De la blondeur
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Re: De la blondeur
Très peu de blonds chez moi et je n'ai pas souvenir d'avoir utilisé une blonde, ma préférence étant les cheveux châtains (comme les miens quoi) ou bruns. Je n'ai qu'un personnage qui a les cheveux blancs.
En revanche, j'ai une autre constante qui revient régulièrement sur mes mecs : les cheveux longs ou mi-longs
En revanche, j'ai une autre constante qui revient régulièrement sur mes mecs : les cheveux longs ou mi-longs
~ Les affaires des nains sont comme leur barbe : pleine de noeuds. ~
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Re: De la blondeur
Excellente démonstration de Uylenspiegel. Je crois que dorénavant on peut clore le débat: tout a été dit, non?
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.
Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.
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- Coyote J. Urusemal
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Re: De la blondeur
Ce qui est marrant avec ce débat c'est qu'il n'a de sens que pour la "race" caucasienne. Parce que chez toutes les autres, il n'y a qu'une seule couleur de cheveux : le noir. (Bon ok, j'ai croisé un noir roux une fois, mais c'est une curiosité génêtique). Alors forcément, je les vois mal avoir des stéréotypes à propos de ce genre de choses. On est les seuls à pouvoir se le permettre.
Ah, hormis ça, moi j'aime pas trop les rousses. Enfin, j'ai rien de spécial contre elles, mais disons qu'elles ne seront pas les premières à accrocher mon regard. En revanche, je suis un grand fan de blondes. Et il y en a toujours au moins une dans mes écrits, même si j'alterne un peu leur type de rôle suivant l'histoire (Lumina dans "La Main" = blonde totalement niaise et chiante ; Laura Setzer dans "Sexocide" = leader charismatique et accroc au pouvoir, ainsi qu'Alice de 10PN qui est encore dans un autre registre). Mais je pense que c'est plus un réfléxe paternel qu'une sorte de fantasme. J'imagine mes futures gamines blondes, donc ça permet de créer un lien filial avec ce genre de perso.
Ah, hormis ça, moi j'aime pas trop les rousses. Enfin, j'ai rien de spécial contre elles, mais disons qu'elles ne seront pas les premières à accrocher mon regard. En revanche, je suis un grand fan de blondes. Et il y en a toujours au moins une dans mes écrits, même si j'alterne un peu leur type de rôle suivant l'histoire (Lumina dans "La Main" = blonde totalement niaise et chiante ; Laura Setzer dans "Sexocide" = leader charismatique et accroc au pouvoir, ainsi qu'Alice de 10PN qui est encore dans un autre registre). Mais je pense que c'est plus un réfléxe paternel qu'une sorte de fantasme. J'imagine mes futures gamines blondes, donc ça permet de créer un lien filial avec ce genre de perso.
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Re: De la blondeur
Coyotte a écrit :Ce qui est marrant avec ce débat c'est qu'il n'a de sens que pour la "race" caucasienne. Parce que chez toutes les autres, il n'y a qu'une seule couleur de cheveux : le noir.
Le sujet a déjà été évoqué. En tout cas, vu qu'on habite presque tous en Europe et que sans vous voir, je devine que vous êtes au moins 90% à être caucasiens, ça n'a rien d'étonnant.
Peut-être que les Japonais ou les Nigérians ont d'autres stéréotypes, comme genre la taille, la musculature, le volume des seins, la pigmentation plus ou moins sombre de la peau ou que sais-je encore ? Je crois dans les romans japonais, les femmes ont souvent le teint pâle, par exemple.
Les conseils de Tonton Beorn + ses frasques dans le monde de l'édition
T1 "La perle et l'enfant" (Mnémos) en librairie le 23 septembre !
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Re: De la blondeur
Beorn a écrit :Peut-être que les Japonais ou les Nigérians ont d'autres stéréotypes, comme genre la taille, la musculature, le volume des seins, la pigmentation plus ou moins sombre de la peau ou que sais-je encore ? Je crois dans les romans japonais, les femmes ont souvent le teint pâle, par exemple.
Dans les représentations traditionnelles occidentales aussi (ça se voit très bien dans la peinture classique notamment) la femme a le teint plus pâle que l'homme, au sein du même type européen. Ca s'explique assez facilement. Stéréotypiquement, le domaine de l'homme c'est l'extérieur, le grand air, le labeur au dehors, la chasse ou la guerre etc... Un homme doit donc avoir le teint plus hâlé, marque de sa vie aventureuse et de la vitalité, de l'énergie associées à la virilité.
