Evolution de l'équitation au cours des âges

[Roanne]

Waouh c'est passionnant Harfang, merci pour toutes ces infos .

[Nynaeve]

Les lignées arabes sont légères car adaptées au type climatique et aux sols de leurs contrées d'origine.
Et elles ont été sélectionnées par rapport au type d'équitation pratiqué, qui privilégie depuis toujours endurance et dextérité. Leurs cavaliers n'ont jamais porté d'armures lourdes, à ma connaissance.

Je ne sais pas pourquoi, mais je préfère cette équitation là. J'ai vu beaucoup de documentaires sur ces cavaliers du désert et je trouve leur façon de monter extraodinaire. En même temps, leur équitation est adaptée dans les moindres détails à leur mode de vie, puisque, si je ne me trompe pas, le nomadisme était de mise à l'époque *beaucoup plus qu'aujourd'hui*. Par exemple, les bédouins ne pouvaient qu'utiliser des chevaux rapides et légers pour les traversées de déserts et parfois pour leurs raids. Enfin, je trouve que le cheval arabe *que ce soit le pur sang, ou même le barbe* est parfait en tous points de vue.

Les islandais montaient leur petit cheval aux 5 allures, les Viking, ma foi, devaient aller à dos de Fjord, un poney trèèès costaud, que j'adore.

Moi aussi !!! J'en ai monté un pour une randonnée dans les montagnes. C'est fou comme ils ont les pieds sûrs et un équilibre extraordinaire ! Il ne trébuchent jamais, même dans les passages difficiles, c'est impressionnant ! Pas étonnant que c'est une race qui a survécu à la dure vie nordique !
*Mais mon coup de coeur reste le connemara *

[Vinyamar]

C'est marrant, mais autant j'adorais les chevaux arabes à l'époque où je me délectais des romans de Walter Farley, autant depuis que j'ai découvert la puissante beauté du percheron je reste fasciné par ces géants équestres, et l'arabe me fais la figure d'un jouet !

[Roanne]

J'avoue que les rares fois où j'ai monté un pur-sang arabe, j'en ai bavé (p***** de saleté de caractère lunatique de m**** si je puis m'exprimer ainsi). Je préfère les barbes, de loin. Côté poneys, j'aime aussi énormément les news forests, d'ailleurs le dernier équidé avec lequel je me suis faite plaisir en était un, et ça date de plus de 5 ans je ne suis plus remontée depuis.
Côté lourds, mon coeurs va au trait poitevin, cheval de ma région d'adoption, ils sont beeeaaaauuuuu vous pouvez pas savoir
Mais bon, niveau idôlatrie, y a pas, c'est les ibériques.
Seulement une monture de ce standing, ça se mérite, et je suis bien trop piètre cavalière. Je me contente d'en rêver.

[Nynaeve]

Côté lourds, mon coeurs va au trait poitevin, cheval de ma région d'adoption, ils sont beeeaaaauuuuu vous pouvez pas savoir

Ahhhhh si !!! Il y avait deux étalons des haras chez mon moniteur en avril... DES MONSTRES !!! Un noir magnifique et un gris pommelé qui faisait deux fois ma taille ! Ils étaient impressionnants de force et de beauté, mais aussi terrifiants ! Bon d'accord, ce sont des étalons, mais de là à rugir au lieu de hennir !

[Roanne]

Les poitevins font dans la démesure . Leur baudet est aussi très grand, donc ça te laisse une idée de la taille des mûles quand ils croisent les deux espèces .
Impressionnantes !

[Blackwatch]

Les chevaux étaient peut-être massifs, mais pas comme des chevaux de traits modernes. Leur forme actuelle est récente, dûe à leur emploi pour la boucherie depuis qu'ils ont été remplacés par les tracteurs. Les chevaux de traits étaient beaucoup moins lourd il y a à peine 50 ans,

Au temps pour moi, je ne connaissais rien de tout ca. Comme à peu près 90% des infos distillées ici. Fil très intéressant en tout cas!

