ce que je déteste dans vos textes
- Roland Vartogue
- Phacochère sacré
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Etant un grand fan de prologues en général, je manque d'objectivité, mais il est vrai qu'on peut facilement en faire qui n'ont de prologue que le nom.
Déjà, je ne suis pas sûr que tout le monde ait une définition claire d'un prologue. Moi je dirais que c'est une forme d'introduction du récit par une narration plutôt brève, légèrement déconnectée du reste. Généralement, on ne saisit les enjeux du prologue que longtemps après le début du livre (quand c'est pas plusieurs tomes après, pour certaines sagas...).
Son intérêt est la plupart du temps d'intriguer le lecteur, ou de poser une énigme à long terme.
Déjà, je ne suis pas sûr que tout le monde ait une définition claire d'un prologue. Moi je dirais que c'est une forme d'introduction du récit par une narration plutôt brève, légèrement déconnectée du reste. Généralement, on ne saisit les enjeux du prologue que longtemps après le début du livre (quand c'est pas plusieurs tomes après, pour certaines sagas...).
Son intérêt est la plupart du temps d'intriguer le lecteur, ou de poser une énigme à long terme.
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
- Perceron
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Pareil que Roland.
Pour ce qui est de mon prologue, il présente un personnage que l'on ne commencera à suivre que dans le tome II, et qui deviendra ensuite de plus en plus important.
Dans ce même prologue, les enjeux présentés apparaissent en filigrane dans le 1er tome, prennent de l'importance dans le second, et sont essntiels à partir du 3e.
Donc oui, j'ai la même vision du prologue.
Pour ce qui est de mon prologue, il présente un personnage que l'on ne commencera à suivre que dans le tome II, et qui deviendra ensuite de plus en plus important.
Dans ce même prologue, les enjeux présentés apparaissent en filigrane dans le 1er tome, prennent de l'importance dans le second, et sont essntiels à partir du 3e.
Donc oui, j'ai la même vision du prologue.
Avec mes salutations les plus fantaisistes
- ereneril
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Pareil que mes collègues.
Je plaide coupable, j'ai aussi un prologue.
Mon prologue relate un événement qui ont lieu 13 ans avant l'histoire. Seul un intervenant de cet épisode intervient dans le reste du roman.
Cependant, plusieurs fois au cours au roman on fait allusion à cet épisode qui a profondément marqué les esprits. On en découvre différentes facettes au fur et à mesure. C'est une espèce de fil conducteur sous-jacent.
Je plaide coupable, j'ai aussi un prologue.
Mon prologue relate un événement qui ont lieu 13 ans avant l'histoire. Seul un intervenant de cet épisode intervient dans le reste du roman.
Cependant, plusieurs fois au cours au roman on fait allusion à cet épisode qui a profondément marqué les esprits. On en découvre différentes facettes au fur et à mesure. C'est une espèce de fil conducteur sous-jacent.
Les dés ont fini de rouler...
- Draconesse
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L'un de mes récits inachevés comporte un prologue d'exactement 6 lignes qui introduit le début de l'histoire à la troisième personne (le reste est à la première).
Mais bon, c'est bien le seul et je suis pas fan de prologue... Quand je lis un bouquin, j'ai souvent envie de le sauter tellement c'est long et ennuyeux ! C'est peut-être pas partout comme ça, mais c'est l'image que j'en ai...
Mais bon, c'est bien le seul et je suis pas fan de prologue... Quand je lis un bouquin, j'ai souvent envie de le sauter tellement c'est long et ennuyeux ! C'est peut-être pas partout comme ça, mais c'est l'image que j'en ai...
~ Les affaires des nains sont comme leur barbe : pleine de noeuds. ~
Bah moi j'en ai marre de voir écrit prologue dans tous les bouqins que j'ouvre, alors j'ai décidé de faire un prélude pour le mien !
Rappel : prologue= avant de parler
prélude= avant de conter, avant l'histoire
D'où, un prologue peut-être naze, mais un prélude est souvent plus intéressant !!