Le domaine de la femme c'est le foyer, l'intérieur, ce qui la met hors de portée des coups du soleil, la peau plus pâle va donc de pair avec sa fidélité au rôle traditionnel féminin. La peau pâle de la femme était donc exaltée en trait désirable chez la femme parce qu'attribut, preuve de sa féminité. La pâleur de teint étant également associée à la fragilité, la délicatesse, caractéristiques attendues de la femme traditionnelle. D'où les "peau de porcelaine", "peau laiteuse" et autres "teint de lys" des poèmes.
De fait la mode des grands chapeaux et des ombrelles pour ces dames n'a cédé la place qu'il y a peu de temps à celle de la bronzette... Changement de mode en matière de teint de peau recherché qui me paraît coïncider avec le moment où les femmes ont cherché à se détourner de ce modèle traditionnel de la vie au foyer.
J'imagine que c'est exactement la même chose au Japon. Je pense notamment à l'usage de renforcer sa blancheur de peau par le maquillage chez la Geisha.
Il y a plus de mystères dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n'en rêve toute ta philosophie.
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Re: De la blondeur
De fait, dans le théâtre grec antique (où, comme vous savez, tous les rôles étaient joués par des hommes), les personnages masculins avaient des masques en terre rouge, et les personnages féminins en terre blanche ; si Aristophane par exemple collait un masque blanc à un homme, c'était pour marquer que c'était une femmelette (le Dionysos-travelo des Grenouilles par exemple^^)
/mode prof de grec
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Re: De la blondeur
Uylenspiegel a écrit :Le domaine de la femme c'est le foyer, l'intérieur, ce qui la met hors de portée des coups du soleil, la peau plus pâle va donc de pair avec sa fidélité au rôle traditionnel féminin. La peau pâle de la femme était donc exaltée en trait désirable chez la femme parce qu'attribut, preuve de sa féminité. La pâleur de teint étant également associée à la fragilité, la délicatesse, caractéristiques attendues de la femme traditionnelle. D'où les "peau de porcelaine", "peau laiteuse" et autres "teint de lys" des poèmes.
De fait la mode des grands chapeaux et des ombrelles pour ces dames n'a cédé la place qu'il y a peu de temps à celle de la bronzette... Changement de mode en matière de teint de peau recherché qui me paraît coïncider avec le moment où les femmes ont cherché à se détourner de ce modèle traditionnel de la vie au foyer.
Juste, parce que cette démonstration me semble plein de bon sens, mais j'aimerais préciser : perso, j'ai la peau extrêmement blanche... parce que je suis une sale geek et aussi parce que je n'ai pas envie de me rider sous l'effet du soleil (parce que la différence de peau est flagrante entre la fille qui a pris le soleil et celle qui est restée à l'abri).
Et mon observation de notre société aurait tendance à me faire penser que les filles "blanches" sont les intellos ou geek : les scientifiques enfermées dans leur labo, les intellectuelles qui passent leurs journées dans les bibliothèques, les gothiques rôlistes...
'fin, bref, les filles bronzées, plus que des femmes libérées, je les imagine mieux en épouses d'amateurs de foot
(C'était mon quart d'heure d'a priori, vous pouvez retourner faire la grasse mat' !)
- Sand
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Re: De la blondeur
la pâleur est en effet traditionnellement le fait des femmes qui restent à l'intérieur, c'est-à-dire les nobles.
Les paysannes étaient noiraudes.
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Re: De la blondeur
Anilori : Très intéressant ! Merci pour ces éléments, je suis content d'avoir appris ça.
Cibylline : C'est amusant parce que ton discours montre la persistance d'une forme de préjugé élitiste contre le bronzage, "plébéien", ou du moins associé à un niveau culturel moindre (si j'ai bien compris le sens de tes propos). La pâleur de teint devenant l'apanage de femmes d'une "classe intellectuelle" (et non plus sociale quoique ça se rejoint souvent) supérieure.
