Le happy end fait-il encore des émules ?

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Lyssandre
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Messagepar Lyssandre » 30 Juil 2008, 18:59

Marcel&Co a écrit :
Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...


OMG ! :shock:

Que de révélations aujourd'hui !
"La chance s'engouffra concrètement dans sa vie et l'enveloppa d'un halo d'optimisme abyssal." JP Bâchet
Ah ! l'optimisme abyssal...

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Napalm Dave
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Messagepar Napalm Dave » 30 Juil 2008, 21:13

La nouvelle est un exercice différent du roman: elle repose en grande partie sur sa chute et celle-ci doit généralement être percutante, provoquer soi un sourire, soi le malaise. Un roman n'obéit pas aux mêmes codes, le héros a le temps de franchir des péripéties avant d'arriver à la fin.
Ce qui peut être navrant pour le lecteur, c'est une fin qui est tragique quoiqu'il arrive et quoique le héros fasse: il a l'impression qu'il est inexplicablement puni.
Dans États primitifs, la fin tragique ne se solde pas par la mort de tous les héros: la plupart s'en sortent bien vivants mais sont détruits psychologiquement par les trahisons dont ils ont été victimes et la victoire de Loups de Fenryder. D'ailleurs, j'aime ce genre de fins équilibrées où le héros a accompli tout ce qu'il pouvait mais en sort blessé, définitivement changé par ce que l'histoire lui a fait vivre.

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Cibylline
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Messagepar Cibylline » 31 Juil 2008, 10:18

Napalm Dave a écrit :La nouvelle est un exercice différent du roman: elle repose en grande partie sur sa chute et celle-ci doit généralement être percutante, provoquer soi un sourire, soi le malaise. Un roman n'obéit pas aux mêmes codes, le héros a le temps de franchir des péripéties avant d'arriver à la fin.


Il ne faut pas avoir une vision aussi étroite de la nouvelle...

Et, sinon, je plussoie le lapin crétin : un éditeur peut très bien refaire faire une fin... parce que, si l'auteur se laisse aller à son pessimisme/optimisme naturel, il peut très bien louper la "bonne" fin pour son texte. Parce que je ne pense pas qu'elle doive dépendre de nos inclinaisons naturelles, mais bien plutôt de l'histoire elle-même et de ce qui séduira le lecteur sur le final...

Mais, bon, c'est ma vision perso du truc : si je peux porter la double casquette d'auteure-éditrice, c'est que mon objectif est de satisfaire le lecteur et pas forcément des envies persos...

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Oliv
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Messagepar Oliv » 31 Juil 2008, 14:44

Napalm Dave a écrit :La nouvelle est un exercice différent du roman: elle repose en grande partie sur sa chute et celle-ci doit généralement être percutante, provoquer soi un sourire, soi le malaise. Un roman n'obéit pas aux mêmes codes, le héros a le temps de franchir des péripéties avant d'arriver à la fin.

Comme le souligne Cibylline, tu sembles avoir une vision réductrice de ce que doit être une nouvelle: ce que tu décris-là ne correspond pas à la définition de la nouvelle au sens large, mais de la "nouvelle à chute" qui n'est qu'une catégorie de nouvelles parmi d'autres.

Pour te dire à quel point je ne suis pas d'accord avec ta réflexion, pour moi, quand j'écris une nouvelle, celle-ci doit être structurée de manière à être une sorte de roman en miniature — et je n'ai pas honte de le dire, même si je sais que c'est un point de vue généralement méprisé par la profession — avec une situation de départ, des évènements centraux et une situation de fin, cette dernière n'étant ni plus ni moins importante que le reste. Les "nouvelles d'ambiance", sans structure et sans scénario, me font chier, et les "nouvelles à chute" me semblent souvent assez vaines.

Bref, tout cela pour dire que chacun peut définir la nouvelle à sa manière... Si bien que la plupart des textes présentés comme des "nouvelles" par leurs auteurs n'en sont pas selon mes propres critères, du moins je n'oserais pas les considérer comme "nouvelles" si c'était moi qui les écrivais. Mais cela est un autre débat qui n'a plus grand-chose à voir avec le happy-end.
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.

Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.

