J'ai été voir ce que c'était le nanowrimo, et c'est très intéressant :) . Malheureusement, jusqu'à au moins decembre (1er trimestre scolaire), je vais être privé de PC ! Donc je pense que j'essayerai en dehors du mois, plus tard.
Grr, demain je pourrais plus bosser, ni pour moi ni pour certains trucs pour le bac (le PPE des SI...). ça me provoque la déprime et l'énervement à la fois rien que d'y penser... Nan, faut vraiment pas que j'y pense
L'écriture vous fait quel effet émotionnellement ?
- Draconesse
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J'ai dit "fébrile" à défaut de mieux, car pour moi cela a peu de rapport avec une éventuelle "excitation".
Enfin bon, évidemment ça dépend aussi du personnache.
M'enfin, parfois c'est atrocement laborieux, parfois pas une seule émotion qui me traverse, juste une très forte concentration et un flux, ininterrompu, de mots qui dégringolent sur mon écran.
Voilà, voilà.
Enfin bon, évidemment ça dépend aussi du personnache.
M'enfin, parfois c'est atrocement laborieux, parfois pas une seule émotion qui me traverse, juste une très forte concentration et un flux, ininterrompu, de mots qui dégringolent sur mon écran.
Voilà, voilà.
"When she wants something done, she does it straight away. She is very aggressive and totally disrespectful, but can be a good friend."
Pour ma part ça dépend de l'état de mes personnages. Je sais toujours ce qui va se passer dans l'histoire, mais pourtant, si mes personnages en sortent complètement anéanti, ou au contraire euphorique, je me met à leur place , car il faut que mon esprit et mes sentiments soient dans le contexte pour décrire le mieux possible ce que je veux transmettre au lecteur.
Je suis donc toujours impliqué émotionnellement dans mes écrits.
Je suis donc toujours impliqué émotionnellement dans mes écrits.
"Il y a des choses qui dépendent de nous, et d'autres qui n'en dépendent pas..."
- Max Katarn
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Bon ben ça fait trois jours que je suis vidé émotionnellement, j'ai plus envie de rien. Je me sens presque déprimé. Tout ça parce que j'ai écrit un chapitre que j'avais en tête depuis 5 mois (depuis le début), cette libération/enfantement m'a laissé un grand vide et je m'attendais vraiment pas à ça.
Le chapitre n'a rien de spécial, il n'est pas gai mais rien de dramatique, c'est juste une scène qui me tenait à coeur et là vraiment dur. :(
pourtant je devrais être content j'ai atteints les 300 000 signes. pfrt comme quoi
Le chapitre n'a rien de spécial, il n'est pas gai mais rien de dramatique, c'est juste une scène qui me tenait à coeur et là vraiment dur. :(
pourtant je devrais être content j'ai atteints les 300 000 signes. pfrt comme quoi
J'ai mis "une grande excitation qui vous rend fébrile".
On ne pourrait pas mieux décrire l'état dans lequel je suis quand je suis inspirée.
Excitation dans le sens d'agitation morale, hein.
Et fébrile, ben, les doigts sur le clavier qui vont aussi vite qu'ils peuvent.
Et c'est super fatigant comme état, je peux être plus crevée après 6 pages word qu'après avoir fait du sport.
Mais j'ai à peine besoin de relire (sauf pour les fautes), ce qui est écrit en plein phase d'inspiration empressée en toujours bon.
On ne pourrait pas mieux décrire l'état dans lequel je suis quand je suis inspirée.
Excitation dans le sens d'agitation morale, hein.
Et fébrile, ben, les doigts sur le clavier qui vont aussi vite qu'ils peuvent.
Et c'est super fatigant comme état, je peux être plus crevée après 6 pages word qu'après avoir fait du sport.
Mais j'ai à peine besoin de relire (sauf pour les fautes), ce qui est écrit en plein phase d'inspiration empressée en toujours bon.
- Roland Vartogue
- Phacochère sacré
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Tiens, un truc qui me surprend toujours avec l'écriture - et qui me semble lié à toute activité artistique chez moi - c'est la "disparition" du temps. Je crois que tout le monde en fait plus ou moins l'expérience. Il est incroyable de voir comme les heures filent quand on est vraiment pris par un chapitre. Ce n'est pas parce que l'acte d'écriture est particulièrement agréable (parfois, ça peut même être carrément soulant, il faut bien le dire). C'est plutôt une sorte de décallage dans l'écoulement du temps et ça peut parfois être spectaculaire.
Mettons que je me mette à écrire à 11h en pensant faire une pause à 13h pour déjeuner. Il m'arrive parfois de constater, quand je pense enfin à regarder l'heure, qu'il est déjà 19h et que c'est le diner qu'il faut que je me mette à préparer...
Mettons que je me mette à écrire à 11h en pensant faire une pause à 13h pour déjeuner. Il m'arrive parfois de constater, quand je pense enfin à regarder l'heure, qu'il est déjà 19h et que c'est le diner qu'il faut que je me mette à préparer...
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
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