Rappel : prologue= avant de parler
prélude= avant de conter, avant l'histoire
D'où, un prologue peut-être naze, mais un prélude est souvent plus intéressant !!
Ce qui nous différencie vraiment, qui fait je suis meilleur que toi ?
Ma Muse, cette éternelle Amoureuse qui a voué toute son âme à la mienne.
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- Roland Vartogue
- Phacochère sacré
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Séraphar a écrit :Bah moi j'en ai marre de voir écrit prologue dans tous les bouqins que j'ouvre, alors j'ai décidé de faire un prélude pour le mien !
Rappel : prologue= avant de parler
prélude= avant de conter, avant l'histoire
D'où, un prologue peut-être naze, mais un prélude est souvent plus intéressant !!
Au sens littéraire, il n'y a pas de différence entre prologue et prélude.

- Lyssandre
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J'aime les prologues... C'est très important pour moi. C'est un avant-goût de l'histoire qu'on ne comprendra que par la suite. C'est un peu comme si, à la fois, l'auteur nous glissait les clés pour deviner des choses cachées dans le récit et nous posait une énigme qui ne s'élucidera que par la suite. Et, parce que c'est déconnecté du reste (en apparence), il me suffit de lire le prologue et la première page du chapitre I pour savoir si je vais acheter ou non ce livre. S'il n'y a pas de prologue... C'est un peu un cheval sur trois jambes !
"La chance s'engouffra concrètement dans sa vie et l'enveloppa d'un halo d'optimisme abyssal." JP Bâchet
Ah ! l'optimisme abyssal...
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- Epistolier
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Etant un grand fan de prologues en général, je manque d'objectivité, mais il est vrai qu'on peut facilement en faire qui n'ont de prologue que le nom.
Déjà, je ne suis pas sûr que tout le monde ait une définition claire d'un prologue. Moi je dirais que c'est une forme d'introduction du récit par une narration plutôt brève, légèrement déconnectée du reste. Généralement, on ne saisit les enjeux du prologue que longtemps après le début du livre (quand c'est pas plusieurs tomes après, pour certaines sagas...).
Son intérêt est la plupart du temps d'intriguer le lecteur, ou de poser une énigme à long terme.
Yeps, alors j'ai réussi et je ne me poserais plus la question d'enlever mon prélude ou non pour mettre premier chapitre à la place !! Merci ! (comme je me suis trop bien débrouillé quand même maintenant que j'y pense oh la la, Yes !)
Yeps, exactementDe toute façon, je crois bien que Séraphar dit surtout ça pour s'amuser, non?

Prélude, domaine musical ? oui, j'ai déjà entendu ça pour le titre d'une musique. C'est peut-être ça qui m'a influencé, va savoir ^^?
Oui, mais au sens esthétique, si ! Prélude c'est plus beau, et oh merveille, je viens d'apprendre que c'est musical. Donc tant mieux si c'est la même définition, ça me convient parfaitement.Séraphar a écrit:
Bah moi j'en ai marre de voir écrit prologue dans tous les bouqins que j'ouvre, alors j'ai décidé de faire un prélude pour le mien !
Rappel : prologue= avant de parler
prélude= avant de conter, avant l'histoire
D'où, un prologue peut-être naze, mais un prélude est souvent plus intéressant !!
Au sens littéraire, il n'y a pas de différence entre prologue et prélude.
Aucune il paraîtrait, mais quelle importance, ça me fait plaisir d'écrire prélude...Je suis pas sûr de bien saisir le sens de ta réflexion, Séréphar. Quelle est la différence au juste ?

Prélude.

Ce qui nous différencie vraiment, qui fait je suis meilleur que toi ?
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- Draconesse
- ordre du printemps
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D'après mon dico, prologue est un synonyme à prélude, et vice-versa. Seule différence qui a l'air de plaire à Séraphar : prélude appartient au registre soutenu (dans le sens de l'intro). Si seulement son orthographe pouvait suivre un tel niveau 

~ Les affaires des nains sont comme leur barbe : pleine de noeuds. ~
Voui Draconesse, c'est exactement ça.