[Roanne]

Ces échanges sont très intéressants . Pour une fois ce n'est pas du pur flood gratuit .
J'ai appris des éléments très intéressants sur l'évolution de la sellerie française depuis le moyen-âge, le hic c'est que les livres ne sont pas faciles à trouver.
Là, j'aimerais vraiment m'offrir un livre magnifique rédigé par un spécialiste de l'équitation ibérique, avec des illustrations de Marine Oussedik.
Dispo sur Amazon, je bave...

[Chwip]

Je remonte ce sujet pour motiver Roanne...

Si il le faut je le mets en post-it, du moment que tu termines ton roman !

[Roanne]

Le vieux chantage ! Mais devine sur quoi je bosse ce soir ?
Et puis quand je corrigerai, j'aurai ces bouquins à porter de main pour essayer de rajouter un peu de technique :

- L'équitation portugaise, de Carlos Henrique Pereira
- La doma vaquera (pas encore acheté mais ça ne saurait tarder)
- Le nouveau manuel du cavalier
- Manuel d'hippologie (au bon sang, celui-ci faudra vraiment que je me force à l'ingurgiter)
- mes deux livres de monte amazone, tout simplement parce qu'ils contiennent des infos intéressantes sur la position, l'assiette, le dressage de base.

= j'ai enfin terminé mon bureau donc j'ai enfin sorti mes livres de leurs cartons.

Je n'ai pas beaucoup de livres d'équitation, mais il faut comprendre que n'étant plus cavalière, j'hésite toujours à en acheter. Là ce que je veux par dessus tout c'est un livre de dressage "de base". Un truc où il est expliqué simplement la façon dont le cavalier doit communiquer avec sa monture pour obtenir tel ou tel comportement.

Exemple con : il y a 6 ans, je savais demander à une monture pleine de bonne volonté de passer directement du pas au galop, simplement en plaçant mes jambes correctement. Maintenant je n'arrive plus à me souvenir laquelle il faut laisser à la sangle, laquelle il faut mettre en arrière. Bref, je n'ai même plus les bases des bases, donc je pourrais écrire des boulettes.

Oh, un truc intéressant que j'ai lu cet aprème : l'exercice fondamental de l'équitation portugaise, c'est l'épaule en dedans.
En parlant de ça, voilà le livre qu'il faut que je trouve : "L'art équestre" de N. Oliveira, qui est assez récent (1991). C'est d'ailleurs ce maître qui disait : "L'épaule en dedans, c'est l'aspirine de l'équitation : elle guérit tout".
Ce qui s'explique par le fait qu'elle assouplit le cheval, lui muscle le dos et lui renforce la sangle abdominale.
Côté cavalier, la jambe intérieure sert de pivot, aidant le cheval à s'incurver, la jambe extérieure est là légèrement en arrière de la sangle pour conserver l'impulsion et maintenir les hanches de la monture qui ne doivent pas chasser. Par contre, ne me demandez pas le rôles des mains, je ne l'ai toujours pas saisi !

Voilà, c'était le cour d'équitation théorique de Roanne, motivée ce soir, mais qui rappelle qu'elle est la plus mauvaise cavalière qu'un cheval peut cauchemarder de porter !

Sur ce je retourne écrire sérieusement !

[Nynaeve]

Le vieux chantage ! Mais devine sur quoi je bosse ce soir ?
Et puis quand je corrigerai, j'aurai ces bouquins à porter de main pour essayer de rajouter un peu de technique :

- L'équitation portugaise, de Carlos Henrique Pereira
- La doma vaquera (pas encore acheté mais ça ne saurait tarder)
- Le nouveau manuel du cavalier
- Manuel d'hippologie (au bon sang, celui-ci faudra vraiment que je me force à l'ingurgiter)
- mes deux livres de monte amazone, tout simplement parce qu'ils contiennent des infos intéressantes sur la position, l'assiette, le dressage de base.

