Léa Silhol
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Léa Silhol
La sève et le givre :
Alors cette fois c'est une histoire qui se passe en féérie ( éh oui encore un monde imaginaire lol).
Dans cette féerie il y a la cour d'ombre, la cour de lumière et la cour de crépuscule et dans ces cours différents peuples si je me souviens bien.
Au début du roman le seigneur de l'ombre Finsten est condamné par 3 parques ( sortes de déesses responsables de la destinée si j'ai bien compris) et verra son peuple tomber sauf si l'amour vient à lui.
D'un autre côté, le fils de la reine des neiges tombe amoureux d'une dryade avec laquelle il aura un enfant. Cette enfant sera amenée en terre mortelle ( c'est à dire notre monde à nous ) puis retournera en féérie où elle finira par rencontrer le seigneur finsten et tombera amoureuse de lui....
Je vous conseille ce roman aussi, le style d'écriture de Léa Silhol étant vraiment magnifique.
Alors cette fois c'est une histoire qui se passe en féérie ( éh oui encore un monde imaginaire lol).
Dans cette féerie il y a la cour d'ombre, la cour de lumière et la cour de crépuscule et dans ces cours différents peuples si je me souviens bien.
Au début du roman le seigneur de l'ombre Finsten est condamné par 3 parques ( sortes de déesses responsables de la destinée si j'ai bien compris) et verra son peuple tomber sauf si l'amour vient à lui.
D'un autre côté, le fils de la reine des neiges tombe amoureux d'une dryade avec laquelle il aura un enfant. Cette enfant sera amenée en terre mortelle ( c'est à dire notre monde à nous ) puis retournera en féérie où elle finira par rencontrer le seigneur finsten et tombera amoureuse de lui....
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je ne l'ai pas lue, mais je l'ai vue au moins! Lors d'un débat à la foire du Livre sur..bien sûr, la fantasy! Elle m'avait paru bien sympa, mais j'avoue que son "intransigeance" (non, on ne tape pas!) notamment en ce qui concerne l'AT sur les fées m'a un peu déçu!
Enfin maintenant elle n'a bien sûr pas que ca à faire, je suppose!
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Lol il n'y a pas grand-chose à raconter..bon ok je m'exécute. Disons que Dame Silhol a une idée très précise de ce qu'est une fée. Comme elle l'a dit, pas la peine de lui faire prendre des vessies pour des lanternes! Jusque là, tout à fait d'accord.
ce que j'aime moins en revanche, c'est qu'elle s'irrite quand on lui demande quelques explications sur les sources à utiliser pour ce fameux AT. Tudieu! Tout le monde n'a pas lu Ruaud ou je ne sais qui, que je sache!
Bon..zen!
Mais bref qu'elle soit agacée par des questions de "débutants" en fantasy (dont je fais partie pas honte de l'avouer), j'avoue que mon opinion sur elle a changé!
ce que j'aime moins en revanche, c'est qu'elle s'irrite quand on lui demande quelques explications sur les sources à utiliser pour ce fameux AT. Tudieu! Tout le monde n'a pas lu Ruaud ou je ne sais qui, que je sache!
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Mais bref qu'elle soit agacée par des questions de "débutants" en fantasy (dont je fais partie pas honte de l'avouer), j'avoue que mon opinion sur elle a changé!
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Là, je mets un "hé ben dit donc, encore une qui pète plus haut que sa bouche..."
Je suis désolé. Si la fantasy était une science exacte, je dirai que l'imagination qui lui est lié serait chiant à mourrir. Moi, quand j'imagine une fée, c'est pas parce des auteurs l'ont décrit comme ça, mais parce je l'ai pensé comme ça, en écrivant mes bouquins. Si un confrère l'a imaginé autrement, et ben on n'aura qu'à dire que c'est une lointaine cousine...
Je vois pas comment on peut décrire avec exactitude une créature qui n'existe pas... On ne peut que l'imaginer, et dire comment on la voit.
Fin de la critique.
Je suis désolé. Si la fantasy était une science exacte, je dirai que l'imagination qui lui est lié serait chiant à mourrir. Moi, quand j'imagine une fée, c'est pas parce des auteurs l'ont décrit comme ça, mais parce je l'ai pensé comme ça, en écrivant mes bouquins. Si un confrère l'a imaginé autrement, et ben on n'aura qu'à dire que c'est une lointaine cousine...
Je vois pas comment on peut décrire avec exactitude une créature qui n'existe pas... On ne peut que l'imaginer, et dire comment on la voit.
Fin de la critique.
