Demain, Elle vient...
- Syven
- Biquette
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- Localisation : En pleine errance...
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Demain, Elle vient...
Ah ! c'est une belle histoire que je vais vous conter là. Typiquement féminine, pas vraiment dramatique, mais ça en amusera certain(e)s, et peut-être récupérerai-je quelques bons conseils.
Et puis je la poste ici, parce que je sais qu'ici, 'elle' ne me retrouvera pas. Nous l'appellerons L. par soucis de confidentialité.
L. fut un erzatz de copine pendant quelques semaines, le temps que je la découvre. Quand j'avais appris qu'un copain d'école, P., venait d'être embauché dans la société de Nereij (mon mari), et que lui et sa copine ne connaissaient personne sur Brest, je m'étais empressée de les inviter à dîner.
Quoique un peu BC BG, L. me parut sympathique au premier abord, et quand je lui proposai de venir à la piscine avec moi, elle accepta aussitôt.
Au début, tout allait bien. L. critiquait le mariage de sa meilleure amie à longueur de temps, mais rien de méchant. Au fil des rencontres, sa susceptibilité crut.
Si je disais : "Allons muscler nos corps dans un vaillant effort !"
Elle me répondait, acide: "Parce que je ne suis pas musclée ?!"
(Non. Elle ne l'était pas. Moi non plus, c'est bien pour ça qu'on allait nager.)
Et puis ce fut le cauchemar. Si on allait chez elle, on se faisait incendier quand on avait posé un verre à côté de notre sous-bock. Quand elle venait à l'improviste, elle critiquait la vaisselle propre en train de sécher sur l'évier (Mais comment peux-tu vivre comme ça ?)
Pire, elle décida que je devais me tartiner de crème de jour et de nuit, et qu'il fallait que je pense à me maquiller, bon sang ! (Mais de quoi je me mêle !) Enfin elle critiquait son futur époux P. sans vergogne, un gars adorable à un point que ce n'est pas imaginable.
Bien sûr, L. se heurta à mon ours de mari. Très vite, il cessa de la taquiner, craignant de se prendre une baffe s'il blaguait sur quoique ce soit se rapportant de près ou de loin à elle. Donc sur tout. Même sur moi, car plaisanter sur ma maladresse légendaire ne la faisait rire que si c'était un de ses bons mots à elle.
Un jour, tandis que des amis plaisantaient sur la faiblesse du jeu de mon mari au bowling, il en rajouta une couche sur sa incapacité à faire un strike, et L. qui n'avait pas touché une quille sur 18 lancers, le prit pour elle. S'effondrant en larmes, elle cria: C'est trop ! avant de s'enfuir.
Elle ne lui pardonna jamais.
P. lui nous aimait toujours bien. Mais, même s'il passait déposer un truc chez nous pour nous rendre service, il n'entrait jamais boire un verre parce qu'il n'avait pas le droit. Il prenait des nouvelles en restant sur le pas de la porte.
Il était devenu trop "pris" pour aller faire du vélo avec Nereij, qui était bien triste. (Surtout qu'on savait que plein de copains de l'école avait cessé de les voir à cause d'elle.)
Les mois passèrent. Au nouvel an, Nereij téléphona à P. pour lui souhaiter la bonne année, tomba sur L. qui la joua : allez, on est copains en fait !
Mais c'était faux.
Nereij avait envie d'inviter P., moi aussi, alors lors d'un petit barbecue en plein mois d'avril, on tenta le coup.
L. fut odieuse :
- avec Nereij, à le critiquer sans arrêt et à lui donner des ordres, s'arrogeant une immunité diplomatique qui faisait faire des yeux ronds à l'assistance.
- avec moi:
. "Mais c'est une nappe de grand-mère que tu nous as sortie !" (C'est un barbecue, je ne vais pas sortir la dentelle, désolée. et j'aime bien ma nappe blanche et bambou...)
. "y'a un rideau remonté plus haut que l'autre, ça fait vraiment désordre, je vais le remettre en place." (Elle le fait.)
. "j'ai trouvé un thème pour ton mariage !" (non merci. J'ai déjà tout choisi.) "J'insiste, ce sera mieux. Non ? attends voir...
... Parce que tu crois que le maquillage et une coiffure te rendront jolie le jour de ton mariage ?" (et moi de lui rire au nez, parce que franchement, sans me vanter, entre elle et moi, y'a pas photo. Même pas besoin de me maquiller. Grrrr.)
... tu écris toujours tes trucs-là ? (et vlà-t'y pas qu'elle se lance dans une explication, genre j'écris des machins-là, avec des nains et des elfes, que seuls des attardés mentaux lisent - j'exagère à peine.)
