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- Shyel Antille
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Des tas de p'tits romans pas longs et bien chouettes, genre ... zut.... le maitre et le pantin, non, l'épouvantail. Ah ! je l'ai : L'épouvantail et son valet, voilà, de...heu, celui qui a écrit une trilogie avec "traversée des mondes" je crois, dedans... Arrr... je sais plus son nom (et le livre est reparti à la bibliothèque).
Dernièrement : "un enfant prodige" d'Irène Némirovsky - j'ai le livre devant moi, ne croyez pas que je me souviens des références toute seule !!
Si ! Pullman je crois, pour l'épouvantail.
Dernièrement : "un enfant prodige" d'Irène Némirovsky - j'ai le livre devant moi, ne croyez pas que je me souviens des références toute seule !!
Si ! Pullman je crois, pour l'épouvantail.
- Zali
- ordre de l'automne
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Italie : Six personnages en Quête d'auteur, de Pirandello (mériterait certainement à être lu en VO... Faut que je me rmette au rital !)
France : Les lettres Persanes, de Montesquieu. Han ! Trop bien !
Québec : Salut Galarneau ! de Jacques Godbout. Quelle belle littérature que celle de la Belle Province !
France : Les lettres Persanes, de Montesquieu. Han ! Trop bien !
Québec : Salut Galarneau ! de Jacques Godbout. Quelle belle littérature que celle de la Belle Province !
La Trilogie du Minotaure de Thomas Burnett Swann
L'île de Crète abrite en son sein une vaste forêt interdite aux Hommes. Dans cet océan d'arbres millénaires et de collines verdoyantes vivent en bonne intelligence ceux qu'on nomme les Bêtes : les Centaures et leur sens inné de la fête, les Dryades inséparables de leur arbre, les Panisci aux pieds fourchus, les insatiables Thriae... Mais à cause de la cupidité de l'envahisseur achéen, le paradis est voué à disparaître. Et tandis que les Centaures périssent sous le glaive, Eunostos le poète, le dernier des Minotaures, compose l'élégie qui célébrera la fin du monde..
En plus du Château de Hurle de Diana Wynne Jones, La trilogie du minotaure est le livre que j'ai eu pour Noël.
Cela ressemble un peu à Narnia, mais en mieux je trouve.
Ce livre est composé en trois parties-livres. La première est selon moi juste écrite pour mettre en place l'univers et ses personnages car les deux humains ne sont pas très interéssants mais c'est pardonnable par la suite. Les deux dernières parties sont plus captivantes et certains personnages attachants comme Eunostos, Zoé et Pandia.
Et surtout, Swann posséde un bon sens du merveilleux et de l'épique. Et la fin est superbe. J'aime beaucoup ce genre de fin qui mélange mélancolie et espoir, a la croisée entre le Seigneur des Anneaux et Princesse Mononoké.
Un classique de la Fantasy, tout simplement.
En plus du Château de Hurle de Diana Wynne Jones, La trilogie du minotaure est le livre que j'ai eu pour Noël.
Cela ressemble un peu à Narnia, mais en mieux je trouve.
Ce livre est composé en trois parties-livres. La première est selon moi juste écrite pour mettre en place l'univers et ses personnages car les deux humains ne sont pas très interéssants mais c'est pardonnable par la suite. Les deux dernières parties sont plus captivantes et certains personnages attachants comme Eunostos, Zoé et Pandia.
Et surtout, Swann posséde un bon sens du merveilleux et de l'épique. Et la fin est superbe. J'aime beaucoup ce genre de fin qui mélange mélancolie et espoir, a la croisée entre le Seigneur des Anneaux et Princesse Mononoké.
Un classique de la Fantasy, tout simplement.
Tyranael de Elisabeth Vonarburg
Je suis un peu décu qu'il n'y ai pas de post deja sur cette magnifique serie.
C'est donc de la S.F. sans en être réellement, une écriture formidable qui nous emmène dans un monde époustouflant.
C'est véritablement un chef d'oeuvre.
Il doit y avoir 5 bouquins si ma mémoire est bonne, chacun racontant uné période de l'histoire de ce monde.
Je le conseille énormément, c'est un plaisir immense de lire une telle oeuvre.
voici les résumés:
http://www.alire.com/Romans/Tyranael.html
C'est donc de la S.F. sans en être réellement, une écriture formidable qui nous emmène dans un monde époustouflant.
