Comment voir ses projets mis à terre en un 1/4 d'heure
Comment voir ses projets mis à terre en un 1/4 d'heure
Soutenance du rapport de stage, Mardi 29 mai :
Je suis allée à ma soutenance confiante. Patron n°1 content de mon travail de chargée de mission stagiaire, un rapport que je ne trouvais pour une fois pas si raté que ça, la prolongation du stage dans la poche, des collaborations sollicitées de l’extérieur comme encouragement, je me disais bêtement que ça ne pourrait pas mal se passer. C’était mal connaître mon jury, et la malédiction de Murphy.
Autant, les remarques à mes soutenances de mémoires de recherches me faisaient mal, mais avaient le mérite de me réorienter dans mon travail, autant les réflexions déplacées de la professionnelle chargée d’évaluer ma mission m’ont foutue par terre. Il n’y a pas eu de questions sur ma mission en elle-même, simplement un interrogatoire sur le projet plus vaste de Patron n°1. A plusieurs reprises, j’ai tenté d’exposer ma méthode d’enquête, les premiers résultats, les perspectives ouvertes par la réunion du 24 mai dernier, mais rien n’y a fait. Le rapport lui n’ont plus n’a pas trouvé grâce à ses yeux : “Les annexes, là, ça sert à rien. On en a déjà soupé toute votre première partie, de l’historique, pas besoin d’une revue de presse. Vos courriers non plus! De toute façon, on n’a pas le temps de les lire.”Au terme de la “soutenance”, elle m’a même conseillée d’arrêter ma mission parce que ça ne m’apporterait rien pour mon avenir professionnel.
Je suis en colère, déprimée, et dégoutée. Patron n°1 m’a mis une excellente évaluation de stage (18/20) mais je risque de ne pas valider mon année parce que le jury ne l’aime pas, lui et ses visions de la valorisation du patrimoine. Une histoire de politique culturelle et de vision des choses qui diffèrent entre deux professionnels et qui rejaillit sur l’évaluation du travail d’une étudiante qui n’avait pas idée du guêpier dans lequel elle s’est fourrée. Je ne sais pas quoi penser de ma mission du coup : est-ce que Patron n°1 a voulu être sympa avec son 18? Est-ce que les gens du 24 mai m’ont juste prise pour une rigolotte et se sont bien foutus de ma gueule après la réunion? Mon rapport de stage était vraiment nul à ce point? Ou alors c’est juste cette femme qui n’est pas du tout objective et qui laisse son mépris pour Patron n°1 prendre le dessus?
Je ne sais plus où me situer et tout ça ne présage rien de bon pour les entretiens de Master 2. C‘est quasiment grillé pour Nantes, si mon stage ne leur convient pas comme ils me l’ont fait remarqué lourdement mardi midi. Ne reste plus qu’à croiser les doigts. Je travaille comme une acharnée sur mon droit de l’urbanisme, pour m’assurer au moins une moyenne correcte. Si jamais je dois redoubler, il va falloir vraiment argumenter devant la commission. J’ai l’impression que toutes les portes qui s’ouvraient doucement ces derniers mois sont en train de me claquer au nez toutes en même temps. C’est frustrant, et ma petite voix intérieure me hurle dans les oreilles que ce n’est pas juste.
Je sais qu’il n’y a pas que le travail dans la vie, mais là, je suis au tournant de la première partie de ma vie : tout ça va décider de ce que je vais faire de moi pendant quelques années. J’ai mis tellement de moi dans ces années d’université qu’échouer maintenant est inconcevable, surtout si c’est pour une histoire de mésentente entre personnes. Je veux bien qu’on me jette parce que mon travail ne tient pas la route, mais je ne veux pas être taclée pour des raisons qui me seraient étrangères, et aussi futiles.
C’est sans doute trop demander.
Résultats du second semestre, mercredi 6 juin :
Anglais : 16/20 => meilleure note de mes 6 années à l'université
Espagnol : 11/20 => pas si mal pour quelqu'un qui n'avait pas fait d'espagnol depuis sa terminale
Globalement ravie.