Bref.
Demain soir, on fait un petit apéro créamaillère, pour remercier des gens qui nous ont aidés, dont pas mal de collaborateurs copains de mon mari. Donc, il a aussi invité P. qui meurt d'envie de voir la maison, et que je suis ravie de revoir, parce que c'est un amour.
Mais l'autre peau de vache s'amène. J'espèrai qu'elle se défilerait, mais non.
Elle veut voir ma tronche maintenant que je suis enceinte.
Je sais que ça lui fait les pieds, car elle m'avait dit qu'une fois mariée (un mois avant nous), elle se mettrait à pondre (comme c'est délicat de présenter la chose ainsi.) et ce n'est toujours pas "en route", parce qu'elle attend que sa construction finisse avant de lancer le programme de reproduction (...)
Donc elle compte sans doute me donner plein de conseils sur mon alimentation pour ne pas trop grossir et me chercher un peu la petite bête. Je n'ai pris que 3 kg en 3 mois et demi, donc ça va. Mais bon, je sens qu'elle va bien me prendre la tête.
En plus, elle a plein de choses à m'apprendre sur les bébés. (Super. Mais faut qu'elle fasse gaffe, parce que Nereij a tendance à pas aimer qu'on lui dise comment il devra s'occuper de Haricot.)
Là, L. est en pleine construction (elle ne s'en occupe pas, attention, madame ne s'y intéresse pas.) Si elle vient, c'est aussi pour critiquer notre mauvais goût (on est très contemporain, elle très classique, elle ne croit pas à la diversité des intérieurs.)
Bref, elle vient voir. Et puis, elle ne croit pas qu'on a fait notre cuisine avec qui on a dit qu'on l'a fait. Elle va ouvrir les tiroirs pour être sûre.
Et elle est en forme en ce moment. Nereij l'a vue la semaine dernière. Quand les collègues posaient des questions sur leur maison, elle posait la main sur le bras de son mari, et elle répondait seule.
Vous voyez le personnage ?
Ben, elle vient demain.
Avec les hormones dont sont gavés mes tissus, elle a intérêt à faire attention. Je suis beaucoup moins gentille que d'habitude en ce moment.
Je crois que je vais affûter les cornes. :)
Et puis je la poste ici, parce que je sais qu'ici, 'elle' ne me retrouvera pas. Nous l'appellerons L. par soucis de confidentialité.
L. fut un erzatz de copine pendant quelques semaines, le temps que je la découvre. Quand j'avais appris qu'un copain d'école, P., venait d'être embauché dans la société de Nereij (mon mari), et que lui et sa copine ne connaissaient personne sur Brest, je m'étais empressée de les inviter à dîner.
Quoique un peu BC BG, L. me parut sympathique au premier abord, et quand je lui proposai de venir à la piscine avec moi, elle accepta aussitôt.
Au début, tout allait bien. L. critiquait le mariage de sa meilleure amie à longueur de temps, mais rien de méchant. Au fil des rencontres, sa susceptibilité crut.
Si je disais : "Allons muscler nos corps dans un vaillant effort !"
Elle me répondait, acide: "Parce que je ne suis pas musclée ?!"
(Non. Elle ne l'était pas. Moi non plus, c'est bien pour ça qu'on allait nager.)
Et puis ce fut le cauchemar. Si on allait chez elle, on se faisait incendier quand on avait posé un verre à côté de notre sous-bock. Quand elle venait à l'improviste, elle critiquait la vaisselle propre en train de sécher sur l'évier (Mais comment peux-tu vivre comme ça ?)
Pire, elle décida que je devais me tartiner de crème de jour et de nuit, et qu'il fallait que je pense à me maquiller, bon sang ! (Mais de quoi je me mêle !) Enfin elle critiquait son futur époux P. sans vergogne, un gars adorable à un point que ce n'est pas imaginable.
Bien sûr, L. se heurta à mon ours de mari. Très vite, il cessa de la taquiner, craignant de se prendre une baffe s'il blaguait sur quoique ce soit se rapportant de près ou de loin à elle. Donc sur tout. Même sur moi, car plaisanter sur ma maladresse légendaire ne la faisait rire que si c'était un de ses bons mots à elle.
Un jour, tandis que des amis plaisantaient sur la faiblesse du jeu de mon mari au bowling, il en rajouta une couche sur sa incapacité à faire un strike, et L. qui n'avait pas touché une quille sur 18 lancers, le prit pour elle. S'effondrant en larmes, elle cria: C'est trop ! avant de s'enfuir.
Elle ne lui pardonna jamais.
P. lui nous aimait toujours bien. Mais, même s'il passait déposer un truc chez nous pour nous rendre service, il n'entrait jamais boire un verre parce qu'il n'avait pas le droit. Il prenait des nouvelles en restant sur le pas de la porte.