Enfin, les geeks, les gothiques, les rats de bibliothèque et de laboratoire... une élite si on veut
Sand : noiraudes, noiraudes... Plutôt terre cuite à la limite :
Cibylline : C'est amusant parce que ton discours montre la persistance d'une forme de préjugé élitiste contre le bronzage, "plébéien", ou du moins associé à un niveau culturel moindre (si j'ai bien compris le sens de tes propos). La pâleur de teint devenant l'apanage de femmes d'une "classe intellectuelle" (et non plus sociale quoique ça se rejoint souvent) supérieure.
Enfin, les geeks, les gothiques, les rats de bibliothèque et de laboratoire... une élite si on veut
Sand : noiraudes, noiraudes... Plutôt terre cuite à la limite :
Dernière édition par Uylenspiegel le 25 Oct 2008, 19:50, édité 1 fois.
Il y a plus de mystères dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n'en rêve toute ta philosophie.
Re: De la blondeur
Uylenspiegel a écrit :Cibylline : C'est amusant parce que ton discours montre la persistance d'une forme de préjugé élitiste contre le bronzage, "plébéien", ou du moins associé à un niveau culturel moindre (si j'ai bien compris le sens de tes propos). La pâleur de teint devenant l'apanage de femmes d'une "classe intellectuelle" (et non plus sociale quoique ça se rejoint souvent) supérieure.
Enfin, les geeks, les gothiques, les rats de bibliothèque et de laboratoire... une élite si on veut
Ben, je suis réaliste... L'apparence fait beaucoup dans les premières impressions et on n'imaginera pas la même vie au teint pâle ou au teint bronzé...
Et c'est vrai que c'est amusant de constater que ça suit l'idée de la noblesse à l'abri de soleil... et, vu l'effet du soleil sur la peau, ça ne risque pas de changer
- Roanne
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Re: De la blondeur
Cibylline a écrit :Et mon observation de notre société aurait tendance à me faire penser que les filles "blanches" sont les intellos ou geek : les scientifiques enfermées dans leur labo, les intellectuelles qui passent leurs journées dans les bibliothèques, les gothiques rôlistes...
'fin, bref, les filles bronzées, plus que des femmes libérées, je les imagine mieux en épouses d'amateurs de foot
(C'était mon quart d'heure d'a priori, vous pouvez retourner faire la grasse mat' !)
Oui, ce sont bien des a priori : un exemple, toutes les nanas que je connais qui bossent en labo n'ont qu'une hâte en en sortant : lézarder. C'est d'autant plus facile pour celles qui sont en 2x8, une semaine sur deux elles ont leur après-midi.
Et celles qui ont les moyens vont jusqu'à se faire des séances d'UV.
Notre société a énormément changé, être bronzé de nos jours c'est ce qu'il faut, ça prouve que tu as le temps et les moyens de partir en week-end et/ou en vacances. C'est un constat.
Après, il faut savoir respecter sa propre peau, là-dessus je suis bien d'accord avec toi.
- siana-blackangel
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Re: De la blondeur
Pour être bronzé, avant tout, il faut aussi le vouloir.
On peut ne jamais sortir dehors et avoir une peau bronzée pour avoir fait des séances d'UV.
C'est une question de culture, de climat... mais aussi de volonté. Qui ne veut pas être bronzé fera pour. Et l'inverse aussi.
On peut ne jamais sortir dehors et avoir une peau bronzée pour avoir fait des séances d'UV.
C'est une question de culture, de climat... mais aussi de volonté. Qui ne veut pas être bronzé fera pour. Et l'inverse aussi.
Re: De la blondeur
Roanne a écrit :Notre société a énormément changé, être bronzé de nos jours c'est ce qu'il faut, ça prouve que tu as le temps et les moyens de partir en week-end et/ou en vacances. C'est un constat.
Alala, c'est fou, ça, j'oublie tout le temps qu'il y a des gens qui ne vivent pas dans le sud
(Moi, comme je ne pars jamais en vacances, je ne sais plus à quoi ressemble la pluie )
(Heu, quand même, juste pour être sérieuse deux minutes, ne dis pas que c'est un "constat". Nous comparons nos a priori, pas des statistiques fondées )
Re: De la blondeur
Le sud, c'est trop chaud, je ne peux pas (j'ai travailllé deux mois, j'ai démissionné pour repartir dans le centr(e.
Bon ok, c'est magnifique en dehors de Marseilles 'je foutrais bien dehors tous les marseillais pour les remplacer par des parigos.)
C'est ca le Pb, il ne pleut jamais, c'est biuen la pluie de temps entemps, surtout pour éteindre les feux de fôrets qui prolifèrent dans le sud massacrant des tas de bébéttes et de pompiers innocents.
