[Compte d'auteur] Bénévents et autres

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Vinyamar
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Messagepar Vinyamar » 29 Juil 2006, 11:30

Ben si justement.
Je viens de démonter que les coûts étaient comparables, avec un avantage léger pour l'imprimeur (mais rien de consternant), mais que l'éditeur à CA te refaisait la mise en page, te procurait un ISBN et l'inscription dans ELECTRE et à la FNAC, te permettait de participer aux salons où il expose, et te produit un livre de qualité pro identique.

Donc ça se défend comparé à un imprimeur, même si certaines offres d'imprimeurs sont sans doute à explorer.

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Sand
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Messagepar Sand » 29 Juil 2006, 12:01

Vinyamar a écrit :Mais je parlais surtout du produit fini, le livre, la qualité du papier, du massicotage, de la colle, de la couverture, de son brillant, etc...
Parce que si c'est pareil, à 5 € ça vaut le coup !


Ben ça, ça dépend de ce que tu choisis, et du professionnalisme de l'imprimeur...

L'imprimeur fait toujours son boulot, que ce soit pour un particulier ou un éditeur.

L'auto-édition fait juste sauter les inermédiaires, y'a aucune raison que la qualité du produit fini soit moindre. Et en plus, il y a forcément une épreuve à accepter avant de lancer la production totale, donc tu vois bien ce qu'il en est.

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Neeva
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Messagepar Neeva » 16 Août 2006, 23:19

Jamais tenté. Je n'en vois absolument pas l'intérêt, ni ce qu'on peut en retirer de positif. Car, comme déjà dit sur ce topic, tous les arguments pseudo-positifs (être lu, pas vouloir se faire du fric, avoir un "vrai livre" entre les mains, avoir un isbn...) qu'on serait tenté d'y voir peuvent être trouvé ailleur... Il suffit de se renseigner...

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le_navire
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Messagepar le_navire » 17 Août 2006, 12:15

Bon je vais fiche un sacré pavé dans la mare, et je sens que je vais me faire détester...
Un bon texte qui ne trouve pas d'éditeur, excusez moi, mais ça n'existe pas. Voilà, je l'ai dit.
Alors si vous voulez que vos copains se penchent sur votre prose autrement que sous forme de tapuscrit, faites vous éditer à compte d'auteur. C'est tout ce que ça vaut...

Aïeu ! Pas sur la tête !

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Blackwatch
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Messagepar Blackwatch » 17 Août 2006, 13:03

Un bon texte qui ne trouve pas d'éditeur, excusez moi, mais ça n'existe pas. Voilà, je l'ai dit.


Trop catégorique pour moi. Et je ne vais citer qu'une auteure, qui a bien fait de ne pas appliquer ce principe et de persévérer. Irène Delse, pour ne pas la citer, raconte sur son blog comment elle a démarché toutes les maisons d'édition susceptibles d'être intéressées par son roman. De ce premier tour, choisi avec soin, il ne résulte rien. Si je comprends ton principe, elle aurait dû s'arrêter.

Heureusement qu'elle s'est dit que son oeuvre pouvait peut-être intéresser des éditeurs jeunesse...
Je pense que tu connais la suite!

Comme quoi avec un bon texte (condition sine qua non, bien entendu!) il ne faut pas renoncer, même si on ne trouve pas d'éditeur!
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Sand
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Messagepar Sand » 17 Août 2006, 13:33

Mauvais exemple : Irène a trouvé un éditeur.

Donc oui, un bon texte finit toujours par trouver un éditeur, même si ça peut être le parcours du combattant.

Simplement, il faut une vertu qui manque de nos jours* : la patience !

*Et j'aime pas en général commencer à parler de "génération McDo", habituée à tout tout de suite, mais là c'est le cas :| .

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Syven
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Messagepar Syven » 17 Août 2006, 13:47

le_navire a écrit :Bon je vais fiche un sacré pavé dans la mare, et je sens que je vais me faire détester...
Un bon texte qui ne trouve pas d'éditeur, excusez moi, mais ça n'existe pas. Voilà, je l'ai dit.


Moarf.

Alors si vous voulez que vos copains se penchent sur votre prose autrement que sous forme de tapuscrit, faites vous éditer à compte d'auteur. C'est tout ce que ça vaut...

Aïeu ! Pas sur la tête !

Moi ce qui me chiffonne, c'est le terme compte d'auteur (maintenant que j'ai compris ce que c'était).
Désolée, mais l'auto-édition, ça permet de ne pas se faire arnaquer. Le compte d'auteur coute une fortune pour un résultat discutable.