Je vais passer pour une fleimmarde, mais même quand j'étais cavalière régulière, j'étais absolument incapable d'avaler des livres d'équitation *mis à part les livres théoriques pour le passage des galops... bon ça date un peu*. Peut-être simplement parce que tout ce dont j'avais besoin de savoir pour monter, je l'obtenais de mon moniteur. Mais même aujourd'hui, alors qu'il est vrai que j'accorde une place importante à l'équitation dans mon roman, je ne ressens pas le besoin de me plonger dans ce type de livre. Peut-être parce que je les trouve un peu rébarbatifs. Et puis, il faut avouer que je ne décris pas un mode d'équitation aussi particulier que la portuguaise ou la monte en amazone. Dans tous les cas, je t'admire Roanne, tu as du courage pour lire tout cela !

Exemple con : il y a 6 ans, je savais demander à une monture pleine de bonne volonté de passer directement du pas au galop, simplement en plaçant mes jambes correctement. Maintenant je n'arrive plus à me souvenir laquelle il faut laisser à la sangle, laquelle il faut mettre en arrière.

Jambe intérieure à la sangle. Jambe extérieure légèrement reculée. Elle doit permettre de contrôler les hanches du cheval, les empêcher de "chasser" pour reprendre ton expression. J'en garde un souvenir particulier de cette jambe extérieur au galop. Parce qu'au TREC (Technique de Randonnée Equestre de Compétition), à l'épreuve des Allures, on doit conserver un galop le plus lent possible dans un couloir large de 1,50 m. Et le plus difficile, ce n'est pas tant de faire avancer son cheval sur une ligne droite, mais de conserver ses hanches dans ce couloir ! D'où l'importance de la jambe extérieure...

Oh, un truc intéressant que j'ai lu cet aprème : l'exercice fondamental de l'équitation portugaise, c'est l'épaule en dedans.
En parlant de ça, voilà le livre qu'il faut que je trouve : "L'art équestre" de N. Oliveira, qui est assez récent (1991). C'est d'ailleurs ce maître qui disait : "L'épaule en dedans, c'est l'aspirine de l'équitation : elle guérit tout".
Ce qui s'explique par le fait qu'elle assouplit le cheval, lui muscle le dos et lui renforce la sangle abdominale.

Je savais pour le dos, je me souviens de certains exercices (au galop sur un début de diagonal, par exemple galop à gauche, puis on se rabat sur l'autre diagonal en arrivant au centre du manège, tout en conservant le galop à gauche. On repousse ainsi avec la jambe intérieure le cheval vers la piste). Mais la sangle abdominale ? Je ne suis même pas sûre de savoir ce que c'est !

Côté cavalier, la jambe intérieure sert de pivot, aidant le cheval à s'incurver, la jambe extérieure est là légèrement en arrière de la sangle pour conserver l'impulsion et maintenir les hanches de la monture qui ne doivent pas chasser. Par contre, ne me demandez pas le rôles des mains, je ne l'ai toujours pas saisi !

Euh... le rôle des mains, je ne suis plus sûre de le connaître, non plus. Peut-être suffit-il d'écarter la rêne extérieure, et garder la rêne intérieure contre l'encolure. Je crois que ce sont les vagues souvenirs que j'en garde, mais après, ça me paraît un peu trop simple.

Parler d'équitation va finir par me rendre nostalgique. Mais c'est toujours agréable. C'est dommage que notre échange sur le TREC ait disparu avec le bug du forum.

[Roanne]

C'est vrai que c'est dommage qu'on ait perdu les échanges sur le TREC... c'est la seule discipline qui me motiverait pour me remettre en selle, parce qu'elle nécessite une réelle complicité entre le cavalier et sa monture.

Merci en tout cas pour la confirmation concernant le placement des jambes pour le départ au galop. Finalement c'est ce que je croyais mais je n'en étais plus sûre du tout...

