CB a écrit :JW a écrit :le rajah s’attendait certainement à ce que nous fussions en beauté tous les jours
Traduttore, tradizione : le traducteur de service y va de ses imparfaits du subjonctifs en mousse.
Le fendage ultime de poire inopiné, c'est simple comme un subjonctif imparfait nanar.
Je suis doute.
En effet, je fais partie de ces gens qui considèrent que le subjonctif imparfait n'est pas déplacé dans un texte écrit au passé. Néanmoins, je me souviens très bien qu'il n'y en a pas dans un roman comme L'Offrande secrète, ça m'avait marquée parce que ça m'aurait semblé adapté au ton général du texte.
Alors quoi ? Est-ce que c'est vraiment ringard, de respecter une règle de concordance des temps certes un brin surannée ?
Ou alors c'est à réserver aux ambiances que l'on veut rendre un peu lourdes ou solennelles, et dans tous les autres cas, effectivement c'est nanar ?
Parce que si c'est le cas, j'ai au moins un roman à expurger de sa nanardise.
Je signale à tout hasard que le sieur CB est prof de français.