Sinon, pour en revenir à l'impact individuel.
Il ne faut pas croire que l'industrie et la politique soient toutes puissantes unilatèralement sur nous. Bon pour la politique il y a plus ou moins le vote. Pour l'industrie il y a notre consommation. La prise de conscience concernant ce pouvoir a entraîné des idées de consommation volontaire. Car contrairement à ce que l'on croit, acheter n'est pas gratuit. Acheter c'est soutenir le producteur. On peut se plaindre que les petits magasins ferment, mais évidemment, si tous le monde va au supermarché du coin... de même :
Quand les USA continue à produire les voitures les moins rentables au niveau énergétique, c'est grâce à qui?
Aux américains qui achètent toujours ce genre de voiture ?
Croire qu'on peut changer les choses par la Vertu est une douce utopie. je ne vois pas quand celà a put se faire, ni quand celà se feras.
Gandhi ?
Non de toutes façons je ne vois pas pourquoi on pourrait hypothéquer de l'avenir comme ça et condamner à l'échec à priori.
Si on ne peut pas faire avancer les choses autrement que par la violence, sur le principe même on est un tas d(imbécile et franchement je ne vois pas l'intérêt de changer les choses parce que ce sera pas mieux.
Je pense que le jour où les gens se sentiront suffisamment menacé et agréssé, ils se révolteront peut être. jusque là ils pourront s'abreuver des discours lénifiants, continuer à croire aux demi-mesures placebo qu'on leur donne pour se détendre, et continuer à jouir de la consommation matérielle.
Ici tu rapproche l'action au niveau individuelle de l'absence d'action, de continuation de la consommation, comme si tout ceux qui ne se révoltaient pas violemment étaient des naïfs ou au pire des hypocrites qui reçoivent béatement le discours dominant (forcément faux sur toutes la ligne), sans réellement prendre conscience de leur acte. Ce avec quoi je ne suis évidemment pas d'accord ?