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Blackwatch
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Messagepar Blackwatch » 17 Août 2006, 14:01

Je ne parlais pas du compte d'auteur, juste de l'affirmation du navire pour dire qu'un texte n'ayant pas trouvé d'éditeur était tout simplement mauvais. Sans doute vrai pour la majorité, mais il ne faut pas en faire une généralité, comme le prouve l'ex. d'Irène Delse, qui ne s'est pas désespérée après les refus de son premier choix d'éditeurs.
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Messagepar Syven » 17 Août 2006, 14:06

Ben, "A year in the merde" a fait un carton en auto-édition. Ensuite, il a été publié par un éditeur qui a inondé tout le monde avec.

(Le seul soucis de cet exemple, c'est que c'est pas un excellent bouquin.)

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Vinyamar
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Messagepar Vinyamar » 17 Août 2006, 14:38

Le problème de l'affirmation du navire, c'est qu'on ne saura jamais si c'est vrai. On sait que sont publié de bons romans aussi bien que des grosses daubes.
On sait que sont refusés des grosses daubes... mais comment savoir si sont refusés de très bons romans ?
Comment le savoir, puisqu'ils ont été refusés ?
En musique, en peinture, quand cela arrive, on retrouve les toiles ou les partitions des siècles plus tard, et c'est assez rare pour susciter de l'intérêt, et relancer parfois l'artiste.
Les romans sont loins d'être rares (il y en a trop), donc personne ne s'intéressera à un manuscrit oublié dans 50 ou 200 ans.

Je ne vois rien qui prouve qu'un bon manuscrit trouve toujours un éditeur. Tu me dis "trouve m'en un", et je te répond "je ne le connais pas puisqu'il n'a pas été publié".
On tourne en rond.

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Messagepar Sand » 17 Août 2006, 15:22

C'est toute la beauté de la foi ;)

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Messagepar Neeva » 17 Août 2006, 23:38

Je trouve aussi que l'affirmation : "Un bon texte qui ne trouve pas d'éditeur ça n'existe pas" est trop catégorique. Et comme le dit Vinyamar, comment le prouver puisque ce livre n'aura pas été publié ?

La qualité est la première chose qu'un texte doit posséder pour avoir la chance d'être publié (mais vu le nombre de daubes publiées, j'en doute un peu quand même). Après, il y a tellement de variables que l'auteur ne maitrise pas... que même un bon texte peut être refusé partout et ne jamais voir le jour.

Pour l'instant, en tant que scénariste BD, 3 éditeurs différents m'ont dit que plusieurs de mes scénar (SF et Fantastiques) étaient bons et qu'ils me les auraient signés si j'étais venu avec il y a 1 an... parce que maintenant, le marché de la bd est saturé. Evidemment, si j'était venu avec un grand "nom" du côté du dessin, là c'était autre chose, mais pour l'instant, on ne prend pas de risques avec des jeunes auteurs. Autres raisons de refus : la SF n'est pas à la mode faut faire de la Fantasy ; l'éditeur avait déjà dans son catalogue un scénar qui traitaient de même thèmes que mon scénar, donc il voulait diversifier... Ces scénarii, je vais les garder, les remanier au fil du temps et les reproposer plus tard. Si j'ai de la chance, je les signerai peut-être (comme c'est le cas de la BD que je vais sortir chez Bamboo en septembre : c'est un de mes premiers scénar refusé partout qui a fini par voir le jour plusieurs années après), et si je n'ai pas de chance, tant pis.

Tous les scénarii BD de Morvan ont été refusés jusqu'à ce qu'il fasse un carton avec "Sillage". Du coup, tous ses anciens projets ont trouvé un éditeur. Pourquoi ? Ils n'étaient pas bons avant et ils le sont subitement devenus ?

Tout ça pour dire qu'avoir un bon roman ne suffit pas à le faire publier. Il faut le proposer au bon moment aux bonnes personnes.

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Cian
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Messagepar Cian » 18 Août 2006, 12:05

Le monde de l'édition Fantasy est tout petit. Il vaut mieux y avoir des relations si tu veux y être introduit, au-delà de tout copinage (toujours possible, qu'on arrête de prétendre le contraire.) tout simplement que comme dans tout métier, connaître un responsable facilite beaucoup de choses.

Ton anecdote sur la BD me rappelle une lointaine époque où j'avais envoyé mes travaux, très SF, à Métal Hurlant et d'autres mags. Tous m'ont répondu, de longs mois plus tard, qu'ils ne faisaient pas de SF en ce moment et donc qu'ils ne pouvaient pas me prendre mes histoires. Hors à cette époque, ils multipliaient les numéros spéciaux SF... :evil:
Pour avoir rencontré plusieurs dessinateurs pros, je peux t'assurer que certains éditeurs sont de vrais enfoirés (surtout au moment de payer les auteurs), alors ce qu'ils disent...