Il était devenu trop "pris" pour aller faire du vélo avec Nereij, qui était bien triste. (Surtout qu'on savait que plein de copains de l'école avait cessé de les voir à cause d'elle.)
Les mois passèrent. Au nouvel an, Nereij téléphona à P. pour lui souhaiter la bonne année, tomba sur L. qui la joua : allez, on est copains en fait !
Mais c'était faux.
Nereij avait envie d'inviter P., moi aussi, alors lors d'un petit barbecue en plein mois d'avril, on tenta le coup.
L. fut odieuse :
- avec Nereij, à le critiquer sans arrêt et à lui donner des ordres, s'arrogeant une immunité diplomatique qui faisait faire des yeux ronds à l'assistance.
- avec moi:
. "Mais c'est une nappe de grand-mère que tu nous as sortie !" (C'est un barbecue, je ne vais pas sortir la dentelle, désolée. et j'aime bien ma nappe blanche et bambou...)
. "y'a un rideau remonté plus haut que l'autre, ça fait vraiment désordre, je vais le remettre en place." (Elle le fait.)
. "j'ai trouvé un thème pour ton mariage !" (non merci. J'ai déjà tout choisi.) "J'insiste, ce sera mieux. Non ? attends voir...
... Parce que tu crois que le maquillage et une coiffure te rendront jolie le jour de ton mariage ?" (et moi de lui rire au nez, parce que franchement, sans me vanter, entre elle et moi, y'a pas photo. Même pas besoin de me maquiller. Grrrr.)
... tu écris toujours tes trucs-là ? (et vlà-t'y pas qu'elle se lance dans une explication, genre j'écris des machins-là, avec des nains et des elfes, que seuls des attardés mentaux lisent - j'exagère à peine.)
Bref.
Demain soir, on fait un petit apéro créamaillère, pour remercier des gens qui nous ont aidés, dont pas mal de collaborateurs copains de mon mari. Donc, il a aussi invité P. qui meurt d'envie de voir la maison, et que je suis ravie de revoir, parce que c'est un amour.
Mais l'autre peau de vache s'amène. J'espèrai qu'elle se défilerait, mais non.
Elle veut voir ma tronche maintenant que je suis enceinte.
Je sais que ça lui fait les pieds, car elle m'avait dit qu'une fois mariée (un mois avant nous), elle se mettrait à pondre (comme c'est délicat de présenter la chose ainsi.) et ce n'est toujours pas "en route", parce qu'elle attend que sa construction finisse avant de lancer le programme de reproduction (...)
Donc elle compte sans doute me donner plein de conseils sur mon alimentation pour ne pas trop grossir et me chercher un peu la petite bête. Je n'ai pris que 3 kg en 3 mois et demi, donc ça va. Mais bon, je sens qu'elle va bien me prendre la tête.
En plus, elle a plein de choses à m'apprendre sur les bébés. (Super. Mais faut qu'elle fasse gaffe, parce que Nereij a tendance à pas aimer qu'on lui dise comment il devra s'occuper de Haricot.)
Là, L. est en pleine construction (elle ne s'en occupe pas, attention, madame ne s'y intéresse pas.) Si elle vient, c'est aussi pour critiquer notre mauvais goût (on est très contemporain, elle très classique, elle ne croit pas à la diversité des intérieurs.)
Bref, elle vient voir. Et puis, elle ne croit pas qu'on a fait notre cuisine avec qui on a dit qu'on l'a fait. Elle va ouvrir les tiroirs pour être sûre.
Et elle est en forme en ce moment. Nereij l'a vue la semaine dernière. Quand les collègues posaient des questions sur leur maison, elle posait la main sur le bras de son mari, et elle répondait seule.
Vous voyez le personnage ?
Ben, elle vient demain.
Avec les hormones dont sont gavés mes tissus, elle a intérêt à faire attention. Je suis beaucoup moins gentille que d'habitude en ce moment.
Je crois que je vais affûter les cornes. :)
Dernière édition par Syven le 24 Nov 2006, 20:13, édité 1 fois.
- Misato
- ordre du printemps
- Messages : 289
- Inscription : 08 Nov 2006, 20:16
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Il y a une catégorie de chieurs tellement peu habitués à rencontrer quelque résistance que ce soit que, le jour où on leur explique calmement mais fermement que ça suffit leurs conneries, et beh... Ils sont tellement hébétés qu'ils n'osent plus dire un mot, ou deviennent adorables (de peur de s'en prendre une, certes, mais c'est le résultat qui compte, hein!
)
J'ai un spéciment du genre dans mon arbre généalogique proche...
Teste, ça peut marcher!