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Napalm Dave
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Messagepar Napalm Dave » 31 Juil 2008, 14:56

Je crois que je me suis mal exprimé car ce que je voulais dire par là, c'est qu'une nouvelle étant un texte court dans lequel la fin ou la chute est plus présente que pour un roman, elle peut se permettre une fin plus abrupte ou plus percutante.
Loin de moi l'idée de réduire la nouvelle aux histoires "à chute", ayant moi même écrit (et publié!) des nouvelles "à rebondissement", façon mini-roman, notamment "Le Grand Père des Crêtes" ou "Aube Mortelle" qui sont longues et pleines de péripéties.

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Beorn
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Messagepar Beorn » 31 Juil 2008, 16:15

Cibylline a écrit :si l'auteur se laisse aller à son pessimisme/optimisme naturel, il peut très bien louper la "bonne" fin pour son texte. Parce que je ne pense pas qu'elle doive dépendre de nos inclinaisons naturelles, mais bien plutôt de l'histoire elle-même et de ce qui séduira le lecteur sur le final...


Pour moi, la meilleure fin pour l'histoire, c'est celle qui convient le mieux à l'auteur. C'est celle-là qui aura le plus de chance de séduire le lecteur et l'éditeur.

L'histoire n'est pas quelque chose qui existe en dehors de l'auteur, qui serait "découvert" par l'auteur : l'histoire sort de son ventre, de son passé, de ses obsessions.
Certes, le lecteur aime ou n'aime pas, la lit d'une certaine manière ou d'une autre manière, mais je pense que si l'histoire ne sort pas vraiment de l'auteur, s'il se force, il n'arrivera pas à plaire.

Je sais, c'est complètement subjectif et on peut en débattre sans fin. C'est juste une conviction.

Dernier point: il faut aussi que l'auteur apprenne (ou s'avoue) ce qu'il aime vraiment, et qu'il ose le faire... plutôt que de faire ce qu'il croit être bien. Mais c'est un autre débat.
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lambertine
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Messagepar lambertine » 31 Juil 2008, 17:01

Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...


Hélas ! Et si s'était vrai comme dirait Levy qu'est-ce que mon banquier serait content !
Blague à part, chez Lambertine, les morts restent mort (et ils meurent rarement à la fin). Il me semble d'ailleurs que chez Werber aussi : ses fins sont cohérentes (et pas toujours si happy que ça, si je me souviens bien). D'ailleurs, pourquoi ne pas tuer un personnage qu'on retrouvera dans l'au-delà au volume suivant ?

Blague à part, je plussoie Beorn : une histoire sort de l'auteur, de la personnalité de l'auteur, de l'histoire de l'auteur, et la fin doit être l'accomplissement de l'histoire. Elle doit donc elle aussi sortir des tripes et des émotions de l'auteur. Je veux dire "vraiment". Je me méfierais plutôt des fins qui sont là "pour faire tragique" ou "pour faire happy end", qu'elles soient le fait de l'auteur ou d'une correction de l'éditeur.

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Saxon
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Messagepar Saxon » 31 Juil 2008, 17:09

lambertine a écrit :
Bon, OK, ça n'arrivera jamais à aucun d'entre nous (sauf bien sur Bernard Werber qui se cache sous le pseudo de Lambertine ^^). Mais on peut rêver...


D'ailleurs, pourquoi ne pas tuer un personnage qu'on retrouvera dans l'au-delà au volume suivant ?



Silverberg l'a fait. Il a écrit "Gilgamesh Roi d'Uruk" ou le personnage se sait irrémédiablement mortel et attend la fin. Puis "les portes de la vie" ou Gilgamesh est en enfer et cherche les portes de la vie.
Le premier roman est génial, le second est à jeter.
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Marcel&Co
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Messagepar Marcel&Co » 31 Juil 2008, 19:06

lambertine a écrit :Blague à part, je plussoie Beorn : une histoire sort de l'auteur, de la personnalité de l'auteur, de l'histoire de l'auteur, et la fin doit être l'accomplissement de l'histoire.
Blague à part ^^, vous avez raison : ça c'est le texte, produit de l'auteur, résultat de l'écriture.
Et puis après, il y a le texte, coproduit du lecteur (et je crois bien qu'il en existe un par lecteur), résultat de la lecture.