(sinon je te rassure, ces livres je vais les ingurgiter juste pour le plaisir, mais il est peu probable que cela se retrouve vraiment dans mon récit, ce sera à voir lors de la correction)

[Nynaeve]

C'est vrai que c'est dommage qu'on ait perdu les échanges sur le TREC... c'est la seule discipline qui me motiverait pour me remettre en selle, parce qu'elle nécessite une réelle complicité entre le cavalier et sa monture.

A la fin de mes 2 ans de TREC (bref quand j'ai été forcée d'arrêter l'équitation), je pense que je pouvais dire que j'avais construit une vraie complicité avec mon petit connemara gris pommelé

C'est ce que j'avais tellement aimé dans cette discipline. J'ai commencé avec ce poney (bon, un grand poney quand même) : il n'était pas capable de faire grand chose. Ne pouvait pas s'approcher d'un obstacle, sauf avec une énorme dose dans les jambes, et encore moins des oxers. ça peut paraître paradoxal pour un connemara, parce que c'est quand même une race de sauteurs nés. Mais lui avait été battu à la chambrière dans sa jeunesse sur de gros obstacles. Son propriétaire voulait en faire un bon cheval de concours. D'où, le traumatisme, et moi qui me retrouve avec sur les bras un poney qui ne veut pas sauter (ce qui s'avère problématique pour le PTV *parcours en terrain varié*, vu qu'il y a des troncs ou des haies à franchir).

Le travail n'a pas toujours été facile. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai franchi l'obstacle toute seule, laissant le poney planté derrière moi. Et même quand je restais en selle (ce qui a fini par arriver, parce qu'au bout d'un moment, on arrive à prévoir les réactions du poney), j'étais incapable de réussir un exercice du premier coup. Mon moniteur s'en arrachait les cheveux ! D'ailleurs, je ne me l'explique toujours pas : je faisais un gros ratage sur le premier passage et le second, je le réussissais presque parfaitement. C'était peut-être ça le pire, pour mon moniteur.

Au final, à force de faire des compétitions, de s'entraîner, et surtout de monter le même cheval, mon poney a pris confiance en lui, et en moi. Je me souviens bien du dernier TREC que j'ai fait (désolé pour le ton un peu nostalgique ), il y avait une haie en tout début de PTV. Mon poney a failli, l'espace d'un millième de secondes, s'arrêter devant, mais au dernier moment, après avoir ralenti considérablement, il a malgré tout franchi la haie (le saut n'était pas d'une grande classe, parce que je me suis presque retrouvée sur l'encolure quand il a freiné ). Quand j'ai fini mon parcours, mon moniteur est venu me voir. En général, il est avare de compliments, mais il m'a remerciée (je ne sais toujours pas pourquoi) et m'a expliqué que 2 ans plus tôt, mon poney n'aurait jamais franchi cette haie, qu'il était fier de notre travail à tous les deux... Lui aussi devait déjà se douter à ce moment que l'histoire de notre groupe de TREC allait mal se finir. Sa remarque m'a fait prendre conscience que j'étais arrivée à cette fameuse complicité.

Quelque part, c'est un peu la même histoire qui est arrivée à l'une de mes meilleures amis, qui était ma partenaire de TREC. Elle a commencé avec un jeune cheval un peu "tout fou". La première année, il n'y a pas eu un seul cours où elle n'a pas fini sur les fesses. C'était d'ailleurs assez drôle (peut-être un peu moins pour elle). Et à la fin, la complicité qu'elle avait réussi à établir avec son petit cheval (une vraie bourique) était impressionnante. Les deux moniteurs de notre centre en étaient restés sur le c...

Voilà, encore une fois, je n'ai pas pu m'empêcher de blablater pendant trois heures sur l'équitation !
C'était la séquence anecdote personnelle/nostalgique.

[Roanne]

Qu'elle est agréable cette douce nostalgie . Perso je te lirais pendant des heures...en mai, ça fera 6 ans que j'ai arrêté officiellement l'équitation. Mes dernières randonnées ont eu lieu du côté de Sarrians et Vaqueyras, dans le Vaucluse : à cheval on peut atteindre des sites extraordinaire, mais il vaut mieux partir à la fraîche, ça cogne dur dans le sud-est.