Stage :
Rapport : 11/20 => pardon? :sad:
Soutenance : 12/20 =>
Evaluation du responsable de stage : 18/20 =>
Ils ont bien sanctionné mon choix de stage et ma collaboration avec quelqu'un qu'ils n'aiment manifestement pas. Je ne sais toujours pas si mon travail a été examiné un peu. Vu mes notes, je suppose que je suis simplement nulle.
En une semaine, tous mes projets sont tombés par terre. J'essaie de ramasser les morceaux et de refaire un puzzle qui tient debout, mais je dois dire que je pleure comme une gosse plus souvent que je ne ris. Il y a peu de chance que mes dossiers de master 2 soient acceptés, je n'ai pas vraiment espoir d'être reçue aux concours passés, et même l'avenir chez PigeonVoyageur est soumis à caution (merci la libéralisation).
Je ne sais plus ce que je dois faire et si je dois espérer quelque chose de plus de cette année. Je sais que je ne suis pas stupide, que je suis capable de faire beaucoup de choses, seulement là, je n'ai absolument plus confiance en moi. La perspective de passer des entretiens pour les masters 2, pour un stage ou pour un travail me donne envie de pleurer et de me jeter par la fenêtre.
Je suis désolée de venir polluer le forum, mais j'avais besoin que ça sorte... Tout ça explique que je ne suis ps très présente ici, ou sur Cocy... Avant, c'était à cause du travail, maintenant c'est plutot la déprim' qui me tient éloigner.
*retourne à ses révisions de droit de l'urbanisme*
Je suis allée à ma soutenance confiante. Patron n°1 content de mon travail de chargée de mission stagiaire, un rapport que je ne trouvais pour une fois pas si raté que ça, la prolongation du stage dans la poche, des collaborations sollicitées de l’extérieur comme encouragement, je me disais bêtement que ça ne pourrait pas mal se passer. C’était mal connaître mon jury, et la malédiction de Murphy.
Autant, les remarques à mes soutenances de mémoires de recherches me faisaient mal, mais avaient le mérite de me réorienter dans mon travail, autant les réflexions déplacées de la professionnelle chargée d’évaluer ma mission m’ont foutue par terre. Il n’y a pas eu de questions sur ma mission en elle-même, simplement un interrogatoire sur le projet plus vaste de Patron n°1. A plusieurs reprises, j’ai tenté d’exposer ma méthode d’enquête, les premiers résultats, les perspectives ouvertes par la réunion du 24 mai dernier, mais rien n’y a fait. Le rapport lui n’ont plus n’a pas trouvé grâce à ses yeux : “Les annexes, là, ça sert à rien. On en a déjà soupé toute votre première partie, de l’historique, pas besoin d’une revue de presse. Vos courriers non plus! De toute façon, on n’a pas le temps de les lire.”Au terme de la “soutenance”, elle m’a même conseillée d’arrêter ma mission parce que ça ne m’apporterait rien pour mon avenir professionnel.
Je suis en colère, déprimée, et dégoutée. Patron n°1 m’a mis une excellente évaluation de stage (18/20) mais je risque de ne pas valider mon année parce que le jury ne l’aime pas, lui et ses visions de la valorisation du patrimoine. Une histoire de politique culturelle et de vision des choses qui diffèrent entre deux professionnels et qui rejaillit sur l’évaluation du travail d’une étudiante qui n’avait pas idée du guêpier dans lequel elle s’est fourrée. Je ne sais pas quoi penser de ma mission du coup : est-ce que Patron n°1 a voulu être sympa avec son 18? Est-ce que les gens du 24 mai m’ont juste prise pour une rigolotte et se sont bien foutus de ma gueule après la réunion? Mon rapport de stage était vraiment nul à ce point? Ou alors c’est juste cette femme qui n’est pas du tout objective et qui laisse son mépris pour Patron n°1 prendre le dessus?