C'est véritablement un chef d'oeuvre.
Il doit y avoir 5 bouquins si ma mémoire est bonne, chacun racontant uné période de l'histoire de ce monde.
Je le conseille énormément, c'est un plaisir immense de lire une telle oeuvre.
voici les résumés:
http://www.alire.com/Romans/Tyranael.html
Que la Salamandre s'enflamme!
Que l'Ondin se replie!
Que la sylphe s'évanouisse
Que le Lutin travaille
-Goethe, Faust I
Que l'Ondin se replie!
Que la sylphe s'évanouisse
Que le Lutin travaille
-Goethe, Faust I
- GabrielleTrompeLaMort
- Guerrière du Sud
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- Inscription : 25 Jan 2005, 16:56
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L'ombre du vent, par Carlos Ruiz Zafon
ISBN : 978-2-253-11486-4
L'ombre du vent
Carlos Ruiz Zafon, auteur espagnol
Roman de littérature blanche
Style d'écriture absolument parfait.
Chez J'ai lu : 8€
637 pages
Barcelone, en 1945, un petit garçon, Daniel Sempere, est conduit par son père au cimetière des livres oubliés. A la suite d'un rituel, Daniel est lié à un livre :«L'ombre du vent», écrit par Julian Carax. Ce livre change la vie du garçon qui s'aperçoit qu'un homme brûle tous les livres de Carax. Prix Planeta. Prix des lecteurs 2006.
Quatrième de couverture :
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, «ville des prodiges» marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours.
Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique: le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération: il doit y «adopter» un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets «enterrés dans l'âme de la ville»: L'Ombre du Vent.
Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafón mêle inextricablement la littérature et la vie.
Tombée amoureuse dès la première ligne, dès la quatrième de couverture qui rend hommage à son contenu (pour une fois) mais ne résume en rien ce chef d'oeuvre. Ca ne se lit pas, ça ne se dévore pas, ça se savoure et ça nous fait souffrir : la galerie de personnages est riche et colorée, mais leurs destins sont à la fois si tristes et si étonnants, mais tellement "normaux"...
Une histoire de littérature presque blanche en teintes de gris. Extraordinaire ! Je crois que je viens de trouver mon livre fétiche, au délà de tout Feist, Hobb, ou autre roman de fantasy !...
Le style d'écriture ? Je le disais plus haut : parfait ! Le mot "sublime" - que j'utilise pour d'autres livres coups de coeur très bien écrits - n'est même pas suffisant. C'est simple mais poétique, pas surrané ou pompeux. Il faut lire pour comprendre que toute l'histoire de ce livre résonne à travers chaque mot.
J'en ai acheté deux exemplaires, un pour moi, un pour Andromède, sur le conseil de ma libraire.
Je ne peux PAS vous en dire plus sans vous révéler l'essence du livre. Lisez-le, et partagez. C'est un ouvrage à propos duquel on ne peut parler que si l'autre l'a lu. Car c'est un livre avec lequel on tisse une relation aussi fusionnelle et intime que celle de Daniel, le narrateur, avec "son livre" : L'ombre du vent, de Julian Carax cette fois-ci, l'un des personnages omniprésents de l'ouvrage.
A ne pas louper si vous êtes un amoureux de la lecture, mais aussi de l'écriture. C'est un hommage au rêveur, au poète, à l'auteur et au lecteur qui est en vous.
C'est une symphonie de mots qui résonnent encore et encore dans ma tête, et une aventure humaine au delà de tout. Ces personnages, ce sont vous, moi, le voisin, et le chat du voisin. Mais aussi l'auteur et le lecteur. L'amoureux de l'objet livre et de ces mondes qui y sommeillent. L'amoureux de la liberté d'expression, l'amoureux des pieds de nez littéraires à cette réalité trop ingrate. C'est dit dans le résumé et c'est tellement vrai : littérature et vie sont liés.
Suivez Daniel dans les pas de Julian Carax. Tenez-lui bien la main, caressez avec amour la tranche de tous ces livres qui sommeillent dans le ventre du Cimetière des Livres Oubliés, dans cette Espagne sous le régime Franquiste, mais ne vous y perdez pas... pas trop du moins.
L'ombre du vent
Carlos Ruiz Zafon, auteur espagnol
Roman de littérature blanche
Style d'écriture absolument parfait.