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le_navire
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Messagepar le_navire » 18 Août 2006, 12:19

Bon alors, remettons les pendules à l'heure...

1) Irène EST publiée. Oui, elle a eu des refus parce que son manuscrit ne respecte pas les codes ACTUELS de la Fantasy (pas de magie, pas de dragons, pas d'Elfes - quoique les Krobors ont quelque chose à voir avec les elfes, mais de très loin) mais la qualité de sa superbe écriture ne pouvait pas passer inaperçue très longtemps, et c'est moi qui l'ai eu, j'ai donc eu du BOL !

2) Ce qui est publié est souvent MAUVAIS. Soit parce qu'on parie sur des auteurs connus qui n'arrivent pas à écrire plus d'un bon bouquin, mais qui vendent - ça arrive, soit parce qu'on préfère la facilité éditoriale et flatter le public plutôt que de prendre le risque de le confronter à une qualité plus exigente, plus difficile, et qui lui demande plus d'effort : à terme, ça reste une mauvaise politique parce que c'est prendre les lecteurs pour des cons et ça a ses limites, preuve en est les difficultés actuelles des éditeurs qui ont fait ce pari stupide, surtout en jeunesse. Soit encore parce qu'on publie des auteurs maison, par principe, un principe d'ailleurs pas si mauvais, parce que ça participe parfois d'une bonne politique d'auteur (un bon auteur peut avoir des "accidents" littéraires). Soit enfin parce qu'on a rien d'autre à publier. C'est malheureusement le plus souvent le cas, reconnaissons le, et c'est lié au contraintes financières de beaucoup d'éditeurs, et ça a à voir avec le point mort, la répartition des risques, etc...

3)"comment le prouver puisque le livre n'aura pas été publié ?" Excusez moi, mais je me marre. Libre à vous de croire que de bons manuscrits dorment dans des placards à tout jamais, mais permettez moi d'insiter sur le fait qu'il suffit à chacun de passer quelque temps comme lecteur dans n'importe quelle maison d'édition pour se rendre compte que ce genre de fantasme est peut être charmant, mais complètement à côté de la plaque. Mais c'est beau la foi, comme dit notre très cher Sand...

4) Une chose à reconnaitre : près de 30% des refus sont dus à l'inadéquation du manuscrit avec la politique éditoriale d'une maison. Les gens continuent à nous inonder par exemple de manuscrits destinés à un public trop jeune, ou qui ne tient pas compte de notre politique "genre et aventure". Et parfois, les auteurs sont VRAIMENT têtus ! On les a au téléphone, ou on leur envoie des mails, et ils sont persuadés être dans les clous...et quand on reçoit le manuscrit, on a envie de hurler, tellement c'est évident qu'ils sont à côté et ça GONFLE !

5) Sur le succès en compte d'auteur : d'abord, c'est quand même un cas sur 50 000, et encore, je suis généreuse. Quand ça arrive, comme le cas cité plus haut, c'est souvent une daube, mais qui a le mérite de dire des choses (mal, mais bon) que les gens ont envie d'entendre à un moment donné. ça ne fait pas un bon bouquin, mais ça peut faire un livre qui se vend. Mais on parlait de BONS manuscrits, non ?

6)Pour le fric que ça représente, Syven, d'envoyer des manuscrits, de plus en plus d'éditeurs acceptent de recevoir une version electronique des textes, quitte, si l'intérêt est éveillé, à réclamer une version papier ensuite, pour aller plus loin. C'est le cas pour nous, et c'est bien évidement pour soulager les auteurs de ce coût d'envoi de leurs textes...

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Syven
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Messagepar Syven » 18 Août 2006, 14:34

le_navire a écrit :Bon alors, remettons les pendules à l'heure...

6)Pour le fric que ça représente, Syven, d'envoyer des manuscrits, de plus en plus d'éditeurs acceptent de recevoir une version electronique des textes, quitte, si l'intérêt est éveillé, à réclamer une version papier ensuite, pour aller plus loin. C'est le cas pour nous, et c'est bien évidement pour soulager les auteurs de ce coût d'envoi de leurs textes...

