Après avoir passé trois mois à voyagé, j'ai beaucoup appris sur moi-même. Il y a plusieurs mois je n'avais pas été très correct avec l'une des personnes de ce forum, si elle est encore là je lui envoie mes plus plates excuses.
Cet extrait de roman, c'est avant tout un remake de mon premier, en essayant d'y mettre d'avantage d'action.
Je souhaite savoir s’il vous entraine, s'il est compréhensible, et s'il donne envie de lire d'avantage.
Pour ceux qui pourront en plus m'aider sur l'orthographe, ce sera avec plaisir que je corrigerais mon texte.
Si vous avez eu le courage de lire, je vous remercie. Si vous n'aimez pas, je suis désolé, si vous pouvez m'éclairer, je suis ravi.
Je rentre en France dans une semaine, d’ici là j’aurais d’avantage le temps de refaire un tour sur ce forum qui s’est offert une seconde jeunesse.
Prologue
Guerre, morts, sang, empire…
Sur ces quatre mots lourds de sens, Aven se réveilla en sursaut.
« Bou ! »
Des yeux sombres, un visage cruel presque démoniaque. Une femme quarantenaire se tenait face au lit du jeune homme, en état de choc.
« Qu… Qui êtes-vous ? »
« Répond d’abord à ma question, ensuite je répondrais à la tienne. Donne-moi le nom de tes trois grands amis. »
« Et en quel honneur ? »
La femme s’approcha lentement d’Aven, puis une lame se posa sur son jeune cou.
« Si je vous les donnent, qu’arrivera-t-il ? »
« Vous et vos amis ne serrez pas tué, c’est une promesse. »
« Très bien, il y a Loïc Dujambon, Va… »
La femme appuie davantage la lame sur le cou d’Aven.
« Pas de mensonges, je souhaite juste une confirmation. »
« T…très bien. Max Leflan, Jules Vagnès, Cécile Montran. »
La lame est écartée du coup d’Aven, la femme sourit.
« Merci. Pour répondre à ta question, je suis ta future reine. »
Soudain elle disparait, sans trace, sans bruit.
Un silence de mort s’abat dans la petite chambre. Le jeune homme se rue sur son téléphone, puis tape un SMS.
« Sauvez-vous, vous êtes en danger, armez-vous aussi ! »
Envoyé, à ses trois plus chers amis. En espérant que leur portable ne soit pas en mode vibreur.
La pression monte d’un cran, Aven est seul, il ne sait pas ce qu’il doit faire, son cerveau est paralysé par la peur.
Quatre apparitions, une silhouette debout, les trois autres allongées sur le sol, inertes. Paf, Aven a maintenant rejoint ses amis dans un sommeil profond.
« Le gourdin, invention terrienne redoutable, récita la reine amusé. Faites de beaux rêve mes chéris, le cauchemar ne fait que commencer pour vous ! »
Chapitre I
« Ma reine, vos invités terriens se sont réveillé. Ils demandent de l’eau. Que devons-nous faire ? »
« Donnez leur une gorgée, mais qu’ils restent attachés. J’irais leur parler après. »
« Bien ma reine, dit-il en s’inclinant »
Les cellules de la reine étaient dehors. Les prisonniers étaient attachés par un collier en fer, relié à un immense poteau noir. En plein soleil, ces cellules ont été surnommées, brûlure torride.
Max, l’un des amis d’Aven, était le plus affecté par cette détention. Ce grand et fort rouquin de dix-sept ans, supportait très mal le soleil.
« Nôtre bonne reine accepte de vous donner gracieusement une gorgée d’eau, vous êtes des privilégiés. »
Cela faisait maintenant six heures qu’ils étaient en plein soleil, accroché à un poteau tel des chiens de garde. Ils rôtissaient sur place.
« Tu sait ce qu’on dit chez nous geôlier ? Quelqu’un qui est trop bon, est trop C… »
« Trop cool ! s’exclama Cécile qui était épuisé par ce traitement. Trop cool hein Aven ! »
Son regard lui suppliait d’approuvé, elle ne voulait pas subir d’autre châtiment, elle avait peur.
« Oui, trop cool, reprit Aven le regard triste. »
Cécile était tout pour lui, cette blonde de taille moyenne était depuis la petite école sa meilleure amie. Il déchiffra sur ses lèvres sèche le mot « merci ».
Les minutes passèrent comme des heures, Aven avait refusé l’eau, c’était sa mini rébellion. La douceur de fin de journée se faisait maintenant ressentir, au grand bonheur des quatre prisonniers.
La reine arriva à ce moment là, heureuse.
« La meilleur façon de capter votre attention, est que vous soyez épuisé. Après m’avoir écouté, je vous promets soins et festin.