Advienne que pourra
J'ai lu les conte de la tisseue et j'ai adoré : un style magnifique, des histoires liées à la féérie, aux légendes ou a l'antiquité...
et puis j'ai acheté la sèvre et le givre.
L'écriture est belle, c'est vrai.
Léa Silhol nous livre là une intéressante interprétation de la féérie (et j'aime bien le lexique à la fin).
Mais franchement, j'ai trouvé que l'histoire était fade a force de vouloir être poétique, les personnages, caricatureux a force d'être éthérés et l'histoire, pas assez originale pour pallier au reste.
En bref, L. Silhol est une excellente novelliste, mais je ne suis pas du tout convaincue par sa capacité de "tenir" un roman.
et puis j'ai acheté la sèvre et le givre.
L'écriture est belle, c'est vrai.
Léa Silhol nous livre là une intéressante interprétation de la féérie (et j'aime bien le lexique à la fin).
Mais franchement, j'ai trouvé que l'histoire était fade a force de vouloir être poétique, les personnages, caricatureux a force d'être éthérés et l'histoire, pas assez originale pour pallier au reste.
En bref, L. Silhol est une excellente novelliste, mais je ne suis pas du tout convaincue par sa capacité de "tenir" un roman.
Personne n'est assez vieux pour ne pas espérer raisonnablement un jour de plus
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POur Lord Panda: Dame Silhol en fait voulait que les participants à l'AT s'inspirent des légendes et du folklore (de préférence Moyenâgeux si j'ai bien compris) et pas qu'on vienne lui servir 'voilà j'ai imaginé une fée comme ca" ..alors que la créature en question n'aurait aucune des caractéristiques communes aux fées!
Ce que je lui 'reproche' est de ne pas se donner la peine de citer des sources pour ceux qui n'ont pas une grande culture dans le domaine féérique.
Ce que je lui 'reproche' est de ne pas se donner la peine de citer des sources pour ceux qui n'ont pas une grande culture dans le domaine féérique.
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Ben moi je suis d'accord sur le fait que des êtres imaginés ne peuvent pas être totalement définis. En fantasy on décrit des choses qui n'existent pas, donc c'est vrai que l'on peut très bien les accomoder à sa sauce et les rendre comme on veut qu'ils soient sans bien sûr faire n'importe quoi non plus, enfin je veux dire que les choses soient tout de même cohérentes.
Sinon avez-vous lu le recueil de nouvelles intitulé Conversation avec La Mort ?
Honnêtement je m'attendais à mieux, surtout de la part de Léa Silhol, certaines nouvelles sont mieux que d'autres, mais je m'attendais à + de sensualité, + de séduction de la part de la mort.
Sinon avez-vous lu le recueil de nouvelles intitulé Conversation avec La Mort ?
Honnêtement je m'attendais à mieux, surtout de la part de Léa Silhol, certaines nouvelles sont mieux que d'autres, mais je m'attendais à + de sensualité, + de séduction de la part de la mort.
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Blackwatch a écrit :Ce que j'aimerais bien lire c'est l'histoire des Fay! Cette histoire de fantasy urbaine m'attire beaucoup! QQun l'a lue?
Ses nouvelles dans l'univers des fays, oui. Et elles sont bien.
Maintenant, pareil pour un roman dans cet univers... Ca me laisse dubitative.
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Blackwatch a écrit :Ce que je lui 'reproche' est de ne pas se donner la peine de citer des sources pour ceux qui n'ont pas une grande culture dans le domaine féérique.
Je me trompe peut être, mais d'après tout ce que l'on peut entendre ou lire, l'ai l'impression que Léa Silhol cultive un certain élitisme (Faites du poétique, faites du beau faites de la féérie ou sinon ne faites rien ...)
Suis le lapin blanc ...
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La Glace et la Nuit I: Nigredo de Léa Silhol
Tadaaaaaam!!!
Depuis le 20 avril, on peut découvrir la suite tant attendue de La Sève et le Givre (réédité par ailleurs chez Seuil). Il s'agit en fait du premier volume de cette suite (oui, vous avez bien lu, le t.2 de cette suite, Albedo, paraîtra l'an prochain). Les 2 chez les Moutons électriques.