J'ai un spéciment du genre dans mon arbre généalogique proche...

Teste, ça peut marcher!

Misato
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Zut, la Chwipounette et bien d'autres m'ont dévancé! Enfin bref, petite biquette : fooooooonnnnce sur son beau dérrièèèèèèère!
Sinon, je crois que tu as mis des S à la place de quelques L dans ton réçit!
Et je ne comprends pas comment un bonhomme qui a l'air si gentil que P a bien put finir avec ce drôle d'oiseau de L '.' Enfin, la vie en général est pleine de surprises, donc...

Sinon, je crois que tu as mis des S à la place de quelques L dans ton réçit!

Et je ne comprends pas comment un bonhomme qui a l'air si gentil que P a bien put finir avec ce drôle d'oiseau de L '.' Enfin, la vie en général est pleine de surprises, donc...
- Syven
- Biquette
- Messages : 284
- Inscription : 24 Jan 2005, 13:40
- Localisation : En pleine errance...
- Contact :
KB> La suite, peut-être... Ca dépendra de L.
Xss> Effectivement, J'ai relu, et corrigé quelques fautes aussi. Personne ne comprend pourquoi le pauvre P. est avec L. Mais j'imagine qu'il doit être heureux. Ou que c'est vraiment un super coup au lit.
Le seul problème avec le fait de lui rentrer dedans, c'est que ça pourrait entamer les relations de Nereij et de P.
Ils travaillent ensemble chaque jour, et lors de la crise de larmes de L., ils ont été en froid.
Demain soir, il y aura plusieurs autres collaborateurs. Ils sont moins de 10 dans la boîte. Je ne veux pas créer de tension alors qu'ils s'entendent tous très bien.
Idéalement, j'aimerais assez la ridiculiser, sans qu'on puisse me mettre en cause. La dernière fois, elle n'a pas aimé que je m'étouffe de rire quand elle lançait une pique (genre pour le mariage.) Mais si elle en fait trop, ce sera insuffisant...

Xss> Effectivement, J'ai relu, et corrigé quelques fautes aussi. Personne ne comprend pourquoi le pauvre P. est avec L. Mais j'imagine qu'il doit être heureux. Ou que c'est vraiment un super coup au lit.
Le seul problème avec le fait de lui rentrer dedans, c'est que ça pourrait entamer les relations de Nereij et de P.
Ils travaillent ensemble chaque jour, et lors de la crise de larmes de L., ils ont été en froid.
Demain soir, il y aura plusieurs autres collaborateurs. Ils sont moins de 10 dans la boîte. Je ne veux pas créer de tension alors qu'ils s'entendent tous très bien.
Idéalement, j'aimerais assez la ridiculiser, sans qu'on puisse me mettre en cause. La dernière fois, elle n'a pas aimé que je m'étouffe de rire quand elle lançait une pique (genre pour le mariage.) Mais si elle en fait trop, ce sera insuffisant...

Dernière édition par Syven le 24 Nov 2006, 21:14, édité 1 fois.
- William FireSky
- Barde et masseur officiel
- Messages : 303
- Inscription : 18 Fév 2005, 22:45
- Localisation : Songes et sous la couette
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- louve
- Carnassière
- Messages : 467
- Inscription : 19 Oct 2005, 17:16
- Livre préféré chez Mille Saisons : La Vampire
- Genre de livres que vous lisez le plus souvent ? : Fantasy, Fantastique et SF
- Localisation : dans une grotte
- Contact :
un conseil? donne lui un conseil à cette petite imbécile qu'est L.
Si les remarques qu'elles te lancent sur ta manière de vivre ou de décorer ta maison te gonflent il n'y a qu'une chose à dire:
" Le souci, c'est qu'ici je suis chez moi, j'y fais ce que je veux et heureusement que nous ne sommes pas tous pareils, sinon quel désastre!"
Autrement je ferais comme lle je lancerais de petits piques genre:
"toujours pas d'enfants ma pauvre?"
Un peu de compassion quoi
ou alors tu me l'amènes et je m'en charge
quoiqu'il en soit donne nous des nouvelles sur cette chieuse
courage syven c'est pas elle qui va démoraliser notre reinette suprême

Si les remarques qu'elles te lancent sur ta manière de vivre ou de décorer ta maison te gonflent il n'y a qu'une chose à dire:
" Le souci, c'est qu'ici je suis chez moi, j'y fais ce que je veux et heureusement que nous ne sommes pas tous pareils, sinon quel désastre!"
Autrement je ferais comme lle je lancerais de petits piques genre:
"toujours pas d'enfants ma pauvre?"
Un peu de compassion quoi

ou alors tu me l'amènes et je m'en charge
quoiqu'il en soit donne nous des nouvelles sur cette chieuse


courage syven c'est pas elle qui va démoraliser notre reinette suprême


ou alors tu me l'amènes et je m'en charge
Ah, on reconnait bien là la fougue des gènes espagnols!