Je ne sais plus où me situer et tout ça ne présage rien de bon pour les entretiens de Master 2. C‘est quasiment grillé pour Nantes, si mon stage ne leur convient pas comme ils me l’ont fait remarqué lourdement mardi midi. Ne reste plus qu’à croiser les doigts. Je travaille comme une acharnée sur mon droit de l’urbanisme, pour m’assurer au moins une moyenne correcte. Si jamais je dois redoubler, il va falloir vraiment argumenter devant la commission. J’ai l’impression que toutes les portes qui s’ouvraient doucement ces derniers mois sont en train de me claquer au nez toutes en même temps. C’est frustrant, et ma petite voix intérieure me hurle dans les oreilles que ce n’est pas juste.
Je sais qu’il n’y a pas que le travail dans la vie, mais là, je suis au tournant de la première partie de ma vie : tout ça va décider de ce que je vais faire de moi pendant quelques années. J’ai mis tellement de moi dans ces années d’université qu’échouer maintenant est inconcevable, surtout si c’est pour une histoire de mésentente entre personnes. Je veux bien qu’on me jette parce que mon travail ne tient pas la route, mais je ne veux pas être taclée pour des raisons qui me seraient étrangères, et aussi futiles.
C’est sans doute trop demander.
Résultats du second semestre, mercredi 6 juin :
Anglais : 16/20 => meilleure note de mes 6 années à l'université
Espagnol : 11/20 => pas si mal pour quelqu'un qui n'avait pas fait d'espagnol depuis sa terminale
Globalement ravie.
Stage :
Rapport : 11/20 => pardon? :sad:
Soutenance : 12/20 =>
Evaluation du responsable de stage : 18/20 =>
Ils ont bien sanctionné mon choix de stage et ma collaboration avec quelqu'un qu'ils n'aiment manifestement pas. Je ne sais toujours pas si mon travail a été examiné un peu. Vu mes notes, je suppose que je suis simplement nulle.
En une semaine, tous mes projets sont tombés par terre. J'essaie de ramasser les morceaux et de refaire un puzzle qui tient debout, mais je dois dire que je pleure comme une gosse plus souvent que je ne ris. Il y a peu de chance que mes dossiers de master 2 soient acceptés, je n'ai pas vraiment espoir d'être reçue aux concours passés, et même l'avenir chez PigeonVoyageur est soumis à caution (merci la libéralisation).
Je ne sais plus ce que je dois faire et si je dois espérer quelque chose de plus de cette année. Je sais que je ne suis pas stupide, que je suis capable de faire beaucoup de choses, seulement là, je n'ai absolument plus confiance en moi. La perspective de passer des entretiens pour les masters 2, pour un stage ou pour un travail me donne envie de pleurer et de me jeter par la fenêtre.
Je suis désolée de venir polluer le forum, mais j'avais besoin que ça sorte... Tout ça explique que je ne suis ps très présente ici, ou sur Cocy... Avant, c'était à cause du travail, maintenant c'est plutot la déprim' qui me tient éloigner.
*retourne à ses révisions de droit de l'urbanisme*
Dernière édition par zen le 12 Juin 2007, 18:39, édité 1 fois.
- Blackwatch
- Chef de la propagande
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A défaut de conseil vraiment utile... ne baisse quand même pas les bras trop vite, le travail finit toujours par payer. Que tu aies eu affaire à des c*** nul doute. Ils t'ont fait payer quelque chose complètement indépendant de ta personne. Aussi il ne faut pas te remettre en cause.
Je croise les doigts pour que ton entretien se passe bien
En attendant *¨calins itou*
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-
- Messages : 52
- Inscription : 14 Mai 2007, 21:35
Merci pour ces calins
Vous êtes adorables :)
Je sais bien qu'il faut que je garde espoir, que je continue à bosser dur et que normalement, ça devrait payer un jour, mais j'ai vraiment du mal à y voir clair en ce moment... On verra après le dernier examen.