[Nynaeve]

Je n'ai jamais fait de véritable randonnée. Juste des promenades d'une journée à tout casser. Je suis une flemmarde. Et les orientations de TREC durent au max 3h. Hum... ou 5h quand on se perd... Disons que ça m'est arrivé assez souvent les premières fois. Je suis même sortie de la carte qu'on nous avait donné à Melles (il paraît que c'est une ville connue depuis dimanche soir dernier).

J'aimerais bien faire de longues randonnées à cheval, ça doit être génial. Et dans le Vaucluse en plus ! Mais moi il faut me rajouter une carte et une boussolle en main, des papiers pleins les poches (sur le calcul de l'allure du cheval, etc..) et au minimum trois chronos autour du cou pour que je m'amuse !

Vive le TREC et la randonnée en général !

[Roanne]

Dans le Vaucluse, je ne suis jamais partie plus d'une demi journée en rando . Désolée d'avoir laissé entendre le contraire .

Un des trucs les plus sympa que j'ai fait en Normandie, c'est un rallye équestre en équipe sur une journée complète. On m'avait confié un poney de type new forest, et franchement c'était génial car je pouvais mettre pied à terre à volonté pour récupérer les indices ou les preuves. Par contre, qu'est-ce que j'ai eu mal aux fesses .

Quand tu parles de Melle, ça me fait drôle car j'habite à côté d'une petite ville qui porte ce nom (manquerait plus qu'on parle de la même...).

[Nynaeve]

Melle ou Melles... je ne sais plus s'il y a un "s". En fait, je parle de Melle la connue, le "bastion" de Ségolène Royale dans les Deux-Sèvres comme le disaient les télés le 22 avril dernier.

J'y suis allée plusieurs fois pour des concours et j'avais adoré le coin.

Pour revenir au new forest, je suis tout à fait d'accord avec toi. Un poney est très pratique. Non seulement, il se faufile partout (je me suis déjà retrouvée dans les broussailles avec mon équipe et je voyais mes amies galérer à cheval), mais en plus, tu peux descendre et remonter quand tu veux, sans perdre trois heures à ralonger les étriers ou à trouver un tronc d'arbre pour te faire plus grande. Le seul "inconvénient" du poney, c'est que le cavalier ne doit pas être trop grand. Remarque, ça tombe bien pour moi. Je ne vais pas dépasser les 1m60, je pourrais donc *en théorie* monter à poney toute ma vie.

[Roanne]

Je suis pliée de rire sur mon clavier... en effet on parlait bien de la même Melle (sans "s"), celle des mines d'argent des rois francs, avec un arboretum qui vient d'être primé et... une usine chimique archi-connue qui fait que je n'aimerais pas y habiter (des fois que ça saute, on sait jamais).
C'est une sympathique petite ville Melle, il parait que le centre équestre qui est sur la route quand on vient de chez moi est très bien.
Mais tu vois, tu m'apprends quelque chose, je ne savais même pas que l'autre politicienne en venait, comme quoi je suis vachement l'actualité .
En tout cas, pour en revenir au sujet, mon mètre soixante quatre et mon certain nombre de kg n'ont pas l'air d'avoir gêné le new forest. J'avoue que j'ai un gros faible pour les grands poneys .

[Oliv]

En tout cas, pour en revenir au sujet, mon mètre soixante quatre et mon certain nombre de kg n'ont pas l'air d'avoir gêné le new forest. J'avoue que j'ai un gros faible pour les grands poneys .

Si cela peut te rassurer, ma chère Roanne, ton mètre soixante quatre et ton certain nombre de kilos harmonieusement répartis dans ton splendide bustier ne m'ont pas gêné non plus. J'avoue que j'ai un gros faible pour... Pour les poneys, moi aussi, oui, on va dire ça.

[Roanne]

Moui, Oliv fan des poneys, on y croit sans souci ! (pffff je vais encore avoir des ennuis avec la déesse)