AH la la... Oliv, ne sens-tu pas l'intélligence qui entoure les cuites, les drogues, la folie destructrice de l'alcool ?
Tu n'es vraiment pas modern ! C'est le top d'avaler des litres à en dégeuler, de se trainer dans son vomi et dans celui des autres parce que tu n'arrives plus à marcher, de pisser en même temps parce que, hein, au bout de 10 litre faut bien évacuer, de prendre des hommes pour des femmes et inversement...
Ca fait style de se trimbaler complètement KO avec un filet de bave morveux et maladif sur le monton, n'arrivant plus rien à controler...
C'est la classe de se pisser dessus au milieu de tout mle monde, d'ailleurs tout le monde fait pareil, alors en s'en fiche...
C'est top d'être un rammassi morveux de fiante, et même j'irais jusqu'à dire que ça procure une certaine intelligence. Comme brûler des voitures, pourquoi pas ? C'est à la mode ? Je veux !
... Y'a eu une petite fête simpa dans un petit village de montagne qui a du mal à dépasser les 100 habitants... C'était génial. Bon évidemment, je n'y suis pas allé et le lendemain y'avait intérêt à mettre un masque de protection contre les odeurs, tous le village - et surtout la place principale- noyée sous des litres et des litres de vomi dégoutant et de pisse. Ils sont arrivés avec les camions de pompiers et ont tout néttoyé au super jet, c'était génial. Le mieux, c'est qu'après le village il était calme, tous les petits cons étaient couchés.
Sans insuter personne, parce que je ne doute pas que ça leur ait fait gagné beaucoup de QI (en tout cas ils ne devaient pas risquer d'en perdre beaucoup.)
Les écrivains sont-ils tous drogués ?
- ereneril
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Re: Les écrivains sont-ils tous drogués ?
Allez, je fais dans le politiquement incorrect.
J'ai conçu un certain nombre d'histoires avec des amis autour de cigarettes qui font rire.
On appelait ça, la méthode de Tas-tri (jeu de mots que seuls quelques algorithmiciens comprendront).
Durant une soirée à l'ambiance festive et à consommation de "pate qui rend nigaud", on balançait un tas d'idées. On rebondissait, se renvoyait la balle, et on notait tout. Ca faisait un vaste tas d'idées plus ou moins farfelues.
Quand on se revoyait, on commençait par trier ces délires. On jetait tout ce qui était ridicule et on ne gardait que l'exploitable, sur lequel on repartait avec à nouveau une consommation illicite.
La consommation stimulait l'imagination.
En revanche, seul le travail "à jeun" permettait de produire quelque chose de cohérent.
Le juste milieu est donc la réponse à la question initiale...
J'ai conçu un certain nombre d'histoires avec des amis autour de cigarettes qui font rire.
On appelait ça, la méthode de Tas-tri (jeu de mots que seuls quelques algorithmiciens comprendront).
Durant une soirée à l'ambiance festive et à consommation de "pate qui rend nigaud", on balançait un tas d'idées. On rebondissait, se renvoyait la balle, et on notait tout. Ca faisait un vaste tas d'idées plus ou moins farfelues.
Quand on se revoyait, on commençait par trier ces délires. On jetait tout ce qui était ridicule et on ne gardait que l'exploitable, sur lequel on repartait avec à nouveau une consommation illicite.
La consommation stimulait l'imagination.
En revanche, seul le travail "à jeun" permettait de produire quelque chose de cohérent.
Le juste milieu est donc la réponse à la question initiale...
Les dés ont fini de rouler...
Re: Les écrivains sont-ils tous drogués ?
En ce qui concerne K.Dick, savoir si il aurait écrit ce qu'il a écrit sans drogues relève d'un thème d'uchronie! Mais déjà il faut le replacer dans son époque qui est en plein celle de la mystique psychélélique, de Timothy Leary et autres, et ensuite de la psychose du Monsieur que la drogue devait calmer! Polariser sur sa prise de substances pour parler de son inspiration me semble à coté du sujet. Tous les explosés de la tête de l'époque n'ont pas écrit "Ubick", je pense que là dessus tout le monde sera d'accord qu'aucune défonce ne donnera le génie de K.Dick à celui qui n'en a pas. Mais que lui a amené à lui la défonce? Pour y répondre il faudrait explorer les mondes parralèlles où K.Dick a été parfaitement clean (Et peut être qu'on y rencontrera aussi un Tolkien qui marchait aux champignons!)
Ce qu'il y a d'admirable dans le fantastique, c'est qu'il n'y a plus de fantastique : il n'y a que le réel.
André Breton
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