Et mon orthographe te salue bien amicalement en passant !
Il ne fait cependant que saluer car il n'a rien à dire à la fausse tigresse que tu es...
Aille ! Même pas mal ! Reaille ! Toujours pas mal !

Et mon orthographe te salue bien amicalement en passant !
Il ne fait cependant que saluer car il n'a rien à dire à la fausse tigresse que tu es...
Aille ! Même pas mal ! Reaille ! Toujours pas mal !

Ce qui nous différencie vraiment, qui fait je suis meilleur que toi ?
Ma Muse, cette éternelle Amoureuse qui a voué toute son âme à la mienne.
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Hum, c'est bien tout ça Beorn, un bon récapitulatif d'après moi... Mais il y a un mais, je ne peux m'empêcher d'intervenir au sujet d'un truc, pas plus. Au sujet du bavardage intempestif que les auteurs se plaisent à balancer en plein milieu de combat.
D'un, je suis d'accord pour dire que c'est le plus souvent mal maîtrisé et qu'en conséquent ça fait ''ringard" et c'et inutile. De plus tu mentionnes une certaine part d'incohérence. Le fait de la concentration exigée, de la peur et j'en passe. Admettons, tu prends un gamin qui se fait agresser par des voyous à notre époque.
Il est courageux ramasse une barre de métal à tout hasard et se décide à vendre chèrement sa peau. Si là, l'auteur s'amuse à du dialogue pour celui qui est agressé, il y a certainement un problème. La peur même sourde de celui qui se défend et est confronté à une situation nouvelle et dangereuse devrait lui clouer le bec, ou le faire gueuler à la rigueur. Après que les voyous causent, se moquent ou parlent une fois qu'ils l'ont mis à terre et qu'il est roué de coup, admettons.
Dans un autre contexte tel que celui de deux bons vieux chevaliers qui se battent en duel. La peur peut être de mise, la peur de mourir notamment, néanmoins ce ne sera pas la même chose et le dialogue est possible. Pour des êtres surnaturels qui maîtrise parfaitement et leur corps et leur esprit, cela est de même concevable. Je retiendrais seulement que dans tous les cas, que les antagonistes soient des experts ou autres, les dialogues doivent respecter certains critères :
- Être court, saccadé, monosyllabique presque.
- Être essentiel ou provocateur
- Il peut aussi servir, dans le cas d'entraînement entre un maître et son élève à encourager, donner des conseils.
Enfin, il existe une condition extrême dans laquelle on peut rajouter du dialogue. C'est assez important et cela aidera je l'espère ceux qui écrivent sans savoir de quoi ils parlent, faute de pouvoir eux-mêmes se battre réellement. Un combat donc, est constitué de phase, plus ou moins organisées et répétitives selon l'expérience et le style de chaque antagoniste.
1 Initiation : celui qui donnera le premier coup (d'épée ou autre) qui engagera le combat et/ou obligera son adversaire à réagir.
2 Réaction : de ou des l'adversaire(s) bien sûr (esquive, parade, attaque, magie et j'en passe) A retenir que l'on peux réagir à une attaque par une attaque justement.
3 Riposte : c'est une étape non obligatoire, principalement si celui qui a réagit est faible ou inexpérimenté, il ne pensera pas à attaquer après s'être défendu. Cette phase consiste donc à frapper à son tour en réponse à l'ouverture de l'adversaire.
4 S'ensuit nombre d'enchaînements, jusqu'à que l'un d'entre les combattants arrête de riposter, ce qui arrivera très vite s’ils se défendent par esquive et possèdent peu d'endurance.
5 Et cela finit par une phase qui nous intéresse ici plus particulièrement, la phase de retrait : Chaque combattant va se retirer du combat par un déplacement qui lui permettra de se mettre hors de portée. Cela permet de souffler un peu, de prendre ses distances, de couper l'ardeur de l'adversaire s'il enchaînait coup sur coup et commençait à vous acculer. C'est une phase indispensable. Cela permet aussi de faire le point, dégâts reçus, situation générale, remise en question personnelle ou non etc.