Chez J'ai lu : 8€
637 pages

Barcelone, en 1945, un petit garçon, Daniel Sempere, est conduit par son père au cimetière des livres oubliés. A la suite d'un rituel, Daniel est lié à un livre :«L'ombre du vent», écrit par Julian Carax. Ce livre change la vie du garçon qui s'aperçoit qu'un homme brûle tous les livres de Carax. Prix Planeta. Prix des lecteurs 2006.
Quatrième de couverture :
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, «ville des prodiges» marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours.
Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique: le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération: il doit y «adopter» un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets «enterrés dans l'âme de la ville»: L'Ombre du Vent.
Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafón mêle inextricablement la littérature et la vie.
Tombée amoureuse dès la première ligne, dès la quatrième de couverture qui rend hommage à son contenu (pour une fois) mais ne résume en rien ce chef d'oeuvre. Ca ne se lit pas, ça ne se dévore pas, ça se savoure et ça nous fait souffrir : la galerie de personnages est riche et colorée, mais leurs destins sont à la fois si tristes et si étonnants, mais tellement "normaux"...
Une histoire de littérature presque blanche en teintes de gris. Extraordinaire ! Je crois que je viens de trouver mon livre fétiche, au délà de tout Feist, Hobb, ou autre roman de fantasy !...
Le style d'écriture ? Je le disais plus haut : parfait ! Le mot "sublime" - que j'utilise pour d'autres livres coups de coeur très bien écrits - n'est même pas suffisant. C'est simple mais poétique, pas surrané ou pompeux. Il faut lire pour comprendre que toute l'histoire de ce livre résonne à travers chaque mot.
J'en ai acheté deux exemplaires, un pour moi, un pour Andromède, sur le conseil de ma libraire.
Je ne peux PAS vous en dire plus sans vous révéler l'essence du livre. Lisez-le, et partagez. C'est un ouvrage à propos duquel on ne peut parler que si l'autre l'a lu. Car c'est un livre avec lequel on tisse une relation aussi fusionnelle et intime que celle de Daniel, le narrateur, avec "son livre" : L'ombre du vent, de Julian Carax cette fois-ci, l'un des personnages omniprésents de l'ouvrage.
A ne pas louper si vous êtes un amoureux de la lecture, mais aussi de l'écriture. C'est un hommage au rêveur, au poète, à l'auteur et au lecteur qui est en vous.
C'est une symphonie de mots qui résonnent encore et encore dans ma tête, et une aventure humaine au delà de tout. Ces personnages, ce sont vous, moi, le voisin, et le chat du voisin. Mais aussi l'auteur et le lecteur. L'amoureux de l'objet livre et de ces mondes qui y sommeillent. L'amoureux de la liberté d'expression, l'amoureux des pieds de nez littéraires à cette réalité trop ingrate. C'est dit dans le résumé et c'est tellement vrai : littérature et vie sont liés.
Suivez Daniel dans les pas de Julian Carax. Tenez-lui bien la main, caressez avec amour la tranche de tous ces livres qui sommeillent dans le ventre du Cimetière des Livres Oubliés, dans cette Espagne sous le régime Franquiste, mais ne vous y perdez pas... pas trop du moins.
"Sous ce masque, c'est une idée."
Blog d'édition d'Entrechats
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- Krystal
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- Genre de livres que vous lisez le plus souvent ? : Fantasy et Fantastique
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Dernier livre en date : Le Rhinocéros qui citait Nietzsche
C'est un recueil de nouvelles de Peter S Beagle.
Il y en a certaines que j'ai beaucoup aimé.
Ma préféré : "Entrez lady Death". Une vieille dame en a marre des soirées mondaines où elle s'ennuie. Elle décide donc d'inviter la mort...
J'ai bien aimé aussi l'histoire du rhinocéros mais je trouve la fin un peu trop longue et du coup mal fichue.
Celle que j'ai le moins aimé par contre c'est "Lila le loup-garou"
C'est un recueil de nouvelles de Peter S Beagle.
Il y en a certaines que j'ai beaucoup aimé.
Ma préféré : "Entrez lady Death". Une vieille dame en a marre des soirées mondaines où elle s'ennuie. Elle décide donc d'inviter la mort...
J'ai bien aimé aussi l'histoire du rhinocéros mais je trouve la fin un peu trop longue et du coup mal fichue.
