perso que de vrais débuts. De toute façon, je suis obligée de penser au prochain projet. Sinon, j'aurais l'mpression de ne plus être inspirée (d'être finie...)
edit: Boarh, j'ai fait les comptes, 1 roman fini, 1 quasi, 1 entamé (mais les 3 se suivent), 1 en élaboration (2 chapitres, scénario en travail, recherches en cours pour le contexte XIXe), et un autre, celui-là, vraiment pour plus tard, avec en cours, quelques études de perso. C'est équilibré.
Et pour les romans, j'ai plus de recherches de perso que de vrais débuts. De toute façon, je suis obligée de penser au prochain projet. Sinon, j'aurais l'mpression de ne plus être inspirée (d'être finie...)

edit: Boarh, j'ai fait les comptes, 1 roman fini, 1 quasi, 1 entamé (mais les 3 se suivent), 1 en élaboration (2 chapitres, scénario en travail, recherches en cours pour le contexte XIXe), et un autre, celui-là, vraiment pour plus tard, avec en cours, quelques études de perso. C'est équilibré.

Dernière édition par Syven le 08 Août 2006, 10:02, édité 1 fois.
- Max Katarn
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Raphael> c'est du HS, mais ce concours pour les Zombies, c'est un appel à textes ? Parce que ça m'interresse grandement !
Bon, revenons au sujet. Le syndrome que tu décris, Hénée, j'en ai été victime disons, depuis mon plus jeune âge jusqu'à mes 18 ans, à peu près. Et non, ce n'est pas le fait d'être majeur qui a changé ma vie, mais j'ai commencé à cette époque à étudier la structure des scénarios.
Donc depuis, je n'écris rien sans avoir un synopsis (bien que l'histoire en elle-même puisse parfois manquer cruellement de structure... telle est la différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin).
C'est d'ailleurs amusant qu'on cite Hitchcock dans ce topic, ses films sont des réfèrences en matière de structure narrative.
Comme il a été dit précédemment, trouve un but à ton histoire. Tu arriveras peut-être à y placer plusieurs élèments qui te plaisent tant dans tes débuts, et à les "mélanger" pour grossir ton récit.
Bon, revenons au sujet. Le syndrome que tu décris, Hénée, j'en ai été victime disons, depuis mon plus jeune âge jusqu'à mes 18 ans, à peu près. Et non, ce n'est pas le fait d'être majeur qui a changé ma vie, mais j'ai commencé à cette époque à étudier la structure des scénarios.
Donc depuis, je n'écris rien sans avoir un synopsis (bien que l'histoire en elle-même puisse parfois manquer cruellement de structure... telle est la différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin).
C'est d'ailleurs amusant qu'on cite Hitchcock dans ce topic, ses films sont des réfèrences en matière de structure narrative.
Comme il a été dit précédemment, trouve un but à ton histoire. Tu arriveras peut-être à y placer plusieurs élèments qui te plaisent tant dans tes débuts, et à les "mélanger" pour grossir ton récit.
Phylia > Avec plaisir, je ne me sentais pas d'expliquer le concept avec les termes "boîte à merde".
Max > Il ne faut pas oublié qu'un roman / nouvelle / texte en général évolue. Donc synopsis oui, sans forcémen chercher à y coller absolument
Hénée > Bonne chance, tiens nous au courant!
LONGUE VIE AU MacGuffin
Max > Il ne faut pas oublié qu'un roman / nouvelle / texte en général évolue. Donc synopsis oui, sans forcémen chercher à y coller absolument

Hénée > Bonne chance, tiens nous au courant!
LONGUE VIE AU MacGuffin
Je sens que je vais poster un truc sacrément inutile, mais bon, c'est pas grâve XD.
Moi aussi j'ai connut ça il y a quelques années, même pour des nouvelles. Une idée, je commençais à écrire, et au bout de quelques pages le néant total. Et si je me forçais pour trouver une intrigue qui collerait avec mon début, et bien, le plkus souvent je finissais avec quelque chose de catastrophique qui ne tenait pas la route...
Depuis je ne me force pas, et j'en reviens à mon "monothème/technique perso" qui consiste à rêvasser jusqu'au moment où je m'apperçois que je viens une histoire, avec un début, un milieu, et une fin. A ce moment là si je suis motivé, je commence à bosser dessus. Sinon, je la laisse de côté, mais je ne fais rien quand je n'ai qu'un début, et seulement un début.
...
Bon OK, ça ne fait pas avancer le schmilblick. -_-
Moi aussi j'ai connut ça il y a quelques années, même pour des nouvelles. Une idée, je commençais à écrire, et au bout de quelques pages le néant total. Et si je me forçais pour trouver une intrigue qui collerait avec mon début, et bien, le plkus souvent je finissais avec quelque chose de catastrophique qui ne tenait pas la route...
Depuis je ne me force pas, et j'en reviens à mon "monothème/technique perso" qui consiste à rêvasser jusqu'au moment où je m'apperçois que je viens une histoire, avec un début, un milieu, et une fin. A ce moment là si je suis motivé, je commence à bosser dessus. Sinon, je la laisse de côté, mais je ne fais rien quand je n'ai qu'un début, et seulement un début.
...
Bon OK, ça ne fait pas avancer le schmilblick. -_-
- Max Katarn
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