Bon ok, c'est magnifique en dehors de Marseilles 'je foutrais bien dehors tous les marseillais pour les remplacer par des parigos.)
C'est ca le Pb, il ne pleut jamais, c'est biuen la pluie de temps entemps, surtout pour éteindre les feux de fôrets qui prolifèrent dans le sud massacrant des tas de bébéttes et de pompiers innocents.
- Coyote J. Urusemal
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Re: De la blondeur
"L'effet du soleil sur la peau", faut quand même pas déconner. A dose raisonnable, il est plutôt bénéfique, voire salvateur. L'an dernier, j'ai carrément abusé pendant une après-midi sur une plage du côté de Lacanau. J'avais pas de crème solaire, et j'ai passé toute une partie de la journée torse-nu allongé sur le ventre.
L'effet court-terme, c'est que j'ai été méchamment brulée et que ma peau est partie en lambeaux.
L'effet moyen-terme, c'est que du coup, j'ai une peau entièrement neuve qui a poussé à la place, et que toutes les marques, les stigmates et les saloperies que j'avais gardées de l'époque acnéique avaient disparu comme par enchantement. Toutes. J'en revenais pas, un vrai miracle.
L'effet très long terme, c'est quoi ? Un cancer de la peau ? Je crois pas. Déjà parce que bon, je suis assez raisonnable vis à vis de mes bains de soleil; et en plus, avec toutes les maladies farfelues qu'ils nous pondent tous les ans, il y en a bien une qui empochera la mise avant ça. Personellement, j'ai misé sur le diabète.
D'un point de vue personnel, j'ajouterais qu'une peau ultra-pâle avec les jolies veines bleues qui se dessinent au travers, c'est peut-être très noble, mais c'est aussi très repoussant. Cela dit, je dis ça, mais je ne suis pas transylvanien.
L'effet court-terme, c'est que j'ai été méchamment brulée et que ma peau est partie en lambeaux.
L'effet moyen-terme, c'est que du coup, j'ai une peau entièrement neuve qui a poussé à la place, et que toutes les marques, les stigmates et les saloperies que j'avais gardées de l'époque acnéique avaient disparu comme par enchantement. Toutes. J'en revenais pas, un vrai miracle.
L'effet très long terme, c'est quoi ? Un cancer de la peau ? Je crois pas. Déjà parce que bon, je suis assez raisonnable vis à vis de mes bains de soleil; et en plus, avec toutes les maladies farfelues qu'ils nous pondent tous les ans, il y en a bien une qui empochera la mise avant ça. Personellement, j'ai misé sur le diabète.
D'un point de vue personnel, j'ajouterais qu'une peau ultra-pâle avec les jolies veines bleues qui se dessinent au travers, c'est peut-être très noble, mais c'est aussi très repoussant. Cela dit, je dis ça, mais je ne suis pas transylvanien.
Re: De la blondeur
Coyote J. Urusemal a écrit :"L'effet du soleil sur la peau", faut quand même pas déconner. A dose raisonnable, il est plutôt bénéfique, voire salvateur. L'an dernier, j'ai carrément abusé pendant une après-midi sur une plage du côté de Lacanau. J'avais pas de crème solaire, et j'ai passé toute une partie de la journée torse-nu allongé sur le ventre.
L'effet court-terme, c'est que j'ai été méchamment brulée et que ma peau est partie en lambeaux.
L'effet moyen-terme, c'est que du coup, j'ai une peau entièrement neuve qui a poussé à la place, et que toutes les marques, les stigmates et les saloperies que j'avais gardées de l'époque acnéique avaient disparu comme par enchantement. Toutes. J'en revenais pas, un vrai miracle.
L'effet très long terme, c'est quoi ? Un cancer de la peau ? Je crois pas. Déjà parce que bon, je suis assez raisonnable vis à vis de mes bains de soleil; et en plus, avec toutes les maladies farfelues qu'ils nous pondent tous les ans, il y en a bien une qui empochera la mise avant ça. Personellement, j'ai misé sur le diabète.
D'un point de vue personnel, j'ajouterais qu'une peau ultra-pâle avec les jolies veines bleues qui se dessinent au travers, c'est peut-être très noble, mais c'est aussi très repoussant. Cela dit, je dis ça, mais je ne suis pas transylvanien.