Alors, suite oui, mais le ton change. ici, place à l'action, aux bouleversements, au changement, aux révolutions! Même dans le phrasé des personnages (qui se rapproche de Musiques de la Frontières). Le style poétique est toujours là, de même que le respect du folklore et son appropriation si particulière de Léa Silhol, mais, mais: il y a action, ça bouge! On tremble, on frémit, bref, difficile de lâcher le livre avant la fin. Ici, les fées ne sont pas seules présentes, différents éléments de la trame silholienne, que l'on avait vu dans d'autres textes, sont là et des pièces du puzzle s'imbriquent, mais chuuut! je n'en dirait pas plus, sauf attention chef d'oeuvre!:heart:
Quatrième de couv'
Le vent a soufflé sur le Royaume... En Hiver, la Reine des Neiges déchiffre la Trame du Temps et voit venir les jours derniers, la fin de tous les Chants. Elle confie à l’un des membres les plus inattendus de la Cour Froide une mission capitale, porteuse de tous ses espoirs : retrouver Angharad, Dame de la Sève et du Givre, qui a quitté les Dix-Neuf Royaumes depuis deux cents années mortelles. La retrouver, la ramener, telle est la mission de Kelis, le barde incertain qui connaît si peu le monde. Un acte désespéré, dont tout dépend. Et Kelis, fou blanc, s’avance sur l’échiquier de sa souveraine, sans se douter qu’il va entraîner, à chacun de ses pas, le plus grand changement qu’ait connu la Féerie. S’avance, tandis que le temps coule comme de l’eau... À travers les pièges des fiefs d’Ombre. Les envoûtements de Nicnevin. Les chasses unseelie et les jeux de Lumière. Les plans des Monarques des Trois Clartés. Les alliances avec les dieux étrangers. Les épées élevées des Nishven et l’art antique des filidh. Les routes à créer et les héritages à accepter. Sur les pas d’Angharad et Finstern, jusque dans leur volontaire exil. Vers la fracture des Cours, la guerre contre la Mortalité, et vers la promesse de la plus périlleuse des Cours. Vers l’espoir de Seuil. C’est dans la conquête des passages et des clefs, et sous l’égide des anciens Trésors des Tuatha de Danann, que commence à se tisser le deuxième chant majeur du monde de Vertigen.
Couv':
[img]http://www.moutons-electriques.com/images/colonnes/24.jpg[/img]
Depuis le 20 avril, on peut découvrir la suite tant attendue de La Sève et le Givre (réédité par ailleurs chez Seuil). Il s'agit en fait du premier volume de cette suite (oui, vous avez bien lu, le t.2 de cette suite, Albedo, paraîtra l'an prochain). Les 2 chez les Moutons électriques.
Alors, suite oui, mais le ton change. ici, place à l'action, aux bouleversements, au changement, aux révolutions! Même dans le phrasé des personnages (qui se rapproche de Musiques de la Frontières). Le style poétique est toujours là, de même que le respect du folklore et son appropriation si particulière de Léa Silhol, mais, mais: il y a action, ça bouge! On tremble, on frémit, bref, difficile de lâcher le livre avant la fin. Ici, les fées ne sont pas seules présentes, différents éléments de la trame silholienne, que l'on avait vu dans d'autres textes, sont là et des pièces du puzzle s'imbriquent, mais chuuut! je n'en dirait pas plus, sauf attention chef d'oeuvre!:heart:
Quatrième de couv'
Le vent a soufflé sur le Royaume... En Hiver, la Reine des Neiges déchiffre la Trame du Temps et voit venir les jours derniers, la fin de tous les Chants. Elle confie à l’un des membres les plus inattendus de la Cour Froide une mission capitale, porteuse de tous ses espoirs : retrouver Angharad, Dame de la Sève et du Givre, qui a quitté les Dix-Neuf Royaumes depuis deux cents années mortelles. La retrouver, la ramener, telle est la mission de Kelis, le barde incertain qui connaît si peu le monde. Un acte désespéré, dont tout dépend. Et Kelis, fou blanc, s’avance sur l’échiquier de sa souveraine, sans se douter qu’il va entraîner, à chacun de ses pas, le plus grand changement qu’ait connu la Féerie. S’avance, tandis que le temps coule comme de l’eau... À travers les pièges des fiefs d’Ombre. Les envoûtements de Nicnevin. Les chasses unseelie et les jeux de Lumière. Les plans des Monarques des Trois Clartés. Les alliances avec les dieux étrangers. Les épées élevées des Nishven et l’art antique des filidh. Les routes à créer et les héritages à accepter. Sur les pas d’Angharad et Finstern, jusque dans leur volontaire exil. Vers la fracture des Cours, la guerre contre la Mortalité, et vers la promesse de la plus périlleuse des Cours. Vers l’espoir de Seuil. C’est dans la conquête des passages et des clefs, et sous l’égide des anciens Trésors des Tuatha de Danann, que commence à se tisser le deuxième chant majeur du monde de Vertigen.
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Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve (W. Shakespeare)
Avatar: S. Pui Mun Law
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