La reine passa en revu chaque prisonnier, et fut heureuse de voir qu’Aven était de loin le plus affecté mentalement. C’était celui qui avait le plus envie de l’étriper. Mais sa gorge sèche et la douleur physique avait fait de lui un homme humilié et quasi muet.
« Bon, je vais tout vous expliquer de A à Z. Tout d’abord vous êtes ici dans mon royaume, sur la planète Jubis. Je vous ai personnellement amené ici pour faire de vous des gens fort. Selon des anciens de ce monde, vous êtes actuellement les quatre êtres les plus forts des trois mondes. A vous seuls, vous auriez la capacité de vaincre n’importe qu’elle armée. C’est en ce sens que vous me serrez très utile. En échange de votre engagement dans mon armée, je vous jure hospitalité, respect, et vie de prince. »
« Va au diable harpie, fit Aven d’une voix faible ma compréhensible. »
« T’es un coriace toi, je t’aime bien ! »
La reine était satisfaite, elle avait maintenant la preuve qu’Aven était quelqu’un de fort mentalement.
« En retour, vous devrez suivre un entrainement extrêmement dur. Vous serrez aussi toujours entouré par des gardes. Vous êtes bien trop précieux, alors nous allons éviter le risque de fuite de votre part. De toute manière dans les jours qui suivront vous comprendrez que je ne suis pas votre ennemi, mais belle et bien votre ami. »
Les trois amis d’Aven écoutaient attentivement, ils avaient compris que se débattre jouerait à leur défaveur.
« Levez le bras si vous acceptez mes conditions. »
Les trois amis d’Aven s’exécutèrent aussitôt.
« Je vois que je vais avoir beaucoup de travaille avec toi Aven, alors pour commencer tu resteras ici jusqu’à ce que tu accepte. Te dire que tu vas mourir si tu n’accepte jamais, est inutile. Détachez les trois autres. »
Par provocation, Aven afficha un léger sourire.
« Les amis, mangez et buvez comme de princes, c’est de ma faute si vous êtes là. Je dois en payer le prix, déclara-t-il de sa voix transformé par la douleur et le manque d’eau. »
« On ne t’oublie pas, déclara Cécile, suivit par Jules et Max. Rappelle toi que lutter ne te donnera rien de plus. »
« Oh si, je pourrait ainsi garder ma liberté de penser, dit-il à voix basse, sans que personne ne puisse l’entendre. »
Les trois amis d’Aven furent emmenés dans le palais de sa majesté la reine. La beauté du lieu ne fit ni chaud ni froid à ces trois terriens assoiffé et affamé. La reine les accompagna dans une petite salle, dans laquelle trônait une immense table en bois noir. Sur celle-ci une multitude de nourriture, et surtout de l’eau à profusion. Quatre couverts les attendaient, mais finalement seulement trois seront utilisé, Aven ne mangera pas ce soir.
Au menu, poulet rôti aux olives verte. Légume vert, de la famille des petits poids, mais au goût différent.
Tous se servirent comme des princes, la faim et la soif avaient raison de leurs craintes. Peut importe si cette nourriture est empoisonné !
Max était de loin le plus gros mangeur, il se mangea à lui seul un petit poulet, mais fit l’impasse sur les légumes.
Dès que le repas fit achevé, ils furent amenés dans une petite maison, avec un confort rudimentaire. Quatre hamacs en guise de lit, une table dans un minuscule salon, et c’est tout. La nuit va être bien plus confortable pour eux que pour Aven, qui est toujours accroché à son poteau.
Au petit matin, rien d’extraordinaire. Des bâtons de cannes à mâcher en guise de petit déjeuné, et de l’eau. A leur sorti, les gardes les prirent en charge, direction la caserne militaire. Passage obligé devant les cellules à ciel ouvert. Aven était toujours là, cassé en deux par les conditions extrême auxquels il devait faire face. Cécile s’approcha de lui.
« Cède, je te le demande. Tu vas mourir si tu continu. On a besoin de toi. »
Aucun mot ne pouvait sortir de la bouche d’Aven, un simple regard d’homme déchu pu se lire. Cécile venait de gagner une bataille, le jeune homme de perdre la sienne, son bras était levé vers le ciel. Le geôlier retira son collier, une marque rouge vive apparut sur son cou. Trois personnes furent nécessaires pour emmener Aven au palais, car il ne pouvait plus marcher.
Dans la caserne, les trois jeunes terriens durent enfiler l’habit réglementaire. Couleur jaune sable, parsemé de rouge. L’habit général ressemblait étrangement à celui des romains de l’antiquité. Puis ils durent choisir l’arme avec laquelle ils seront formés. Parmi le panel d’arme, Jules prit la hache, Max un fléau, et Cécile un arc, plus féminin selon elle.
Petit sondage, si vous n'avez pas le temps de répondre, au moins je serais s'il plait ou non

Merci.