Tout est une question de choix du coté du miroir.
Comme dis Beorn, c'est une question de conviction.
Et puis aussi de : ecrit-on pour soi ou pour le lecteur ?

Je crois que, là aussi, il y a autant que réponses que d'auteurs.


P.S. C'était mon post with bisounours inside de la semaine

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Roanne
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Messagepar Roanne » 31 Juil 2008, 19:19

lambertine a écrit :Il me semble d'ailleurs que chez Werber aussi : ses fins sont cohérentes (et pas toujours si happy que ça, si je me souviens bien). D'ailleurs, pourquoi ne pas tuer un personnage qu'on retrouvera dans l'au-delà au volume suivant ?


Le peu que j'ai lu de Werber m'a toujours plu, de bout en bout.

Sinon, il a presque fait ce que tu notes, mais à l'envers : ses personnages se baladaient dans l'au-delà et meurent seulement après. C'est dans les Thanatonautes, un livre qui m'a fait beaucoup, énormément rire, alors que je sujet de base ne s'y prêtait pas et que la fin n'est objectivement pas du tout un happy end mais superbement amenée (et drôle, comme le reste du roman).

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Ookdelph
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Messagepar Ookdelph » 31 Juil 2008, 19:32

Roanne a écrit :Le peu que j'ai lu de Werber m'a toujours plu, de bout en bout.

Je crois que la clé est là... Moi aussi ça me plaisait pas mal au début, et puis à force de lire ses bouquins, je me suis rendu compte qu'il pouvait se répéter jusqu'à la nausée, sans jamais rien ajouter d'intéressant... J'ai aussi vu des extraits de ses livres récents que j'ai trouvés particulièrement ridicules (dans la façon "d'utiliser" des (caricatures de) personnalités comme personnages, par exemple. Ouille.)

Bon et alors le débat, où qu'il en est, puis-je faire avancer le schmilblick... Sur mon éventuelle préférence pour des fins "heureuses ou pas", comme tout le monde, je dirai : ça dépend, et de pas mal de choses. Comme pas mal d'autres choses.

Quant aux fins à écrire... j'en ai une en cours depuis deux ou trois mois ; en gros ça se passe à peu près aussi bien pour les personnages que pour moi (c'est franchement difficile mais a priori on devrait survivre.)

Pour les nouvelles, du peu que j'en ai fait on dirait que je penche vers la demi-teinte.

Valà, c'étaient mes deux centimes et demi ^^

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Messagepar Eterna » 31 Juil 2008, 19:34

Pareil que Roanne, j'ai toujours adoré ce que j'ai lu de lui (absolument tout :lol: ) : c'est très bien mené, et sans posséder un style vraiment marquant, il a au moins le mérite d'écrire des choses assez originales et toujours très documentées. Quant à la fin de la trilogie des Dieux...elle est quand même pas très happy hein ! Je dirais même qu'elle est carrément amère ! En tout cas je l'ai ressenti comme ça, ça m'a mis un coup de blues...
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Saxon
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Messagepar Saxon » 31 Juil 2008, 22:18

tiens, c'est marrant, mais à part les Fourmis, j'ai trouvé que ce qu'il faisait était plutôt sans intérêt, et plein à ras bord de philosophie de comptoir. Lassant à la longue.
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Messagepar Beorn » 31 Juil 2008, 23:10

Marcel a écrit :Et puis aussi de : ecrit-on pour soi ou pour le lecteur ?


scratch

On écrit pour les pépètes, non ?

euh, ciao :arrow:
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Neeva
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Messagepar Neeva » 01 Août 2008, 00:11

Je suis plutôt de nature pessimiste et c'est vrai que mes fins ont cette tendance à ne pas être très joyeuses. D'ailleurs au début, toutes mes nouvelles se finissaient mal. Du coup, j'ai changé de cap, d'abord parce que la fin d'une nouvelle doit être cohérente et non se finir tout le temps bien parce que l'auteur est optimiste, ou tout le temps mal parce que l'auteur est pessimiste. Ensuite parce qu'il faut se renouveler (commencer une nouvelle en sachant qu'elle va se finir mal, y a plus de suspense) et que parfois vaut mieux faire un happy-end : si mon histoire pour enfants s'était terminée dans un bain de sang, je doute qu'elle aurait été publiée :lol:

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Messagepar Roanne » 01 Août 2008, 07:52

:shock:

Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...

