Thomas Spok a écrit :Et le comic est fidèle, ou non ?
Je ne l'ai pas lu.
Thomas Spok a écrit :Du coup, il les mord pas trop fort ?
C'est fifty-fifty fesses / canines. Non, je n'ai pas dit que l'héroine se fait mordre les
fesses. Ch'est plein de chex, avec, le plus souvent, tout le monde et n'importe qui.
Je mentionnais dans un post précédent á Teara le nom de Jeaniene Frost. Peut-etre a-t-elle lu des romans de cet auteur ?
D'apres certaines critiques, il semblerait que son cycle "Chasseuse de la nuit" offre une histoire plus solide - et soit moins versé dans la débauche sexuelle - que la référence bit-lit "Anita Blake" (L. K. Hamilton), nymphomane aux dents longues. Et si le "vampire" n'était chez Hamilton qu'un prétexte ? A quand les elfes SM, les farfadets zoophiles ?
Les couvs francaises de A. Blake annoncent d'ailleurs le truc : pas une canine, rarement un cou ou une bouche. Le sang n'y a pas sa couleur (sauf pour la couv du T11. Un heureux hasard ?) A la place : des cuisses, des postérieurs, des galbes de hanches et des cambrures de reins.
Celle du T5 descend bien bas (rasée, l'héroine...) et celle du T6 aussi, mais c'est l'autre versant (le T2 et le T6 se copient, sauf que le sillon est plus découvert dans le T6). Pour le fétichisme - bondage, c'est celle du T10. Le T11 rappelle ses bonnes vieilles couv des "SAS" de de Villiers. Prince Malko y apparaitrait-il en ressucité ?
Bref, ce n'est pas cette perversion délicieusement horrifiante du vrai vampire qui nous fait nous interroger sur la nature du bien et du mal, sur l'immortalité et son prix. Mais de la lubricité.
Enfin, pour résumer, en tant que produit de divertissement, cette bit-lit ("paranormal romance" en anglais) atteint son objectif, et rien de mal á en dire. Mais fallait-il dénaturer et affadir á ce point ce complexe et tortueux suceur de vie ?
Ok, je sors...