Celle que j'ai le moins aimé par contre c'est "Lila le loup-garou"
Moi? sadique? peut-être un peu...
- GabrielleTrompeLaMort
- Guerrière du Sud
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Les trois perles de Domérat, d'Anna Galore.
Je l'ai en version papier, mais vous pouvez vous consoler avec la version web : www.anna-galore.com

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- le_navire
- Corsaire perverse
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- Localisation : Cévennes
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Jean XIV a écrit :"Pollen" de Joëlle Wintrebert
Argh ! ça c'est un bouquin qu'on regrette d'avoir loupé. Ecrit au départ pour la jeunesse (ça se sent, même parfois un peu trop à mon goût, dans la structure narrative et dans le traitement des personnages et des dialogues) mais proposé au Diable pour cause de "sex included" (en plus, des relations polyamoureuses !!!

- Blackwatch
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DiL a écrit :Je viens de terminer Twilight de Stephenie Meyer.
En français c'est : Fascination.
Je suis complètement sous le charme !
Lu sur ton LJ le résumé et je l'avais déjà repéré. Je me laisserais bien tenter...
Et pour rester dans la veine historique: "The Boleyn Inheritance" (littéralement l'héritage Boleyn) par Philippa Gregory. Une auteure à surveiller

- enger
- Petit troll
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- Inscription : 11 Avr 2007, 19:44
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Je suis en train de relire Alice au pays des merveilles.
J'étais décidé à en tirer la substantifique moelle, à en comprendre les mystères, les arcanes et les sous entendus. Mais, je dois dire que c'est un échec. Autant il y a quelques histoires sur lesquelles on peu échaffauder une ou deux théories autant le reste est un vaste bordel. Il est difficile de trouver une symbolique dicernable.
L Carroll était un mathématiciens réputé pour tout un tas de sortes de jeux logiques. Je pensais qu'on pouvait trouver pour chaque élément de son livre une explication et rencontrer en fait une succéssion de petites énigmes ludiques. Autant dire qu'à se stade de la lecture ce cher homme me dépasse cent fois ou nage dans la fantaisie la plus élémentaire.
C'est déconcertant.
Peut être qu'il s'est en fait amusé à faire chercher des réponses là où il ne peut pas y en avoir.
Un conte barré en somme.
C'est amusant à lire, mais, je me demande assez souvent pourquoi ce livre a eu un tel succés.
Est ce qu'il a été plébicité de façon populaire en tant que livre pour la jeunesse, ou est ce que les intellectuels du temps de L Carrol y ont trouvé un message valable ?
Je me le demande.
Je pense que, de nos jours, pas mal d'auteurs peuvent se lancer dans des débandades tout aussi réussies. Ce devait être novateur pour l'époque. Il faut reconnaître qu'il est dur maintenant de ce lancer dans ce style sans être étiqueté de Alice au pays des merveilles like.
Frustrant.
J'étais décidé à en tirer la substantifique moelle, à en comprendre les mystères, les arcanes et les sous entendus. Mais, je dois dire que c'est un échec. Autant il y a quelques histoires sur lesquelles on peu échaffauder une ou deux théories autant le reste est un vaste bordel. Il est difficile de trouver une symbolique dicernable.
L Carroll était un mathématiciens réputé pour tout un tas de sortes de jeux logiques. Je pensais qu'on pouvait trouver pour chaque élément de son livre une explication et rencontrer en fait une succéssion de petites énigmes ludiques. Autant dire qu'à se stade de la lecture ce cher homme me dépasse cent fois ou nage dans la fantaisie la plus élémentaire.
C'est déconcertant.
Peut être qu'il s'est en fait amusé à faire chercher des réponses là où il ne peut pas y en avoir.
Un conte barré en somme.
C'est amusant à lire, mais, je me demande assez souvent pourquoi ce livre a eu un tel succés.
Est ce qu'il a été plébicité de façon populaire en tant que livre pour la jeunesse, ou est ce que les intellectuels du temps de L Carrol y ont trouvé un message valable ?
Je me le demande.
Je pense que, de nos jours, pas mal d'auteurs peuvent se lancer dans des débandades tout aussi réussies. Ce devait être novateur pour l'époque. Il faut reconnaître qu'il est dur maintenant de ce lancer dans ce style sans être étiqueté de Alice au pays des merveilles like.
Frustrant.
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