On a chacun ses propres critères esthétiques. Perso, être ridée à 40 ans et parcheminée à 50, ce n'est pas mon rêve.
- Coyote J. Urusemal
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Re: De la blondeur
Et ben c'est bien dommage, parce que soleil ou pas, ça va arriver.
Avec tout un bagage de bourrelets, de varices et de problèmes capillaires en tout genre.
Je précise que je dis pas ça pour te faire peur ou pour t'insulter; mais de tous les trucs auquel on est confronté dans la vie, c'est quand même le Temps qui fait le plus de dégâts. Et ça, y a pas vraiment moyen de s'en isoler.
Avec tout un bagage de bourrelets, de varices et de problèmes capillaires en tout genre.
Je précise que je dis pas ça pour te faire peur ou pour t'insulter; mais de tous les trucs auquel on est confronté dans la vie, c'est quand même le Temps qui fait le plus de dégâts. Et ça, y a pas vraiment moyen de s'en isoler.
Dernière édition par Coyote J. Urusemal le 26 Oct 2008, 19:02, édité 1 fois.
Re: De la blondeur
Coyote J. Urusemal a écrit :Et ben c'est bien dommage, parce que soleil ou pas, ça va arriver.
Avec tout un bagage de bourrelets, de varices et de problèmes capillaires en tout genre.
En fait, non. Mais t'as l'air un peu boulet...
- Coyote J. Urusemal
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Re: De la blondeur
Si on fait le bilan de tout ce que tu as réussi à accomplir rien que dans cette page, on voit que :
- Tu as sous-entendu qu'épouser un amateur de foot était un destin atroce.
- Tu as relié les geeks et les "gothiques rôlistes" à l'idée de noblesse.
- Tu as soutenu qu'une femme pouvait traverser la quarantaine sans prendre une ride. Et que le meilleur moyen pour ce faire, c'était d'avoir à se cultiver une blancheur cadavérique tout au long de ses jeunes années.
- Ce qui rejoint l'idée qui émane de plusieurs autres interventions de ta part sur d'autres topics, selon laquelle il était primordial de sacrifier sa jeunesse à la préparation de sa vieillesse.
Et enfin, mais celle-là, c'est pour la forme :
- Tu as tenu des propos qui chatouillent très gentiment la frontière ronronnante du racisme.
A ce tarif là, je préfère être le boulet que le maillon faible.
- Tu as sous-entendu qu'épouser un amateur de foot était un destin atroce.
- Tu as relié les geeks et les "gothiques rôlistes" à l'idée de noblesse.
- Tu as soutenu qu'une femme pouvait traverser la quarantaine sans prendre une ride. Et que le meilleur moyen pour ce faire, c'était d'avoir à se cultiver une blancheur cadavérique tout au long de ses jeunes années.
- Ce qui rejoint l'idée qui émane de plusieurs autres interventions de ta part sur d'autres topics, selon laquelle il était primordial de sacrifier sa jeunesse à la préparation de sa vieillesse.
Et enfin, mais celle-là, c'est pour la forme :
- Tu as tenu des propos qui chatouillent très gentiment la frontière ronronnante du racisme.
A ce tarif là, je préfère être le boulet que le maillon faible.
Re: De la blondeur
Coyote J. Urusemal a écrit :Si on fait le bilan de tout ce que tu as réussi à accomplir rien que dans cette page, on voit que :
- Tu as sous-entendu qu'épouser un amateur de foot était un destin atroce.
- Tu as relié les geeks et les "gothiques rôlistes" à l'idée de noblesse.
- Tu as soutenu qu'une femme pouvait traverser la quarantaine sans prendre une ride. Et que le meilleur moyen pour ce faire, c'était d'avoir à se cultiver une blancheur cadavérique tout au long de ses jeunes années.
- Ce qui rejoint l'idée qui émane de plusieurs autres interventions de ta part sur d'autres topics, selon laquelle il était primordial de sacrifier sa jeunesse à la préparation de sa vieillesse.
Et enfin, mais celle-là, c'est pour la forme :
- Tu as tenu des propos qui chatouillent très gentiment la frontière ronronnante du racisme.
A ce tarif là, je préfère être le boulet que le maillon faible.
Rien de tel qu'un bon éclat de rire pour commencer une nouvelle semaine
Cela dit, t'es vraiment grave
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