Ces cinq étapes sont longues autant à écrire qu'à lire, mais elle ne correspondent qu'à quelques secondes réellement. Toutes ne sont pas toujours présentent et certaines manquent, mais c'est le principal.
Seul des véritables dieux pourraient se passer de cette dernière phase ^^ et c'est donc pendant ce court laps de temps que l'on peut insérer du dialogue.
On ne peut même pas appeler ça dialogue, il faut que ça soit court, j'insiste, saccadé à cause du souffle et de la fatigue, voir bafouillant. Que ça réponde à une attente, bien sûr on ne va pas dire à l'adversaire qu'il est fourbe et j'en passe sur un ton pseudo bourge.
Les dialogues peuvent être casés aussi dans la phase d'attente, juste avant celle d'initiation, quand les adversaires se jaugent et se tournent autour en se demandant lequel attaquerait le premier. D'ailleurs des fois ça peut être très long à venir. A ce moment, ils peuvent se provoquer, se faire des remarques, prier pour leur dieu, rugir comme des bêtes ou encore lancer un cri de guerre ^^
Les dialogues peuvent apporter beaucoup à un combat, dont la vraisemblance. En principe ! Après si ça se passe pendant une grande bataille, une guerre ou contre un assassin qui rate sa cible dans sa chambre à coucher, cela doit se passer sans dialogues. Ou presque : Courtisans qui crient, général qui exhortent ses troupes, assassin qui siffle
Barf, de toute manière je pourrais écrire un roman avec ce qu'il y a à dire sur le sujet. Après je pourrais dériver sur ce que les auteurs ne mettent jamais durant tout style d'altercation mais là, m'envoyez moi un MP si ça vous intéresse parce que j'en ais encore pour long de tout détailler.
Que de défauts à combler ^^
D'un, je suis d'accord pour dire que c'est le plus souvent mal maîtrisé et qu'en conséquent ça fait ''ringard" et c'et inutile. De plus tu mentionnes une certaine part d'incohérence. Le fait de la concentration exigée, de la peur et j'en passe. Admettons, tu prends un gamin qui se fait agresser par des voyous à notre époque.
Il est courageux ramasse une barre de métal à tout hasard et se décide à vendre chèrement sa peau. Si là, l'auteur s'amuse à du dialogue pour celui qui est agressé, il y a certainement un problème. La peur même sourde de celui qui se défend et est confronté à une situation nouvelle et dangereuse devrait lui clouer le bec, ou le faire gueuler à la rigueur. Après que les voyous causent, se moquent ou parlent une fois qu'ils l'ont mis à terre et qu'il est roué de coup, admettons.
Dans un autre contexte tel que celui de deux bons vieux chevaliers qui se battent en duel. La peur peut être de mise, la peur de mourir notamment, néanmoins ce ne sera pas la même chose et le dialogue est possible. Pour des êtres surnaturels qui maîtrise parfaitement et leur corps et leur esprit, cela est de même concevable. Je retiendrais seulement que dans tous les cas, que les antagonistes soient des experts ou autres, les dialogues doivent respecter certains critères :
- Être court, saccadé, monosyllabique presque.
- Être essentiel ou provocateur
- Il peut aussi servir, dans le cas d'entraînement entre un maître et son élève à encourager, donner des conseils.
Enfin, il existe une condition extrême dans laquelle on peut rajouter du dialogue. C'est assez important et cela aidera je l'espère ceux qui écrivent sans savoir de quoi ils parlent, faute de pouvoir eux-mêmes se battre réellement. Un combat donc, est constitué de phase, plus ou moins organisées et répétitives selon l'expérience et le style de chaque antagoniste.
1 Initiation : celui qui donnera le premier coup (d'épée ou autre) qui engagera le combat et/ou obligera son adversaire à réagir.