Ca ne ferait pas très sérieux... :lol:

Oui, la sortie, tout ça, je sais :arrow:

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Messagepar Beorn » 01 Août 2008, 09:56

Neeva a écrit : Du coup, j'ai changé de cap, d'abord parce que la fin d'une nouvelle doit être cohérente et non se finir tout le temps bien parce que l'auteur est optimiste, ou tout le temps mal parce que l'auteur est pessimiste.


D'une part je pense que pour les nouvelles, c'est différent : on peut plus facilement forcer sa nature sur 10 pages que sur 300.

D'autre part, tu caricatures mon propos : je ne dis pas que la fin doit être heureuse parce qu'on est optmiste, je dis que qu'elle doit être cohérente avec le récit.
Et comme tout le reste du récit est déjà imprégné du caractère de l'auteur, la fin la plus cohérente, ce sera celle que lui inspire son caractère, comme pour le reste du récit.

Ecrire à l'encontre de ses convictions, de ses perceptions, c'est être faux et c'est courir à l'échec (comme je l'ai dit, c'est une conviction personnelle, ça ne se démontre pas).
Maintenant, il y a trente-six façons d'inventer des récits et des fins en accord avec son propre caractère. Il peut exister une infinité de nuances.

Neeva a écrit :Ensuite parce qu'il faut se renouveler (commencer une nouvelle en sachant qu'elle va se finir mal, y a plus de suspense)


Se renouveler ?
Oui, changer de technique, faire des exercices de style, essayer des genres nouveaux, je suis entièrement d'accord.
De plus, se renouveller, c'est aussi tatonner pour essayer de se connaître soi-même.
La technique de Marcel me semble très utile pour une bonne raison : en essayant de faire une fin différente, on peut se révéler à soi-même. Si j'essayais une fin triste, est-ce que je n'y serais pas meilleur ? Est-ce que ça ne me correspondrait pas mieux ?

Mais changer sa propre nature profonde, non : je ne dis pas que c'est impossible, mais ça ne relève plus de la littérature...

Roanne a écrit :Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...


Rôôô... Mais peut-être que tu es faite pour les récits érotiques, tout simplement ? :cool:
(enfin, pour ce qui est de tes activités d'auteur, pour les autres, je ne me prononcerais pas :roll: )
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Messagepar Saxon » 01 Août 2008, 16:13

Roanne a écrit ::shock:

Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...

Ca ne ferait pas très sérieux... :lol:

Oui, la sortie, tout ça, je sais :arrow:


Je suis impatient de lire tes contributions à l'Armoire aux épices du coup...
Bon, ok, je sors aussi.
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Messagepar Sand » 01 Août 2008, 16:22

Eterna a écrit :Quant à la fin de la trilogie des Dieux...elle est quand même pas très happy hein ! Je dirais même qu'elle est carrément amère ! En tout cas je l'ai ressenti comme ça, ça m'a mis un coup de blues...


Moi elle a failli me faire pisser de rire au milieu du supermarché (car ça je le survole au supermarché, je l'achète pas, je préfère donner mes sous à d'autres).

Mais j'ai un mauvais fond, et un peu plus de bouteille chaque jour qui passe.

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Messagepar Roanne » 01 Août 2008, 22:21

Saxon a écrit :
Roanne a écrit ::shock:

Vu ma nature, si j'appliquais cette imparable logique (que la fin ressemble à l'auteur), toutes mes histoires se termineraient par des parties de jambes en l'air...

Ca ne ferait pas très sérieux... :lol:

Oui, la sortie, tout ça, je sais :arrow:


Je suis impatient de lire tes contributions à l'Armoire aux épices du coup...
Bon, ok, je sors aussi.
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Non, désolée, pas d'auto-édition même au niveau nouvelles.
Mais je pourrai toujours te faire passer un texte en douce...


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