Merci beaucoup en tout cas, ça fait chaud au coeur :-)
Vous êtes adorables :)
Je sais bien qu'il faut que je garde espoir, que je continue à bosser dur et que normalement, ça devrait payer un jour, mais j'ai vraiment du mal à y voir clair en ce moment... On verra après le dernier examen.
Merci beaucoup en tout cas, ça fait chaud au coeur :-)
Dernière édition par zen le 12 Juin 2007, 18:39, édité 2 fois.
- le_navire
- Corsaire perverse
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- Inscription : 11 Août 2006, 16:00
- Localisation : Cévennes
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Zen ma grande, deux choses.
D'abord, tes notes ne sont pas catastrophiques. Ce sont typiquement celles qu'on fout à un/une étudiant(e) qui est sanctionné(e) pour autre chose que ton travail. Et le fait que le patron du stage t'ai foutu 18 met comme d'hab dans ce cas là plus de suspicion sur ses méthodes de travail que sur le tien. Ils le savent, en fac, et ils en ont parfaitement conscience. De plus tu as normalement les noms de tes jurys et de ton patron qui apparaissent partout, et tout le monde est au courant des tensions qui opposent les équipes avec des conceptions différentes...
Ensuite, barde toi. Parce que c'est comme ça que ça se passe 8/10 dans le boulot, où que tu ailles. Privé, comme public. Tu es soit un pion et à toi de choisir ton camps, soit partie prenante et ça n'a souvent rien à voir avec tes qualités propres, mais beaucoup avec l'entregent et la politique interne.
Donc : soit tu refuses le système mais tu en payes le prix : carrière limitée, fric aussi. Mais tu vis ailleurs et tu t'éclates parce que tu ne laisses personne te dicter comment faire ton boulot. Soit tu rentres dans le rang, en sachant déjà d'où viendront les coups puisque tu sais qui tu soutiens et donc qui tu as en face de toi.
Et dans les études, c'est pareil. On choisit souvent ses patrons en fonction de ses relations dans le monde universitaire, plutôt qu'en fonction du thème de recherche choisi.
C'est très con, mais c'est comme ça, et ça ne s'arrange pas avec l'autonomie des universités...
Courage.
D'abord, tes notes ne sont pas catastrophiques. Ce sont typiquement celles qu'on fout à un/une étudiant(e) qui est sanctionné(e) pour autre chose que ton travail. Et le fait que le patron du stage t'ai foutu 18 met comme d'hab dans ce cas là plus de suspicion sur ses méthodes de travail que sur le tien. Ils le savent, en fac, et ils en ont parfaitement conscience. De plus tu as normalement les noms de tes jurys et de ton patron qui apparaissent partout, et tout le monde est au courant des tensions qui opposent les équipes avec des conceptions différentes...
Ensuite, barde toi. Parce que c'est comme ça que ça se passe 8/10 dans le boulot, où que tu ailles. Privé, comme public. Tu es soit un pion et à toi de choisir ton camps, soit partie prenante et ça n'a souvent rien à voir avec tes qualités propres, mais beaucoup avec l'entregent et la politique interne.
Donc : soit tu refuses le système mais tu en payes le prix : carrière limitée, fric aussi. Mais tu vis ailleurs et tu t'éclates parce que tu ne laisses personne te dicter comment faire ton boulot. Soit tu rentres dans le rang, en sachant déjà d'où viendront les coups puisque tu sais qui tu soutiens et donc qui tu as en face de toi.
Et dans les études, c'est pareil. On choisit souvent ses patrons en fonction de ses relations dans le monde universitaire, plutôt qu'en fonction du thème de recherche choisi.
C'est très con, mais c'est comme ça, et ça ne s'arrange pas avec l'autonomie des universités...
Courage.
Partout pareil...
Des grands pontes s'entendent mal, et qui paye ? Voir dans un conservatoire : une ancienne prof est revenue en tant que jury et a voulu démontrer que ses successeurs n'étaient pas à la hauteur. Résultat : aucun prix de violon cette année-là.