2 Réaction : de ou des l'adversaire(s) bien sûr (esquive, parade, attaque, magie et j'en passe) A retenir que l'on peux réagir à une attaque par une attaque justement.
3 Riposte : c'est une étape non obligatoire, principalement si celui qui a réagit est faible ou inexpérimenté, il ne pensera pas à attaquer après s'être défendu. Cette phase consiste donc à frapper à son tour en réponse à l'ouverture de l'adversaire.
4 S'ensuit nombre d'enchaînements, jusqu'à que l'un d'entre les combattants arrête de riposter, ce qui arrivera très vite s’ils se défendent par esquive et possèdent peu d'endurance.
5 Et cela finit par une phase qui nous intéresse ici plus particulièrement, la phase de retrait : Chaque combattant va se retirer du combat par un déplacement qui lui permettra de se mettre hors de portée. Cela permet de souffler un peu, de prendre ses distances, de couper l'ardeur de l'adversaire s'il enchaînait coup sur coup et commençait à vous acculer. C'est une phase indispensable. Cela permet aussi de faire le point, dégâts reçus, situation générale, remise en question personnelle ou non etc.
Ces cinq étapes sont longues autant à écrire qu'à lire, mais elle ne correspondent qu'à quelques secondes réellement. Toutes ne sont pas toujours présentent et certaines manquent, mais c'est le principal.
Seul des véritables dieux pourraient se passer de cette dernière phase ^^ et c'est donc pendant ce court laps de temps que l'on peut insérer du dialogue.
On ne peut même pas appeler ça dialogue, il faut que ça soit court, j'insiste, saccadé à cause du souffle et de la fatigue, voir bafouillant. Que ça réponde à une attente, bien sûr on ne va pas dire à l'adversaire qu'il est fourbe et j'en passe sur un ton pseudo bourge.
Les dialogues peuvent être casés aussi dans la phase d'attente, juste avant celle d'initiation, quand les adversaires se jaugent et se tournent autour en se demandant lequel attaquerait le premier. D'ailleurs des fois ça peut être très long à venir. A ce moment, ils peuvent se provoquer, se faire des remarques, prier pour leur dieu, rugir comme des bêtes ou encore lancer un cri de guerre ^^
Les dialogues peuvent apporter beaucoup à un combat, dont la vraisemblance. En principe ! Après si ça se passe pendant une grande bataille, une guerre ou contre un assassin qui rate sa cible dans sa chambre à coucher, cela doit se passer sans dialogues. Ou presque : Courtisans qui crient, général qui exhortent ses troupes, assassin qui siffle

Barf, de toute manière je pourrais écrire un roman avec ce qu'il y a à dire sur le sujet. Après je pourrais dériver sur ce que les auteurs ne mettent jamais durant tout style d'altercation mais là, m'envoyez moi un MP si ça vous intéresse parce que j'en ais encore pour long de tout détailler.
Que de défauts à combler ^^
Ce qui nous différencie vraiment, qui fait je suis meilleur que toi ?
Ma Muse, cette éternelle Amoureuse qui a voué toute son âme à la mienne.
Ma Muse, cette éternelle Amoureuse qui a voué toute son âme à la mienne.
- Draconesse
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- Contact :
Séraphar a écrit :Ces cinq étapes sont longues autant à écrire qu'à lire, mais elle ne correspondent qu'à quelques secondes réellement. Toutes ne sont pas toujours présentent et certaines manquent, mais c'est le principal.
Seul des véritables dieux pourraient se passer de cette dernière phase ^^ et c'est donc pendant ce court laps de temps que l'on peut insérer du dialogue.
La dernière étape comporte surtout un jeu de regards, je pense. Le dialogue n'est essentiel dans un duel que juste avant la premier phase. Admet aussi l'existence de pauses entre les ripostes, où chaque adversaire reprend son souffle avant de repasser a l'attaque.
Le duel est cependant un cas particulier à mon sens, puisqu'il est bien codifié. Ce n'est pas le cas d'une bataille.
~ Les affaires des nains sont comme leur barbe : pleine de noeuds. ~
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