Au fait, comment ça c'est passé Biquette? (je suppose qu'avec le décalage horraire, la prochaine fois que je vérifierais le forum la petite rencontre aura eut lieu...Sauf si elle a lieu durant la soirée : j'ai pas vérifié ça! '.')
Oui:
- heureuse d'avoir fait les choses toi-même dans votre maison (ça resserre les liens du couple, on est fiers, ça fait de super souvenirs, blablabla) ;
- heureuse d'être bedonnante et pleine de Haricot (cette phrase est tendancieuse...) ;
- et comblée par ton Monsieur Nereij Biquette, qui s'occupe bien des rosiers.
D'ailleurs, vu tes messages un peu partout, je crois ne me planter sur aucun des trois points !
Ce qui me fait penser à :
BRAVO ! C'est bon de voir des gens heureux !
Oui, je suis un peu bizarre, aujourd'hui...
- heureuse d'avoir fait les choses toi-même dans votre maison (ça resserre les liens du couple, on est fiers, ça fait de super souvenirs, blablabla) ;
- heureuse d'être bedonnante et pleine de Haricot (cette phrase est tendancieuse...) ;
- et comblée par ton Monsieur Nereij Biquette, qui s'occupe bien des rosiers.
D'ailleurs, vu tes messages un peu partout, je crois ne me planter sur aucun des trois points !

Ce qui me fait penser à :




Oui, je suis un peu bizarre, aujourd'hui...
- Roanne
- Muse corsetée
- Messages : 1263
- Inscription : 20 Fév 2006, 14:40
- Localisation : L'Hermitain
- Contact :
Aïe, une hystérique à tendance fortement parano.
Une perverse en puissance, qui a déjà réduit à pas grand chose le faible homme sur lequel elle a réussi à mettre le grappin
.
Une garce, une vraie.
J'espère pour lui qu'elle ne réussira pas à mettre en oeuvre son plan de repro, sinon il est fichu.
Bref, bref, pour ce genre d'énergumène, difficile de donner des conseils. Si elle aime ramener les choses à elle, ça peut être pratique : il suffit de faire semblant de s'intéresser à elle. Mais ça va dans son sens.
Si sa seule jouissance dans la vie est de critiquer les autres, que dire à part "bon courage" ? Evidemment, les conseils des autres sont pas mal du tout !
Ce qui est pénible dans son cas Syven, c'est qu'il y a risque de conflit diplomatique, et que la donzelle en joue
.
Une perverse en puissance, qui a déjà réduit à pas grand chose le faible homme sur lequel elle a réussi à mettre le grappin

Une garce, une vraie.
J'espère pour lui qu'elle ne réussira pas à mettre en oeuvre son plan de repro, sinon il est fichu.
Bref, bref, pour ce genre d'énergumène, difficile de donner des conseils. Si elle aime ramener les choses à elle, ça peut être pratique : il suffit de faire semblant de s'intéresser à elle. Mais ça va dans son sens.
Si sa seule jouissance dans la vie est de critiquer les autres, que dire à part "bon courage" ? Evidemment, les conseils des autres sont pas mal du tout !
Ce qui est pénible dans son cas Syven, c'est qu'il y a risque de conflit diplomatique, et que la donzelle en joue

- Sand
- membre d'honneur
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- Inscription : 06 Déc 2005, 16:26
- Localisation : Paris
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Roanne a écrit :Bref, bref, pour ce genre d'énergumène, difficile de donner des conseils. Si elle aime ramener les choses à elle, ça peut être pratique : il suffit de faire semblant de s'intéresser à elle.
J'ai un peu la même analyse : elle ramène tout à elle, de façon insupportable.
Donc en fait, perso, je ferais l'inverse : je m'arrangerais pour l'ignorer. C'est plus facile s'il y a d'autres personnes au diner. Ne jamais lui répondre, ne jamais lui poser de questions. Faire comme si elle n'était pas là.
Etre ignorée est probablement la pire des choses qu'on puisse lui faire.
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