Mais bon, il faut savoir que le travail, ainsi que ça a déjà été dit, finit toujours par payer un jour ou l'autre. Et le jour où ça paye, ceux qui nous ont sottement mis des bâtons dans les roues vont se faire cuire un oeuf. C'est un vrai plaisir de se dire : "J'ai réussi, maintenant. Cette année est loin. Ces jurys sont loin, et ils vont se faire..." ben euh... cuire un oeuf, comme je disais. J'ai bien autre chose en tête, mais c'est tellement grossier que ça ne s'écrit pas sur un forum littéraire.
Bon. Tout ça pour dire que rien n'est encore perdu. Si : une bataille. Mais pas la guerre ! (C'est bientôt le 18 juin, je crois...)
Courage pour la suite. Je souhaite qu'elle te soit favorable.
Des grands pontes s'entendent mal, et qui paye ? Voir dans un conservatoire : une ancienne prof est revenue en tant que jury et a voulu démontrer que ses successeurs n'étaient pas à la hauteur. Résultat : aucun prix de violon cette année-là.
Mais bon, il faut savoir que le travail, ainsi que ça a déjà été dit, finit toujours par payer un jour ou l'autre. Et le jour où ça paye, ceux qui nous ont sottement mis des bâtons dans les roues vont se faire cuire un oeuf. C'est un vrai plaisir de se dire : "J'ai réussi, maintenant. Cette année est loin. Ces jurys sont loin, et ils vont se faire..." ben euh... cuire un oeuf, comme je disais. J'ai bien autre chose en tête, mais c'est tellement grossier que ça ne s'écrit pas sur un forum littéraire.
Bon. Tout ça pour dire que rien n'est encore perdu. Si : une bataille. Mais pas la guerre ! (C'est bientôt le 18 juin, je crois...)
Courage pour la suite. Je souhaite qu'elle te soit favorable.
- Misato
- ordre du printemps
- Messages : 289
- Inscription : 08 Nov 2006, 20:16
- Localisation : Paris
- Contact :
Zen: donne-toi le temps de digérer ce coup dur. Si tu te sens nulle et déprimée, c'est simplement parce que tu viens de prendre un sacré coup à l'estomac. N'exige pas de toi de repartir gambader à la seconde suivante. Laisse toi quelques jours pendant lesquels tu te donnes le droit d'être triste, déçue, etc. Quand tu auras bien pleuré/ruminé, tu vas commencer à avoir une drôle d'envie de botter des fesses. C'est ça qui va t'aider à te remettre en selle.
Bon courage et *câlins*
Ben… Où tu as trouvé mon cv?
Bon courage et *câlins*
le_navire a écrit :Donc : soit tu refuses le système mais tu en payes le prix : carrière limitée, fric aussi. Mais tu vis ailleurs et tu t'éclates parce que tu ne laisses personne te dicter comment faire ton boulot.
Ben… Où tu as trouvé mon cv?
Misato
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
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- Roanne
- Muse corsetée
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- Inscription : 20 Fév 2006, 14:40
- Localisation : L'Hermitain
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Zen, est-ce que ça va mieux ?
Je suis certaine que tu vas retomber sur tes pieds, en tout cas, sache que tu n'es pas la seule dans ce cas.
(en tout cas une chose est sûre, avec la nouvelle couleur du forum, les caractères mauves ressortent pas aussi bien )
Je suis certaine que tu vas retomber sur tes pieds, en tout cas, sache que tu n'es pas la seule dans ce cas.
(en tout cas une chose est sûre, avec la nouvelle couleur du forum, les caractères mauves ressortent pas aussi bien )
Dernière édition par Roanne le 09 Juin 2007, 21:06, édité 1 fois.
- Cian
- Tapis en sursis
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- Inscription : 14 Fév 2006, 00:23
- Localisation : Aquitaine (Bordeaux)
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Tu sais, casser de létudiant est un sport collectif dans les jurys français, Fac ou pas. La plupart de ces juges ne sont en rien meilleurs que toi, beaucoup sont même de gros nazes qui sont à leur poste par pur piston.
