Marcel&Co a écrit :
Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...
OMG !

Que de révélations aujourd'hui !
Marcel&Co a écrit :
Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...
Napalm Dave a écrit :La nouvelle est un exercice différent du roman: elle repose en grande partie sur sa chute et celle-ci doit généralement être percutante, provoquer soi un sourire, soi le malaise. Un roman n'obéit pas aux mêmes codes, le héros a le temps de franchir des péripéties avant d'arriver à la fin.
Napalm Dave a écrit :La nouvelle est un exercice différent du roman: elle repose en grande partie sur sa chute et celle-ci doit généralement être percutante, provoquer soi un sourire, soi le malaise. Un roman n'obéit pas aux mêmes codes, le héros a le temps de franchir des péripéties avant d'arriver à la fin.
Cibylline a écrit :si l'auteur se laisse aller à son pessimisme/optimisme naturel, il peut très bien louper la "bonne" fin pour son texte. Parce que je ne pense pas qu'elle doive dépendre de nos inclinaisons naturelles, mais bien plutôt de l'histoire elle-même et de ce qui séduira le lecteur sur le final...
Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...
lambertine a écrit :Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...
D'ailleurs, pourquoi ne pas tuer un personnage qu'on retrouvera dans l'au-delà au volume suivant ?
Blague à part ^^, vous avez raison : ça c'est le texte, produit de l'auteur, résultat de l'écriture.lambertine a écrit :Blague à part, je plussoie Beorn : une histoire sort de l'auteur, de la personnalité de l'auteur, de l'histoire de l'auteur, et la fin doit être l'accomplissement de l'histoire.
lambertine a écrit :Il me semble d'ailleurs que chez Werber aussi : ses fins sont cohérentes (et pas toujours si happy que ça, si je me souviens bien). D'ailleurs, pourquoi ne pas tuer un personnage qu'on retrouvera dans l'au-delà au volume suivant ?
Roanne a écrit :Le peu que j'ai lu de Werber m'a toujours plu, de bout en bout.
Marcel a écrit :Et puis aussi de : ecrit-on pour soi ou pour le lecteur ?
Neeva a écrit : Du coup, j'ai changé de cap, d'abord parce que la fin d'une nouvelle doit être cohérente et non se finir tout le temps bien parce que l'auteur est optimiste, ou tout le temps mal parce que l'auteur est pessimiste.
Neeva a écrit :Ensuite parce qu'il faut se renouveler (commencer une nouvelle en sachant qu'elle va se finir mal, y a plus de suspense)
Roanne a écrit :Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...
Roanne a écrit ::shock:
Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...
Ca ne ferait pas très sérieux...
Oui, la sortie, tout ça, je sais
Eterna a écrit :Quant à la fin de la trilogie des Dieux...elle est quand même pas très happy hein ! Je dirais même qu'elle est carrément amère ! En tout cas je l'ai ressenti comme ça, ça m'a mis un coup de blues...
Saxon a écrit :Roanne a écrit ::shock:
Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...
Ca ne ferait pas très sérieux...
Oui, la sortie, tout ça, je sais
Je suis impatient de lire tes contributions à l'Armoire aux épices du coup...
Bon, ok, je sors aussi.
@+
sXn
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