Je ne vois pas quel est le besoin de remettre les pendules à l'heure sur ce point. :roll:

Toutes les maisons d'édition n'ont pas la bonté de penser à l'envoi électronique, même si elles se font de plus en plus nombreuses (et les auteurs sont très sensibles à cette attention). Et on ne peut pas le reprocher à celles qui ne l'acceptent pas, parce que le jeu est ainsi fait. Si on veut être lu, il faut se conformer à la politique de soumission, c'est la moindre des choses. :wink:

(Franchement en quoi est-ce une attaque de croire que certains auteurs aux petits moyens peuvent abandonner à leur 20e essai ou avant si les maisons qu'ils ont ciblées demandent un envoi papier ? Enfin bon... :roll: :arrow: )

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le_navire
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Messagepar le_navire » 18 Août 2006, 18:37

Aïe Aïe, Syven, désolée, mon "remettons les pendules à l'heure" n'était pas du tout une marque d'agacement ni de réprobation...J'aurais dû mettre un smiley, là, je voulais juste dire que j'allais préciser ma pensée et tâcher de répondre avec plus de précision aux différentes remarques...Je suis confuse que tu ais pu penser que je me sentais attaquée, ce n'est pas le cas du tout.*soupir* De la difficulté d'aborder des sujets sensibles sans prendre de précautions oratoires...Et ça vaut bien sûr pour toutes mes réponses, donc je vous en prie, lisez bien que j'ai écris tout ça avec un (gentil - je suis plutôt gentille moi, comme gonzesse...) sourire aux lèvres...Affectueux, le sourire !

Et les éditeurs poussant comme les champignons ces dernières années, il y a quand même beaucoup, beaucoup de marge pour trouver celui qui va dans le bon crénau...

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Messagepar Cian » 18 Août 2006, 20:59

Il y a peut-être atant d'éditeurs que de champigons, mais sincérement, je serais incapable d'en citer plus de six ou sept. Et encore, tous ne sont pas présents chez les libraires que je pille.
Bref, pour un auteur, être édité chez x ou y, que personne ne connaît, quel intérêt ?
Avoir été édité une fois dans sa vie ?

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ADC
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Les éditions Amalthée

Messagepar ADC » 20 Oct 2006, 13:02

Souvent associées aux éditions Bénévent (à vrai dire c'est le même gérant), les éditions Amalthée pratiquent le "faux compte d'éditeur". C'est à dire qu'en gros, ils vous font payer la maquette à un prix exorbitant, vous donne des pourcentages faramineux (mais au final ils sont encore gagnants) et vogue la galère!!!

Bon OK, je suis dans la diffamation là! Surtout que c'est mon éditeur!

Donc je reprends... Cette année, j'ai signé mon tout premier contrat d'édition auprès d'Amalthée pour mon premier roman!
Ah bah je suis pas peu fière, surtout que j'aurais jamais entrepris tout ça (envoyer mes manuscrits) si mon entourage ne m'avait pas vivement encouragé.

Donc pour mon histoire, j'ai envoyé mon manuscrit (enfin tapuscrit) à huit éditions. 2 m'ont accepté, 1 m'a répondu gentiement que ce n'était pas leur style mais m'ont envoyé l'adresse d'une autre édition susceptible d'accepter (à laquelle je n'ai pas envoyé de manuscrit d'ailleurs!), les autres ont refusé (dont une avec détails de mes "défauts d'écriture". Ce fut assez cru mais appréciable!!!)

Et me voilà dans l'engrenage... Je me prépare à faire la promotion de mon livre (puisqu'Amalthée est réputé pour ne pas en faire!) et j'avoue ne pas vraiment savoir comment m'y prendre. Mais je vais y arriver, y'a pas de raison!

Objectifs: vendre un peu et surtout me faire une toute petite place dans le milieu...

Voilà pour mon histoire...

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utika
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Re: Les éditions Amalthée

Messagepar utika » 20 Oct 2006, 13:32

ADC a écrit :les autres ont refusé (dont une avec détails de mes "défauts d'écriture".


Et la version publiée chez Amalthée, c'est avant ou après la correction de ces défauts ?

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ADC
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Re: Les éditions Amalthée

Messagepar ADC » 20 Oct 2006, 14:00

utika a écrit :
ADC a écrit :les autres ont refusé (dont une avec détails de mes "défauts d'écriture".


Et la version publiée chez Amalthée, c'est avant ou après la correction de ces défauts ?


Avant!!!

J'ai envoyé mes 8 manuscrits en même temps, donc toutes ont reçues le même manuscrit!

Il est vrai que certaines de ces critiques sont incompréhensibles. J'ai eu beau les faire lire à quantité de monde, personne n'a réellement compris où était le problème!

Par contre, ils me reprochaient (ceux qui m'ont envoyé le détails des "défauts") de donner un livre peut être trop "simple" (pas dans le déroulement mais dans le style d'écriture). Il est vrai que je ne me suis pas lancée dans de la grande description, je vais droit au but. Mes lecteurs (bêta) ont apprécié le fait que ce ne soit pas trop narratif, clair et concis.Cependant, je peux comprendre que ça ne puisse pas plaire!


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