J'ai vu des étudiantes être cassées parce qu'elles étaient "trop jeune-revenez l'an prochain" alors que leur travail était encensé par ce même jury, et d'autres, nulles, être prises parce qu'elles avaient mis un tailleur, s'étaient fait une tronche de vieille et arboré le sourire idoine.
Il n'y a rien de juste dans cet univers.
Ne te bile pas pour ces cons. Plus ils sont nuls et plus ils jouissent de casser ceux qui ont du talent.
Garde la foi en tes capacités.
Calinourson
Cian, tigre peiné
J'ai vu des étudiantes être cassées parce qu'elles étaient "trop jeune-revenez l'an prochain" alors que leur travail était encensé par ce même jury, et d'autres, nulles, être prises parce qu'elles avaient mis un tailleur, s'étaient fait une tronche de vieille et arboré le sourire idoine.
Il n'y a rien de juste dans cet univers.
Ne te bile pas pour ces cons. Plus ils sont nuls et plus ils jouissent de casser ceux qui ont du talent.
Garde la foi en tes capacités.
Calinourson
Cian, tigre peiné
Un songe, sinon rien
http://adulon.e-monsite.com/
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- Roanne
- Muse corsetée
- Messages : 1263
- Inscription : 20 Fév 2006, 14:40
- Localisation : L'Hermitain
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Ah oui, je l'adore celle-là :
"Vous êtes trop jeune"
"Oh, excusez-moi de ne pas avoir redoublé."
Vérifique... c'est arrivé à un copain de Brest (bac à 17 ans, donc bac +5 à 22... trop jeune pour les responsabilités, le management, la crédibilité et le salaire, les entreprises françaises n'aiment pas les jeunes).
"Vous êtes trop jeune"
"Oh, excusez-moi de ne pas avoir redoublé."
Vérifique... c'est arrivé à un copain de Brest (bac à 17 ans, donc bac +5 à 22... trop jeune pour les responsabilités, le management, la crédibilité et le salaire, les entreprises françaises n'aiment pas les jeunes).
- Ferrand
- Doyen de choc
- Messages : 80
- Inscription : 11 Mai 2007, 02:23
- Localisation : Moselle
- Contact :
Lorsque je suis passé à l'oral de je ne sais plus quel examen, je suis tombé sur un sujet qui me tenais à coeur, défendre le nucléaire. Manque de bol, je suis tombé sur une petite c...... qui avait des idée contraires aux miennes.
sans tenir compte de mon travail, elle a réussi à convaincre le jury, que mon exposé était nul et que ma note devait être en dessous de la moyenne. Ce qui ne m'a pas empêché d'obtenir mes examens et de faire une carrière de cadre dans un grand établissement international. Comme quoi!
Allez ne te laisse pas abattre, laisse les cons derrière toi et va de l'avant!
gros poutous
sans tenir compte de mon travail, elle a réussi à convaincre le jury, que mon exposé était nul et que ma note devait être en dessous de la moyenne. Ce qui ne m'a pas empêché d'obtenir mes examens et de faire une carrière de cadre dans un grand établissement international. Comme quoi!
Allez ne te laisse pas abattre, laisse les cons derrière toi et va de l'avant!
gros poutous
Une semaine après et à deux jours de mon rattrapage, ça va mieux, même si je ne regarde toujours pas sereinement vers "demain".
Je digère le taclage, je travaille mon rattrapage, et je postule dans des bibliothèques pour préparer mon oral au cas où je sois admissible au concours de conservateur des bibliothèques...sait-on jamais.
Je vous remercie pour vos messages et vos encouragements. Ca fait du bien de vous lire :) Merci!
Je digère le taclage, je travaille mon rattrapage, et je postule dans des bibliothèques pour préparer mon oral au cas où je sois admissible au concours de conservateur des bibliothèques...sait-on jamais.
Je vous remercie pour vos messages et vos encouragements. Ca fait du bien de vous lire :) Merci!
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